Il y a quelques années, une théorie est devenue plus sérieuse et crédible que les autres : Pennywise serait directement inspiré d'un certain John Wayne Gacy, terrifiant tueur en série surnommé le "clown tueur" et "Pogo le clown" par les médias et qui a inspiré un véritable sentiment de terreur à l'égard des clowns.
le clown de « Ça » Etienne C. Regard glaçant, visage démoniaque : la figure clownesque de « Ça » imaginée par Stephen King au début des années 1980 a marqué plusieurs générations et alimenté la coulrophobie de nombreux spectateurs.
Le clown de Ça inspiré d'un vrai tueur en série
Ce monstre est directement inspiré de l'un des tueurs en série les plus célèbres des Etats-Unis : John Wayne Gacy. Ce dernier a été condamné à la fin des années 70 pour le meurtre de 33 jeunes garçons et jeunes hommes.
Cette histoire raconte la lutte entre sept enfants terrorisés devenus adultes et une entité maléfique connue sous le nom de « Ça » qui prend la forme des peurs les plus profondes mais se présente principalement sous la forme d'un clown maléfique se faisant appeler Grippe-Sou.
C'est Phillipe Astley qui a eu l'idée d'introduire le personnage du clown dans les spectacles. On le rencontre principalement dans les cirques. On distingue généralement deux types de clowns : l'auguste et le clown blanc. Les premiers clowns, comme en témoigne l'origine du mot, viennent d'Angleterre.
Ça apparaît pour la première fois dès le début du roman, lorsqu'il tue le petit Georgie Denbrough au travers d'une bouche d'égout. On apprendra plus tard que Ça est apparu sur Terre bien avant les premiers hommes, voire même avant les premiers êtres vivants (incertain).
Derrière le masque numérique et plâtreux du clown éructant de « Ça » se rappelle une mémoire pharmacologique de l'enfance : celle de combats contre des dragons imaginés depuis le trou noir d'un ordre parental dysfonctionnel et diabolique.
Il est définitivement détruit quand Bill, Ben, Beverly, Richie et Mike extraient son cœur et l'écrasent. Après avoir tué « Ça », la bande laisse son cadavre pourrir dans son repaire, sous les égouts de Derry (dans le téléfilm).
La première raison de cette peur, qu'elle soit enfantine ou viscérale, provient du maquillage du personnage. «Quand on ne parvient pas à décoder le visage d'une personne, on la perçoit comme menaçante», explique le psychiatre Antoine Pelissolo dans Libération.
Le clown blanc est la figure originelle du clown, popularisée par la commedia dell'arte et le personnage de Pierrot.
La police a révélé que Francis Wayne Alexander était âgé de 21 ou 22 ans lorsqu'il a été tué. Né en Caroline du Nord, il a vécu à New York avant de s'installer à Chicago, où il a été tué.
La phobie des clowns a pour nom scientifique la coulrophobie. Le préfixe "coulro" vient du grec ancien "kôlobathristes" signifiant "acrobate qui est sur des échasses".
"Le nez rouge rend d'emblée compte du décalage du clown." Si aujourd'hui le clown est d'abord représenté par son nez outrancier, c'est que ce-dernier symbolise parfaitement l'inadapté, le fou, le maladroit ou l'idiot du village. Il rend d'emblée compte du décalage du clown.
Il y a quelques années, une théorie est devenue plus sérieuse et crédible que les autres : Pennywise serait directement inspiré d'un certain John Wayne Gacy, terrifiant tueur en série surnommé le "clown tueur" et "Pogo le clown" par les médias et qui a inspiré un véritable sentiment de terreur à l'égard des clowns.
Alors qu'en réalité, bien souvent, l'artiste sacrifie sa vie, met son corps en danger pour rendre le public heureux. Et puis, il se retrouve souvent loin des siens et vit des moments de solitude, de tristesse.» C'est leur quotidien, donc, que dépeignent les artistes de Rasposo.
Le clown maléfique est un personnage type de la culture populaire. Il désigne un clown, ou un personnage à l'apparence de clown, qui, malgré son apparence joviale, comique et joueuse, a un très mauvais fond caractérisé par un sadisme et une cruauté sans limites.
Au contraire, le réalisateur s'est inspiré d'une terrible histoire vraie datant des années 1970 au moment de tourner ce film. Vous avez bien lu, le clown-tueur-psychopathe qui hante désormais vos cauchemars a véritablement existé sous le nom : John Wayne Gacy.
Ben se trouve à la bibliothèque, où il apprend que la ville est en proie à des disparitions d'enfants depuis des siècles. En sortant de la bibliothèque, Ben est ciblé par la bande d'Henry qui le retient contre la rambarde d'un pont de Derry.
Un clown agressif condamné à un an de prison ferme
Le jeune homme de 18 ans avait dérobé un masque d'enfant, avant de porter des coups violents sur deux frères le 26 octobre à Pierrelatte dans la Drôme.
Dans les années 1970, près de Chicago, John Wayne Gacy, dit « le clown tueur » se déguisait pour divertir les enfants et amadouer ses 33 futures victimes.
John Wayne Gacy Jr., né le 17 mars 1942 à Chicago et mort le 10 mai 1994 à Joliet, est l'un des tueurs en série américains les plus connus, surnommé le « clown tueur » en référence à l'habitude qu'il avait de se déguiser en clown pour amuser les enfants dans les hôpitaux.
Il y a quelques années, des attaques de clowns étaient régulièrement recensées aux États-Unis, en Angleterre, en Australie, au Canada et en Écosse. Des clowns se cachaient dans les bois pour n'en sortir qu'au passage de riverains effrayés. Et comme toutes les tendances virales, celle-ci s'est propagée.
On peut donc s'attendre à un tiers en 2022 . Voici ce que Bill Skarsgard (le personnage principal de Ça : Chapitre 2), a à dire à son sujet : Chapitre 3.
Peur des nains de jardin (nanopabulophobie)