Boucher l'orifice de la seringue avec un doigt afin d'emprisonner une certaine quantité d'air.
Fermer la seringue en vissant dans l'embout une petite vis. (Bien serrer) ou brûler l'embout pour le fermer. Place la seringue dans une bouteille PET d'un ½ l.
Pour faire le vide dans une seringue, il faut d'abord enfoncer le piston au complet, mettre le bouchon au bout de la seringue, puis tirer sur le piston. La présence du bouchon rend le tout plus difficile puisqu'il empêche l'entrée d'air dans la seringue qui faciliterait l'augmentation du volume.
On pousse le piston d'une seringue contenant de l'air. Quand on comprime le gaz, l'espace entre les molécules diminue mais le nombre et la taille des molécules ne changent pas. La pression augmente.
Prenons une seringue partiellement remplie d'air : - En appuyant sur le piston, on diminue le volume de l'air, on le comprime ; - En tirant sur le piston, on augmente son volume, on le détend. Plus on comprime l'air, plus il faut appuyer fort sur le piston de la seringue. 1.2.
A un endroit précis, la pression atmosphérique est donc le poids exercé par une colonne d'air partant du sol et s'étirant jusqu'au sommet de l'atmosphère. La pression se mesure à l'aide d'un baromètre et s'exprime en hectopascal (hPa). 1 hectopascal équivaut à 100 Pascals (Pa) ou encore à 1 millibar.
Pousser le piston de chacune des seringues : l'air se comprime alors que l'eau ne se comprime pas, même sous l'effet d'une pression importante (voir la figure). La compressibilité d'un corps traduit sa variation relative de volume pour une augmentation de pression donnée.
La compressibilité des gaz permet d'en entreposer de grandes quantités dans des espaces restreints. Par exemple, un plongeur peut respirer sous l'eau grâce à de l'air comprimé dans une bouteille.
Parce que les molécules d'un liquide se repoussent
donc ne se repoussent pas ! La raison est que dans un liquide les molécules sont proches : on ne peut donc pas les rapprocher davantage. Comme les molécules sont dures, on ne peut pas envisager non plus de les déformer.
La compressibilité et l'expansibilité des gaz
Un gaz est compressible, car on peut diminuer le volume qu'il occupe. Ainsi, le nombre de chocs sur la surface sera plus important, c'est pourquoi sa pression augmente. Lorsqu'on pousse le piston d'une seringue reliée à un manomètre, on le comprime.
Lors de la compression de l'air dans la seringue, la pression à l'intérieur est supérieure à la pression atmosphérique. Si on lâche le piston, seules ces deux pressions s'appliquent sur celui-ci et c'est la plus forte qui provoque le mouvement du piston revenant alors à sa position initiale.
À température constante, si la pression externe exercée sur un gaz augmente, le volume de celui-ci diminue. Conséquemment, les particules de gaz deviennent plus rapprochées et se heurtent davantage. Par conséquent, les collisions sont plus fréquentes, ce qui augmente la pression.
Les aiguilles couramment utilisées en médecine vont de 7 gauges (les plus grosses) à 33 gauges (les plus petites) sur l'échelle de Stubs.
Le volume du gaz est inversement proportionnel à la pression qu'il exerce (à température constante) : si la pression augmente, le volume diminue. Par conséquent, un gaz diminue son volume en refroidissant ou en augmentant sa pression.
INTERPRETATION : En réduisant le volume de l'air enfermé, on réduit l'espace entre les molécules en mouvement. Elles se «tassent» et les chocs sur les parois du récipient deviennent plus nombreux: la pression augmente. Inversement, en augmentant le volume, la pression diminue.
On relie l'extrémité d'une seringue à un capteur de pression afin de mesurer la pression de l'air à l'intérieur de la seringue. Quand on pousse le piston, la pression de l'air augmente. Quand on tire le piston, la pression de l'air diminue. Si on réduit le volume de l'air, alors sa pression augmente.
Les liquides sont des fluides incompressibles (eau, huile, mercure, etc.). Si on ferme l'orifice d'une seringue avec un doigt et qu'on essaie de pousser pour comprimer l'eau, l'eau ne se comprimera pas: elle essaiera de sortir par l'orifice.
Un fluide est incompressible si son volume reste constant malgré les forces extérieures qui s'exercent sur lui. Sa masse volumique ρ est donc constante et ne dépend pas de la pression qui s'y exerce.
lors d'une compression, la température augmente puisque le milieu extérieur fournit du travail au système, ce qui augmente son énergie interne et donc son agitation thermique ; lors d'une détente, la température diminue car c'est le système qui fournit du travail au milieu extérieur.
On comprime de l'air avec la pompe et on se rend compte que le corps de la pompe se réchauffe! Donc, quand on comprime un gaz, il se réchauffe. Dans le sens contraire, quand on diminue sa pression il se refroidit.
La pression et le volume d'un gaz sont inversement proportionnels. Ainsi, une augmentation de volume entraîne une diminution de la pression, alors que la pression augmente lorsque le volume diminue.
En effet, il permet de comprimer le mélange de carburant et de gaz extérieur en vue d'une explosion, puis il transforme le tout en énergie thermique, et ensuite en énergie mécanique.
Quand on appuie sur le piston de la seringue bouchée, on voit que le volume d'air dans la seringue diminue et on sent que l'air pousse sur le doigt.
Lorsqu'on tire le piston, on augmente le volume du gaz : on le dilate. Remarque : Si on enlève la cale, le piston revient à sa position de départ : on dit que l'air est élastique.