Le parent moderne a moins d'enfants car il se veut plus attentionné. Il est tellement présent auprès de son enfant, soucieux de son plaisir, de son bien-être… qu'il est déjà à 100 % de ses capacités avec 2 enfants. Le parent estime alors ne pas avoir de temps de cerveau disponible pour un troisième enfant.
Cet écart peut s'expliquer par la situation économique des ménages en temps de crise. Avoir plusieurs enfants demande généralement une stabilité concernant le logement, l'emploi, les revenus. Le pouvoir d'achat des familles n'étant pas extensible, le choix d'une deuxième naissance serait de moins en moins évident.
« Des facteurs financiers peuvent compter mais aussi l'articulation entre la vie privée et professionnelle, et le souhait d'avoir des enfants », souligne la statisticienne. Le démographe Gilles Pison explique aussi la baisse des naissances comme une conséquence, à contretemps, de la crise économique de 2008.
Les raisons principales sont ici le taux de chômage élevé, ainsi que des politiques familiales peu développées. On voit ainsi qu'en Europe de l'Ouest et du Nord, les deux grandes difficultés exposées par les chercheurs, marché de l'emploi et inégalités de genre, se sont estompées.
Contraception, instabilité des unions et incertitude économique.
Françaises et Roumaines en tête de classement
L'INSEE estime ce chiffre à 1,84 en 2020. Elles sont suivies des Roumaines, avec 1,77. En 2019, les Suédoises, les Irlandaises et les Tchèques ont le même nombre moyen d'enfants (1,71). A l'inverse, les pays du sud de l'UE enregistrent les taux les plus faibles.
Le papa met dans le ventre de la maman une graine de vie, qui s'appelle spermatozoïde. Elle rencontre la graine de vie de la maman, qui s'appelle ovule. Les deux graines s'unissent pour former un bébé qui va mettre neuf mois à grandir avant de naître.» Il veut plus de précisions?
Depuis la récente crise économique, la fécondité a de nouveau chuté dans de nombreux pays développés, à l'instar des États-Unis, de la Norvège et de la Suède, ainsi que du Portugal et de l'Espagne. Dans la plupart des autres pays développés, la fécondité stagne depuis 2008.
La date de naissance la plus rare est d'ailleurs le 25 décembre, avec en moyenne 1.667 accouchements —normal, c'est un des jours fériés les plus importants et cette date d'anniversaire est déjà prise par un certain Jésus de Nazareth.
Les facteurs généralement associés à une baisse de la fécondité comprennent l'augmentation du revenu, changements de valeur et d'attitude le niveau d'éducation, la participation des femmes au travail, contrôle étatique de la démographie, l'augmentation de l'âge des parents, l'utilisation de la contraception, la ...
Une diminution qui peut être expliquée par nombre de facteurs : l'intégration des femmes dans le marché du travail, la hausse des prix de l'immobilier dans les pays riches, un meilleur accès aux soins, à la contraception et à l'éducation dans le monde, ou encore la crise du coronavirus qui a accentué la tendance.
Les femmes déclarent un nombre idéal d'enfants plus important que les hommes : 2,7 enfants en moyenne, contre 2,5 (Toulemon et Leridon, 1999).
Entre le désir de combler notre vie, la pression sociale, et même l'instinct animal, différentes choses nous poussent à avoir une grande famille. Certaines personnes ne veulent pas d'enfants, d'autres si et beaucoup ! Chacun peut faire le choix qu'il veut.
En 2019, l' indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) s'établit à 1,87 enfant par femme, après 1,88 en 2018. Après quatre années de baisse entre 2015 et 2018, l'ICF se stabilise donc. Il oscillait autour de 2,0 enfants par femme entre 2006 et 2014. Les femmes les plus fécondes sont celles ayant entre 25 et 34 ans.
« Hâle de Mars, pluie d'Avril, rosée de Mai, font d'août et septembre les plus beaux mois de l'année », « Bel automne vient plus souvent que beau printemps. »
Coïncidences: le paradoxe des anniversaires.
En 2019, 753 000 bébés sont nés en France. Juillet est, comme chaque année depuis 2013, le mois où il y a le plus de naissances.
La fécondité joue un rôle déterminant dans la composition, la taille et l'accroissement d'une population (Wallace, 2008). En outre, le bien-être des femmes et des enfants, ainsi que le statut social et la santé physique et mentale des femmes sont fonction du niveau de fécondité (taille des familles) et de la maternité.
Les niveaux de fécondité élevés en Afrique subsaharienne sont le résultat de la persistance d'un fort désir d'enfants dans la région. En effet, les femmes interrogées à ce sujet indiquent un nombre idéal d'enfants compris entre 4 et 9 enfants (contre 2 à 3 enfants dans la plupart des autres pays en développement).
Cette augmentation est essentiellement imputable à l'apport migratoire. La région est particulièrement attractive pour les personnes d'âge actif et leurs enfants, ce qui limite le vieillissement de sa population et permet le maintien de la part de sa population en âge de travailler.
Pour augmenter les chances d'avoir un garçon, il est donc recommandé de faire l'amour le jour de l'ovulation ou dans les quelques heures qui entourent ce moment. Ainsi, ce sont les spermatozoïdes Y qui gagneront la course à l'ovule (alors que les X sont plus lents, mais plus résistants).
Habituellement, vers la fin de la grossesse, le bébé se place tête vers le bas, face au dos de la mère et la couronne de sa tête passe dans le canal génital en premier. Cependant, le bébé peut parfois prendre une autre position, ce qui peut compliquer l'accouchement vaginal.
Lina Medina reste à ce jour la plus jeune mère de l'humanité. Jamais elle ne dénoncera celui qui a abusé d'elle. À cinq ans, sept mois et vingt jours, Lina Medina est dans son neuvième mois de grossesse.
Nathalie Suleman, une Américaine, est la dernière à détenir le record du monde du nombre de naissances. Elle avait donné naissance à 8 bébés en même temps en 2009. La grossesse de celle-ci était le fruit d'une insémination artificielle.