Une maladie psychiatrique comme une dépression ou la schizophrénie (qui peut aussi être à l'origine d'hallucinations) ; Une démence (maladie d'Alzheimer…) ; Un délirium.
Les idées délirantes et les hallucinations sont des symptômes de la maladie d'Alzheimer et des maladies apparentées. Lorsqu'elles éprouvent des idées délirantes ou des hallucinations, les gens ne voient pas les choses comme elles sont vraiment.
Les symptômes.
la persécution (appelée « paranoïa » dans le langage courant) : conviction délirante d'être victime d'autrui (d'une personne ciblée, ou d'un complot…). La personne peut être convaincue d'être sur écoute, d'être poursuivie par les renseignements, d'être persécutée par le président de la république etc…
Les bouffées délirantes se caractérisent par un ou plusieurs épisodes de délire passager pendant lesquels la personne tient des propos incohérents ou adopte un comportement irrationnel. Elles apparaissent de façon soudaine et brutale, chez des individus qui n'ont jamais connu de troubles psychiques auparavant.
La paranoïa, qu'est-ce que c'est ? Le terme paranoïa, qui tire son origine des mots grecs para et noos, signifie « à côté de l'esprit ». La personne atteinte de paranoïa est méfiante, elle se sent constamment menacée et persécutée par des personnes inconnues, ou même par son entourage.
Définition : qu'est-ce qu'une hallucination ? Une hallucination est une perception erronée d'un stimulus qui n'existe pas. Plus concrètement, l'individu perçoit une information qui n'est pas réelle.
Présente dans diverses pathologies, une hallucination visuelle peut également survenir en l'absence de maladies. En effet, cette altération de la vue qui fait voit des choses qui n'existent pas, est un symptôme associé à des pathologies psychiatriques, ophtalmologiques, neuro-dégénératives, etc.
Avec l'avancée en âge, il arrive que le comportement d'une personne âgée change et qu'elle devienne agressive. Une agressivité qui se manifeste parfois un brusque changement d'humeur, une manière de réagir par la colère que l'entourage et l'aidant familial ne reconnaissent pas.
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
De grands états anxieux peuvent donner des phénomènes hallucinatoires. On peut donc avoir des hallucinations dans beaucoup d'états psychiatriques. "Les hallucinations visuelles sont rarement liées à une maladie psychiatrique.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
«C'est une évolution naturelle de l'œil, précise le Dr Barale, il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter. Il faut toutefois consulter, surtout si le phénomène, apparu brutalement, s'accompagne de la perception d'éclairs ou de points brillants intermittents.
La perception de taches noires, également appelées "mouches volantes", est un motif de consultation fréquent auprès des ophtalmologues. C'est un symptôme le plus souvent banal lié à un vieillissement normal du vitré mais qui peut parfois révéler une maladie des voies visuelles (œil, nerf optique, cerveau).
Les hallucinations auditives, un symptôme important de la maladie. La schizophrénie est une pathologie mentale qui évolue, lorsqu'elle n'est pas prise en charge, vers une « dissociation » progressive de la personnalité et une perte de contact avec la réalité.
Les paranoïaques peuvent traverser des épisodes anxieux ou dépressifs avec un risque suicidaire présent. Le psychisme des paranoiaques peut évoluer vers un système délirant passionnel. Les délires passionnels sont vécus de manière intime et entière par le patient.
Comment réagir? «Surtout, ne pas argumenter», insistent les spécialistes interviewés. Le psychologue Claude Bélanger conseille de dire au fur et à mesure ce qui ne va pas et d'éviter toute confrontation puisqu'elle ne fera que renforcer la vision du paranoïaque. L'important est de développer une relation de confiance.
Difficile de faire revenir à la raison une personne persuadée qu'on lui en veut ou qu'on cherche à lui nuire. Ne plus être dans le déni de ce que ressent cette personne peut aider à lui faire surmonter sa crise de parano. Retirez-moi les caméras !