Il y a différents profils, commela mère intrusive, celle qui est autoritaire, la défaillante, la jalouse, la dominante... Souvent, cela découle de leur propre histoire personnelle. Elles ont pu manquer d'amour maternel et ne peuvent pas donner ce qu'elles n'ont jamais reçu.
La mère intrusive : elle est toxique dans le sens où elle est étouffante. La mère intrusive s'immisce dans la vie de son enfant sans aucun scrupule et considère qu'elle en a tout à fait le droit car c'est dans son intérêt. Elle veut avoir son mot à dire sur tout ce qu'il entreprend.
Malgré ce qu'elle a fait, il reste difficile d'adresser des reproches à sa mère et de couper tout lien avec elle. "Cela n'est d'ailleurs pas une solution, observe Anne-Laure Buffet. Même à distance, l'emprise peut continuer. Le seul moyen de se détacher d'une mère toxique est de reprendre le contrôle sur la relation.
L'amour d'une mère ne fait aucun doute, mais à plusieurs reprises, derrière une attitude toxique se cache un manque d'estime de soi, une insécurité remarquable et une profonde peur de la solitude empêchant leurs enfants d'être autosuffisants afin qu'ils ne quittent pas le nid.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Quelles sont les éventuelles séquelles pour l'enfant? Un manque d'estime de soi. La mère ne lui donnant pas la sécurité affective dont il a besoin, il aura tendance à penser en grandissant qu'il n'est pas assez bien pour être aimé. Ces blessures peuvent être atténuées s'il peut créer un lien d'attachement avec le père.
La mère toxique est excessivement contrôlante, que ce soit dans la pensée de l'enfant comme dans son comportement. Elle l'empêche d'être libre, de penser, de choisir, de faire ce qu'il entend et même ce qui l'épanouit, tout simplement. Il s'agit là du profil de la “mère intrusive”.
Le manque de temps n'est pas la seule chose qui fait culpabiliser les parents. Le manque de patience (54%), mais aussi le stress (près d'un parent sur deux se déclare stressé, voire très stressé) sont en tête de liste.
Des raisons médicales et neurologiques
Votre parent peut tout simplement ne pas comprendre ce qui lui arrive, ce qui lui est proposé, en raison de la maladie, et réagir de manière agressive, en suivant une sorte d'instinct de défense.
Ou des mères dévorantes, qui vivent au travers de leur enfant tout ce qu'elles-mêmes n'ont pas vécu… et le condamnent à refouler ses propres désirs pour combler les leurs. Amour absent, insuffisant ou, au contraire, envahissant, étouffant, l'amour déséquilibré d'une mère peut plomber une vie entière.
Elle peut envier sa jeunesse, sa beauté, ses copains ou, plus fréquemment, le fait que son mari s'intéresse plus à leur enfant qu'à elle. Il s'agit d'un sentiment humain, qui n'empêche pas l'amour maternel.» Cette ambivalence est inhérente au rôle de parent.
Se détacher de ses parents, c'est aussi devenir autonome. Si vous tenez à les mettre au courant, ne sollicitez pas leur avis, et agissez uniquement après avoir quitté votre ancien emploi. Ainsi, vous ne craindrez plus de subir une pression intense pour vivre selon leurs désirs en travaillant pour satisfaire leur égo.
Les mères narcissiques qui se sentent accablées par la maternité négligent leurs enfants, elles leur mettent la honte et les critiquent, parfois parce qu'elles sont trop nécessiteuses ou enfantines. Elles sont elles-mêmes dans le besoin et ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur enfant.
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.
Être une “bonne mère”, c'est laisser une place au père
Au père ensuite de se montrer suffisamment présent avec ses enfants pour, à la fois les protéger avec affection (poser des limites, des interdits), mais également les “ouvrir” au monde extérieur...
Une maman compréhensive sait qu'elle ne peut vivre votre vie à votre place. Elle sait que vous allez sortir avec des personnes qui ne vous correspondent pas. Elle sait que parfois, la vie sera dure. Mais à chaque fois que vous commettez une erreur, elle sera là pour essuyer vos larmes.
Il n'y a pas d'obligation à aimer ses parents, par contre, nous sommes dans obligation de respecter ceux qui nous ont donné la vie et qui nous ont élevé. Cela signifie respecter leur histoire, respecter ce qu'ils sont, respecter leurs failles, reconnaître ce qu'ils nous ont transmis.
Non seulement le parent peut avoir l'impression de ne plus aimer son enfant, mais il n'est pas rare qu'il commence même à détester être en sa présence.
Pour agacer et surtout déstabiliser sa belle-mère toxique, il faut garder son calme. Inspirer de manière profonde avant d'agir, et répondre par un silence. C'est la meilleure façon de contrer à sa façon de faire.
La simple écoute peut apaiser la personne, le fait qu'elle se sente écoutée et entendue permet souvent de mieux vivre une situation. Il ne faut pas faire semblant, ni nier ce que l'autre ressent ou encore, de tenter d'apporter des réponses alors qu'on est pas concerné véritablement.
L'agressivité envers sa famille vient signaler que la relation entre la personne agressive et sa famille mérite d'être traitée autrement que par l'indifférence, coup de gueules ou carrément des passage à l'acte : un père qui frappe sa femme, la fille qui tape son père ou le fils qui agresse sa mère.
Parlez d'une manière agaçante. Parlez mal et n'arrêtez pas après que vos parents vous aient repris. Appelez vos parents par leur prénom, plutôt que « maman » et « papa ». Prétendez que vous êtes sourd d'une oreille et répétez constamment « Quoi ? » ou « Plus fort, je ne t'entends pas ».