La principale cause d'un bouchon œsophagien chez le cheval est une impaction alimentaire (accumulation d'aliments dans l'œsophage). Il s'agit le plus souvent de granulés, même si les floconnés ou parfois le foin et la paille peuvent aussi en être responsables.
Un cheval qui travaille en mors, ne doit de toute manière pas avoir la bouche sèche, sous peine de se blesser. Mais trop de salive, ce n'est pas bon signe non plus. Chaque individu est cependant différent. Certains chevaux vont naturellement saliver énormement, d'autres très peu.
Si un cheval ouvre fréquemment la bouche, montre sa langue, ses dents, mastique nerveusement son mors la bouche ouverte ou grince des dents, cela constitue un signe évident d'inconfort.
Le pelham
Plus les branches du mors sont longues, plus l'effet levier est important. Le pelham peut être utilisé avec 2 ou 4 rênes. De même, il est possible de l'utiliser sans gourmette pour adoucir son action sur la bouche.
Si un cheval tire sa langue sur le côté, ce comportement témoigne d'un inconfort plus ou moins important. La bouche ouverte, il peut alors rouler ou tirer sa langue.
Ce comportement peut se traduire par : Une mauvaise expérience à l'attache. Un cheval stressé La peur de se sentir «bloquer »
Tout au long de l'éducation ou la rééducation du cheval il en ressort qu'un cheval qui mâche son mors c'est un cheval qui est disponible mentalement pour son cavalier.
? Le bidet à l'obstacle, les fleurs en dressage, l'eau en complet, la poubelle en promenade….
Les mors simples
Les embouchures simples sont celles qui sont les plus répandues et les plus douces pour la bouche du cheval. Leur effet sur la bouche varie selon la qualité de la main du cavalier ce qui rend cette embouchure modulable à souhait.
⏩ Travailler sur sa proprioception
La proprioception est l'un des souci principaux des cavaliers qui ont la main dure. Il faut donc travailler sur le fait de recaler ses sensations sur ce qui est juste.
Lorsque le cheval mâche, les glandes salivaires sont stimulées, et le cheval produit plus de salive. La salivation augmente donc naturellement lorsque le cheval mange. Cela lui permet d'imprégner sa nourriture, et ainsi de la préparer à la digestion.
Le cheval qui lâche le contact
Pour les chevaux difficile à contrôler : l'utilisation d'un mors pelham redonne du contrôle, par l'effet de la gourmette. On préfèrera celui avec les canons enrobés de caoutchouc.
La muserolle croisée empêche le cheval d'ouvrir la bouche et bloque toute mobilité de la mâchoire. Il ne pourra en outre plus passer sa langue par-dessus son mors. Trop serrée, elle peut en outre gêner la respiration du cheval ou lui procurer des blessures au niveau de l'apophyse zygomatique.
La bouche et les dents du cheval sont le premier outil de sa digestion. Elles permettent la préhension des aliments, leur mastication, indispensables à une bonne assimilation.
Les douleurs buccales liées au port du mors résultent de la compression, de la lacération ou de l'étirement des tissus, d'inflammations et d'entraves à la circulation sanguine. Le frottement ou choc répété du mors est susceptible de créer des contusions, coupures, déchirures et ulcères dans la bouche du cheval.
Les mors droits
Un canon droit agit plus sur la langue. L'amortissement de la langue fait que les barres sont peu touchées. Ces mors sont toutefois peu précis parce que les deux côtés ne sont pas dissociés. Ils sont réputés plus doux mais tous les chevaux ne supportent pas la pression sur la langue.
Un mors de la taille correct dépassera de chaque côté de la bouche du cheval de minimum 1 cm pour ne pas pincer ou irriter la commissure des lèvres et de maximum 1, 5 cm pour ne pas « se balader » dans la bouche du cheval.
Le cheval dépressif a la tête orientée vers le mur, les yeux ouverts et le regard fixe, et l'encolure et le dos ne font qu'une seule ligne. Cette posture n'est pas la même lorsque le cheval observe son environnement : il porte dans ce cas la tête plus haute et son regard n'est pas fixe.
Le cheval peut éprouver de l'amour, de la jalousie, de la haine, de la tendresse, de la colère ou du plaisir. S'il est moins démonstratif que le chien, il est tout aussi sensible. Il montre ses sentiments par un certain nombre de postures, de regards et même de sons. Ces messages sont très importants.
De plus, les chevaux ont ressenti des émotions différentes en fonction du son entendu : Son exprimant la colère -> plus de postures de vigilance et fréquence cardiaque plus élevée. Son exprimant la joie -> moins de postures de vigilance, postures relaxées et fréquence cardiaque plus basse.
La mise en main correspond au cheval qui a son chanfrein à la verticale ou légèrement en avant de la verticale. Sa nuque est le point le plus haut et cette attitude doit, dans l'idéal, rester stable aux 3 allures et dans tous les mouvements demandés.
Mettez votre cheval en avant, avec des hanches plus actives, bien dans le canal des aides. Gardez vos mains légèrement plus hautes et incitez le cheval à garder sa nuque plus haute par de petites vibrations spasmodiques des doigts vers le haut à chaque fois qu'il cherche à s'encapuchonner.
Le mors Baucher est aussi recommandé pour les chevaux qui ont tendance à s'appuyer sur le mors. Il s'agit d'un mors avec un léger effet de levier qui va faciliter la cession de la nuque de votre cheval. Son effet releveur permettra de rééquilibrer et de redresser votre monture. Ce mors est un mors plutôt dur.
Deuxièmement, sur un cheval qui tire très régulièrement au renard, il faut procéder en 2 temps : l'éduquer à répondre positivement à la pression du licol et aussi lui apprendre à ne plus tirer à l'attache.
Beaucoup de cavaliers ne savent pas que la sous-gorge n'est pas un accessoire de décoration mais est utile... Elle permet lorsque le cavalier chute d'empécher le cheval de s'enlever le filet. Celle-ci doit donc être réglée de façon à ce que l'on puisse passer un poing fermé entre la sous-gorge et la joue du cheval.