Un niveau élevé d'empathie et une abondance de comportements prosociaux sont parfois associés à l'anxiété et à la dépression. Dès le plus jeune âge, une préoccupation excessive pour les autres peut être un signe de ces troubles d'internalisation.
L'empathie se développe en interagissant avec des personnes qui font preuve d'empathie. Lorsque vous êtes chaleureux et sensible aux sentiments de votre enfant, vous l'aidez à prendre conscience de ses propres émotions. Aidez-le aussi à nommer ses émotions et à s'apaiser.
Au vu des ces différentes études, nous pouvons constater que les enfants avec un trouble du comportement ont des difficultés dans la reconnaissance des expressions faciales des émotions. Ils se trompent d'émotion ou encore attribuent des émotions négatives sans une véritable analyse de la situation.
Une personne alexithymique rencontre de nombreuses complications au quotidien liées au manque de discernement de ce qu'il ressent. Difficultés à s'exprimer, manque d'empathie, faible sensibilité… C'est un trouble qui peut rapidement mener à la dévalorisation de soi et à l'isolement.
Généralement, ces cas d'alexithymie sont causés par un ou plusieurs traumatismes vécus par la personne. La difficulté à ressentir les émotions et à les exprimer sera alors une réponse défensive face aux évènements. En dehors de cela, l'alexithymie peut être la manifestation d'un trouble psychologique plus complexe.
Dans mon post du 4 janvier, je vous présentais les 3 formes d'empathie : empathie cognitive, empathie émotionnelle et bienveillance.
"Étymologiquement, l'alexithymie désigne le fait que l'on ne sache pas mettre de mots sur ses émotions et humeurs. Par exemple, la personne va dire qu'elle se sent mal, mais sans savoir si elle est traversée par de la colère, de la tristesse ou de la frustration.", explique Delphine Grynberg.
Il est souvent la conséquence de problèmes psychiatriques, mais aussi d'un choc psychologique, surtout dans l'enfance, d'une éducation un peu rigide ou d'une addiction. L'alexithymie comporte quatre composantes : Une incapacité à reconnaître, identifier et exprimer verbalement ses propres émotions.
Être empathique c'est travailler sur soi-même, et ce n'est pas inné, ça se travaille et s'apprend avec le temps.
Un enfant hypersensible est souvent envahi par ses émotions et réagit fortement à différentes situations.
L'empathie cognitive
Elle est fonctionnellement reliée au fonctionnement exécutif et aux compétences en théorie de l'esprit dont l'émergence est située principalement à l'âge préscolaire (vers 3-4 ans).
Quelle est la différence? – L'empathie consiste à ressentir ce que ressent l'autre. La compassion consiste, elle, à se soucier de quelqu'un qui souffre, sans pour autant éprouver soi-même ce qu'il ressent.
L'empathie ( Émotionnelle) d'une personne peut se mesurer en comparant ce qu'elle vous dit et ce qu'elle fait . Un manque d'Empathie révélera une dissonance entre les deux. Une personne empathique comprendra les émotions d'une autre personne et pourra se mettre à sa place.
Des blocages émotionnels surviennent suite à des expériences traumatisantes vécues dans l'enfance ou à des blessures émotionnelles non résolues. Les effets secondaires des émotions non traitées (colère, culpabilité, tristesse…) persistent. Ils affectent le bien-être général d'un individu.
Incapacité à ressentir certaines émotions ou grande difficulté à mettre un mot sur un ressenti, l'alexithymie, sorte d'anorexie des sentiments, handicape les personnes qui en sont atteintes.
Il faut distinguer cette "anesthésie" ou comme on l'appelle techniquement, l'anhédonie, de l'alexithymie, qui est l'incapacité d'identifier et de reconnaître ses propres émotions depuis toujours ou encore de la psychopathie, qui est l'absence d'émotion et l'absence de sentiment de culpabilité produits par l' ...
Les personnes empathiques ont le don d'être bien reliées à la terre. La plupart d'entre elles sont en harmonie avec la nature et les créatures vivantes. Les personnes empathiques se sentent souvent appelées à aider les autres à se servir de leurs capacités d'empathie dans tous les domaines.
L'empathie émotionnelle (ou contagion émotionnelle ou résonance affective) réfère à la tendance d'un individu à ressentir une émotion isomorphe à celle qu'autrui ressent (par exemple être heureux à la vue de quelqu'un qui exprime de la joie).
Le terme empathie (en allemand Einfühlung) est créé par le philosophe Robert Vischer en 1873 dans sa thèse de doctorat Über das optische Formgefühl pour désigner l'empathie esthétique, soit le mode de relation qu'un sujet entretient avec une œuvre d'art permettant d'accéder à son sens.
Les personnes empathiques comprennent les situations vécues par les autres alors que les personnes hyperempathiques vivent les situations d'autrui et ressentent leurs émotions. Si vous souffrez d'hyperempathie, vous pouvez avoir des difficultés à dissocier vos propres émotions de celles des autres.
Parler de livres, d'émissions de télévision et de vidéos peut être un bon point de départ pour une discussion sur les émotions. Il est également important de les prendre sur le fait lorsqu'ils agissent bien. Lorsque les enfants montrent de l'empathie, félicitez-les.
C'est bien la preuve que l'empathie n'est pas seulement innée. Elle se développe -ou pas- au fil des ans, en fonction des rencontres que l'on fait, des expériences et de la vie que l'on mène.
La difficulté à effectuer des choix (trop d'éléments à prendre en compte) ; Tendance à se montrer très timide ou au contraire très démonstratif ; Un grand besoin de moments calmes et apaisants ; Une sensibilité accrue aux bruits, aux odeurs, à la lumière, aux matières (l'enfant hypersensible est facilement surstimulé).