Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
On est obligé de mettre deux s à passereaux pour obtenir le son [s] parce que le s est entre deux voyelles. En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z]. Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s].
Pour obtenir le son (ce), on écrit « SS » entre deux voyelles. Mais il y a quelques exceptions qu'il vous faudra découvrir peu à peu, comme : parasol, tournesol, entresol, contresens, contresigné, vraisemblablement, ...
Susurrer vient du latin susurrare (un S, deux R, là aussi, on a donc conservé cette orthographe), qui veut dire bourdonner, en parlant des abeilles. C'est pas joli ? On entend presque leurs petites ailes "susurrer".
On double le « n » dans anneau, année, annoncer, annoter, annuaire, annulaire, enneiger, ennemi, ennoblir, ennui, inné, innocent, emprisonner, illusionniste, abstentionniste, rationnel, exceptionnel, personnel, etc.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
Les consonnes qui se doublent le plus ordinairement par cette raison sont l, m, n, p et t, comme dans ces mots moelle, pomme, couronne, frapper, trompette. Les mêmes consonnes sont simples dans les mots poète, dôme, trône, tempête parce que les syllabes qui les précèdent sont longues.
Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres.
La prononciation correcte est carrouzel. En effet, s en position intervocalique se prononce z, sauf si ce s est au début du radical du mot et que la voyelle qui le précède appartient au préfixe. On dit resituer et non rezituer.
Devant les voyelles e, i et y, la lettre c se prononce [s]. Devant les voyelles a, o et u, il faut mettre une cédille au c (ç) pour obtenir le son [s].
Placé en fin de mot, s ne se prononce pas, sauf dans quelques mots comme as, oasis.
Exemple : mais pourquoi faut-il toujours qu'il s'interpose ? Beaucoup plus rarement, le mot pourquoi s'emploie comme nom. Dans ce cas, il est invariable. On écrit au pluriel les pourquoi des enfants .
On peut avoir le choix entre les deux nombres quand le singulier a la même valeur qu'un pluriel (on l'appelle singulier collectif). De la compote de pommes (= faite avec des pommes) ou de la compote de pomme (= faite avec de la pomme).
Il y a des noms ou des adjectifs qualificatifs qui sont invariables. Ce sont des noms qui s'écrivent de la même façon au singulier et au pluriel. Ils ont en commun de se terminer tous par la lettre –s ou la lettre –x ou la lettre -z. Exemples : le bras, le tas, le mois, la souris, la noix, le nez…
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
L'apostotrophe qui suit le « c » est la contraction du mot « cela ». Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire.
Il s'agit de la conservation en français d'une orthographe latine translittérant le grec ancien. Lors des premiers emprunts du latin au grec, le φ se prononçait /pʰ/, autrement dit, simplement dit, /p/ aspiré, et pas encore /f/.
Importées d'Amérique du Sud par les colons européens, les premières tomates jaunes sont appelées pomodoro en italien, ce qui signifie « pomme d'or ». Dans le sud de la France, les tomates rouges sont surnommées « pomme d'amour », leur couleur évoquant la passion amoureuse.
Ces calories sont apportées par les sucres de la pomme, le reste étant de l'eau. Comme tous les fruits, la pomme contient en effet entre 85 et 90% d'eau. Pour cette raison, la pomme est le fruit de prédilection des régimes : elle cale bien, elle est savoureuse et elle est peu calorique.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
🔹 L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Le double e note aussi le son [i] dans des emprunts comme spleen ou darjeeling (c'est du thé). On trouve deux i consécutifs dans quelques mots empruntés, par exemple dans chiite, c, h, i, i, t, e, ou en composition, comme dans antiinflammatoire (qu'on peut souder depuis les rectifications orthographiques de 1990).
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.