Répondre « si » à une question interro-négative vient casser la négation de la question. Quand on répond « oui » à une question positive, on confirme la demande. Répondre « oui » à la question « Tu veux aller au cinéma ? » confirme le côté positif de la question.
Lorsque la question est affirmative, la réponse est en oui ou en non. Lorsque la question est négative, la réponse est en si ou en non, comme l'illustrent les exemples ci-dessous.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex. dans le dialogue du podcast, on peut entendre : – Ok, comme toujours, à 5 heures devant la cafétéria ?
Quand introduire l'interrogation indirecte par si ? L'interrogation totale (appelant la réponse oui ou non), c'est-à-dire une question sans mot interrogatif, est introduite par si. Exemple : Vient-elle demain ? - Il demande si elle vient demain.
Réponse négative : Non, je ne vais pas à l'école. Question à la forme négative : Vous n'allez pas à l'école ? Réponse affirmative : Si, je vais à l'école. Réponse négative : Non, je ne vais pas à l'école.
Si la réponse est affirmative, on répond "si". La même question : Tu veux manger ? Oui.
Ouais, si, ok, bien sûr, tout à fait…
Exprime une réponse positive. Synonyme : d'accord, assurément, bien sûr, évidemment, parbleu !, pardi !, parfaitement – Familier : dame !, ouais.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
La fonction SI permet d'effectuer une comparaison logique entre une valeur et une hypothèse en testant une condition et en renvoyant un résultat Vrai ou Faux.
conj. s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ... adv.
Dans le cas contraire, il convient presque toujours d'écrire « si », conjonction de subordination qui marque une condition (« si Léo vient, je serai content »), une affirmation (« mais si, il est d'accord ») ou une intensité (« il est si beau ! »)
Si peut être un nom invariable désignant une note de musique. Si peut aussi être un adverbe de quantité, d'intensité ou d'affirmation. Si peut également être une conjonction de subordination.
Marque une comparaison d'égalité dans une phrase négative ou interrogative (au lieu de aussi) : On n'est jamais si malheureux qu'on s'imagine. 4. Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner.
Où ? Ne pas confondre sinon (en un mot) et si non (en deux mots). Pour ne plus se tromper, il faut retenir que l'expression si non (en deux mots) suit forcément l'expression si oui. En l'absence de si oui, on écrit sinon en un seul mot.
Il est plus courtois de répondre : je vous en prie ou je t'en prie. Cette manière est plus formelle que les autres. Vous devez dire « je vous en prie » avec des étrangers et « je t'en prie » avec des personnes que vous connaissez.
Définition de si conjonction et nom masculin invariable devient s' devant il, ils. Introduit soit une condition (à laquelle correspond une conséquence dans la principale), soit une simple supposition ou éventualité.
Si tu vas à la boulangerie, tu achèteras du pain. Rappel : Les terminaisons au futur sont : -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. -Lorsqu'il y a SI+verbe conjugué à l'imparfait, le verbe de la deuxième proposition sera au conditionnel présent. Si tu allais à la boulangerie, tu achèterais du pain.
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Qui convient, correct. Oui, d'accord, c'est entendu.
Si on est d'accord avec cette affirmation, on peut répondre “tout à fait“. Il est également possible d'utiliser différents adverbes tels que “effectivement“, “absolument“, “parfaitement“, “bien sûr“. Hormis cela, les Français ont souvent tendance à dire “bien entendu” ou encore “ça, c'est (bien) vrai“.
Évidemment, on peut répondre tout simplement « oui », « ouais ». Mais, ce « tout à fait », ce « bien sûr », c'est pour dire « je suis d'accord avec toi et je vais le faire ». Une autre formule intéressante, dans un registre peut-être légèrement plus soutenu, c'est « c'est entendu ».
Wesh : Pour tout et rien, pour dire oui, mais aussi “hey !”
Comme on dit « ouah ! Super ! », un « ouais ! » marque aussi l'approbation et a dérivé vers le statut de synonyme familier de « oui » alors qu'il mérite amplement une place.