L'hydratation orale permet une souplesse dans la programmation des hospitalisations et surtout permet une meilleure qualité de vie au patient qui peut rester à domicile.
Pour préserver ses reins, la personne malade aura pour recommandation d'augmenter sa consommation en eau tout au long de son traitement. Cela aura l'effet d'intensifier l'élimination des médicaments par les reins ce qui permettra d'en diminuer la toxicité.
Assurez-vous d'avoir dès maintenant les médicaments prescrits par votre oncologue, notamment pour vous aider à supporter les effets secondaires. Prévoyez, autant que possible, des activités qui vous font plaisir : dormir ou sortir (en prenant des précautions d'hygiène), voir vos proches ou rester seul.
Privilégier l'eau gazeuse à l'eau plate.
Préparez-vous une trousse de secours pour avoir tous vos médicaments sous la main et éviter de vous déplacer: antalgiques, anti-vomitifs, bains de bouche, crème cicatrisante pour tous vos petits bobos. Equipez-vous de cosmétiques doux pour peaux sensibles, sans parfum et sans alcool, non irritants pour la peau.
Les nausées, voire les vomissements, peuvent apparaître dès la première chimiothérapie. Elles durent d'une journée à plusieurs jours. Après quelques séances, il arrive également que certaines personnes ressentent des nausées avant l'administration du traitement, le corps anticipant l'injection du produit.
Il est prouvé que pratiquer une activité sportive est bénéfique pour favoriser la rémission et limiter les risques de récidive. Mais le sport est également excellent pour éliminer les toxines de l'organisme. Alors si vous le pouvez, essayez de pratiquer une activité physique régulièrement.
Les matières grasses : beurre, crème, huile dans les purées, les sauces, les potages - produits laitiers au lait entier : lait entier, entremets, flans, crèmes lac- tées...
Les nausées et les vomissements
Autrefois très fréquents, les nausées et vomissements sont aujourd'hui moins intenses grâce à de nouveaux médicaments antiémétiques. Les nausées et les vomissements commencent souvent le soir ou le lendemain de la perfusion. Cela dure rarement plus de 72 heures après le traitement.
Sauf information contraire qui vous aurait alors été communiquée par l'équipe soignante, il n'est pas nécessaire de se présenter à jeun avant une séance de chimiothérapie (ou de radiothérapie). Vous pouvez donc manger normalement, mais évidemment sans excès.
certains fruits (citron, orange, pamplemousse...), purée de pommes de terre qui colle en bouche. Préférez des petites pâtes, de la floraline ou des légumes verts mixés. Prenez le temps de manger toutes les fois que vous ressentez l'envie en fonction de vos possibilités.
Privilégier des aliments froids ou tièdes qui sont moins odorants que les aliments chauds. Prendre plusieurs petits repas répartis tout au long de la journée, ce qui facilite la digestion. Eviter de boire pendant les repas pour ne pas remplir l'estomac de liquide. Manger lentement et mastiquer bien les aliments.
La meilleure façon de maîtriser les nausées et vomissements est de les prévenir avant qu'ils n'apparaissent. Votre équipe de soins peut vous prescrire des antinauséeux afin de prévenir ou d'atténuer les nausées et vomissements. Ces médicaments sont aussi appelés antiémétiques.
Le traitement en lui-même ne déshydrate pas. Mais de nombreuses femmes témoignent d'une sensation de soif constante. Certains médicaments de chimiothérapie provoquent un assèchement de la bouche et une impression de goût métallique.
Des analyses sanguines régulières visent à surveiller les effets de la chimiothérapie sur la tumeur et l'organisme (concentrations en marqueurs tumoraux, en globules rouges, en lymphocytes…) : elles permettent de savoir comment le cancer réagit au traitement et si celui-ci est bien toléré.
Pourquoi arrête t-on la chimiothérapie au bout de trois protocoles ? On arrête la chimiothérapie au bout de trois protocoles car elle est extrêmement toxique pour l'organisme. En effet, elle agit sur toutes les cellules de l'organisme, y compris les cellules saines.
Les nausées et vomissements peuvent apparaître au cours des premières heures qui suivent l'administration des agents chimiothérapeutiques et durent habituellement environ 24 heures.
Le déroulement de la chimiothérapie est soigneusement planifié par l'équipe médicale en fonction de la situation du patient. Le médecin lui remet un calendrier qui décrit le lieu et les jours. La durée totale d'une chimiothérapie est variable. Elle peut durer de 6 semaines à 1 an, voire plus.
La chambre implantable reste en place pendant toute la durée du traitement et permet d'avoir une activité physique normale, de se baigner, de voyager, etc.
La chimiothérapie et les traitements médicamenteux
De plus, l'alcool peut modifier l'action de certains médicaments et réduire ainsi leur efficacité. Des complications, telles que des infections, des lésions intestinales, des intoxications hépatiques ont été rapportées.
Le desmodium est le protecteur des cellules du foie. Cette plante d'origine africaine aide à réduire les nausées et à améliorer la récupération après les traitements. On l'utilise la veille de la cure et pendant la chimio durant 7 à 10 jours.
Les effets secondaires peuvent apparaître dès le début ou au cours du traitement. Dans des cas rares, ils peuvent se manifester après la fin de celui-ci.
Certains agents chimiothérapeutiques peuvent ralentir temporairement le métabolisme, c'est-à-dire la vitesse à laquelle le corps brûle les calories. Un métabolisme plus lent signifie qu'on utilise moins de calories, ce qui peut entraîner un gain de poids.
une activité physique régulière a également des effets bénéfiques (courte marche, yoga…) ; apprendre à gérer ses angoisses : la relaxation du corps et de l'esprit vont contribuer à désamorcer les angoisses. Des exercices de respiration, d'étirements ou de méditation peuvent soulager.