Les turbulences importantes sont provoquées par la faible différence entre l'altitude des sommets et celle des routes aériennes. Elles peuvent entraîner la dépressurisation de l'avion. Par ailleurs, les vents de la région sont très forts, ce qui accroît les risques d'accidents d'avion.
On peut croire que c'est par raisons de sécurité. Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
C'est en réalité une idée reçue, car des avions traversent le pacifique. En revanche, la traversée du Pôle Sud est plus rare mais existante.
Les avions suivent des routes aériennes
Pour réguler le trafic aérien, des routes ont été créées depuis longtemps. Par conséquent, tout comme une voiture, les avions suivent des routes aériennes. Elles permettent rarement de voler en ligne droite car elles ont des virages et des intersections.
Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
Les zones où le survol est strictement interdit
La Libye, l'Irak, le Yemen, la Syrie et l'Est Ukrainien sont cinq pays qui sont clairement interdites de survol pour les compagnies aériennes. Il existe une règle, un avion de ligne ne doit jamais survoler une zone de conflit armée, du moins en principe.
Une zone indépendante mais tout de même régulée
Et pourtant, ce n'est pas le froid qui constitue le principal obstacle au vol des drones en Antarctique, mais la réglementation. Cela pourrait surprendre, car techniquement, la zone n'appartient à aucun pays; aucun État ne peut donc y faire valoir sa législation.
Les recourbures au bout d'ailes, communément appelé « Winglets », permettent de réduire la trainée induite et par conséquent réduire la consommation de carburant. Comment ? L'écoulement de l'air au-dessus et en-dessous de l'aile crée des tourbillons en bout d'aile créant ainsi des frottements supplémentaires .
À partir de mardi 14 juin 2022, un avion survolera Paris à basse altitude pour effectuer des mesures pour Météo France, le CNRS et le CNES. Sa présence, à basse altitude, dans le ciel de Paris risque d'en surprendre plus d'un.
Cela signifie un gain en temps de vol, donc un gain en carburant (car ça coûte cher aux compagnies) ! On voit bien que si le vent est calme au Groenland et aux alentours, il est plutôt rapide sur l'océan Nord-Atlantique.
Pourquoi le pôle Sud est-il interdit ? En 1841, James Ross y envoya une expédition avec deux navires, l'Erebus et le Terror. Il découvre la mer de Ross, le volcan Erebus et la grande barrière de glace. Malheureusement, l'obstacle posé par ce dernier lui interdit d'aller plus au sud, par voie terrestre.
Des raisons techniques et financières
En effet, lors du vol, l'avion est réchauffé par la lumière extérieure du soleil. De ce fait, le blanc reste la couleur qui reflète le mieux la lumière, l'avion se réchauffe donc moins fortement. Une peinture noire provoque exactement l'inverse.
La raison est à chercher du côté des vents en altitude. Les avions ne sont pas comme les trains.
À une haute altitude, les vents produits par la rotation de la Terre jouent sur la durée de vol d'un avion. C'est pour cette raison qu'un vol dure plus ou moins longtemps selon le sens de la trajectoire.
À une altitude de croisière, Mach 0,78 correspond à 828 km/h, et Mach 0,86 équivaut à 913 km/h.
Faire une escale permet aux compagnies aériennes de ravitailler les avions entre deux destinations. Lorsque l'appareil est moins rempli en carburant, sa consommation est plus faible, le prix est alors lus bas que pour un vol direct.
Le survol de la zone comprise dans les limites des anciennes fortifications de la ville de Paris est interdit à tous les aéronefs, à l'exception des aéronefs de transports publics effectuant un service régulier et des avions militaires assurant un service de transport, sous réserve que soient respectées les conditions ...
Si vous déambulez dans la capitale, n'oubliez pas de regarder en l'air ! A compter de ce mardi, les Franciliens pourront remarquer dans le ciel le survol à basse altitude d'un avion effectuant des mesures de l'air principalement au-dessus des forêts, a prévenu le Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
Des exercices de grande ampleur
Cette opération, nommée "MANTICORE 2022", permet aux militaires de l'armée de Terre de s'entraîner à "des conflits de haute intensité". Son nom est emprunté à la manticore, créature mythologique ayant un corps de lion, un visage d'homme et une queue de scorpion.
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
La force de traînée est donc celle qui s'oppose au mouvement de l'avion ; c'est la résistance à l'avancement. La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air.
Contrairement à l'océan Antarctique, le continent Antarctique est effectivement protégé par un instrument international appelé Protocole de Madrid, signé en 1991. Cette protection est le fruit de la mobilisation citoyenne et des associations de défense de l'environnement.
La manière la plus courante de se rendre en Antarctique est de partir en croisière, souvent depuis Ushuaia, en Argentine, la ville la plus australe du monde. De nombreuses croisières vers la péninsule antarctique comprennent également des arrêts aux îles Malouines (Falkland) ou en Géorgie du Sud.
Le pôle Nord est une mer recouverte de glace. En été, une partie de cette banquise fond. Or, l'eau libre absorbe mieux les rayons du soleil que la neige et la glace qui les réfléchissent. L'eau se comporte comme un réservoir de chaleur qui la restitue dans l'atmosphère, ce qui tempère le climat.