L'expression pourquoi pas est généralement suivie d'un point d'interrogation, même lorsqu'elle répond à une question : Êtes-vous prêts à vous lancer dans une telle entreprise? — Pourquoi pas?
Pourquoi pas,
sert à répondre de façon affirmative, à envisager favorablement la demande.
« Introduit la conséquence, la conclusion de ce qui vient d'être dit. C'est pourquoi, voilà pourquoi. J'ai une chose urgente à lui demander, c'est pourquoi j'irai le voir dès ce matin. » (C'est moi qui ai graissé.)
La ponctuation expressive a une valeur stylistique : elle sert à évoquer des nuances affectives, à produire des effets de style. C'est le rôle que jouent notamment le point d'exclamation, le point d'interrogation et les points de suspension.
Le point d'interrogation, jadis appelé point interrogant, a pour fonction principale d'indiquer que l'on pose une question, en constituant même parfois la seule indication. Il se place généralement à la fin de la phrase, mais peut également, dans certains cas, se trouver à l'intérieur.
Le point-virgule sépare, dans une phrase, des propositions liées par le sens. Il est suivi d'une minuscule. Ex. : Nous nous voyons très souvent ; en fait, nous sommes inséparables. On utilise un point-virgule quand on poursuit une idée, une description.
Les règles liées à la ponctuation
Une espace avant, une espace après : Tiret d'incise. Une espace insécable avant, une espace après : deux-points, point-virgule, point d'exclamation, point d'interrogation, guillemets français fermants, pourcentage, signes mathématiques.
La ponctuation faible marque une petite pause; par exemple, la virgule qui sépare des éléments juxtaposés est un signe de ponctuation faible. Adieu veaux, vaches, cochons, couvées!
Bonjour, Avant une apostrophe (pas l'apostrophe comme celle-ci : « ' » mais le fait d'apostropher), on met une virgule.
La virgule, signe de ponctuation marquant une pause légère, figure peu dans les phrases qui respectent l'ordre normal des mots : sujet, verbe, complément direct, complément indirect, complément circonstanciel. C'est ainsi qu'elle ne sépare pas en principe le verbe de son sujet ni le verbe de son complément.
Le principal synonyme de c'est pourquoi est c'est la raison pour laquelle, Il est un peu long, mais il marche à tous les coups. Il y a aussi voici pourquoi, voilà pourquoi, mais ceux-là ont une particularité : ils peuvent aussi introduire une cause.
Le pourquoi -> Nom -> Peut être remplacé par « la raison », « le motif ». Pour quoi -> Préposition (pour) et pronom relatif (quoi) -> Peut être remplacé par « pour quelle chose / dans quel objectif ? » Faites la différence entre « pour quelle raison » et « pour quelle chose / objectif ».
La formule c'est pourquoi est un connecteur qui sert, dans un texte, à introduire une conséquence intimement liée à la cause qu'on vient d'énoncer, ou la conclusion qu'on tire de ce qui vient d'être dit.
L'expression pourquoi pas est généralement suivie d'un point d'interrogation, même lorsqu'elle répond à une question : Êtes-vous prêts à vous lancer dans une telle entreprise? — Pourquoi pas?
« pourquoi » peut également s'écrire en deux mots. La réponse attendue n'est alors plus « parce que » ou « car », évoqués précédemment. « Pour quoi » signifie « pour quelle chose », en opposition à « pour qui », qui signifie « pour quelle personne ».
Le pronom complément direct ou indirect situé après un verbe à l'impératif se joint à celui-ci par un trait d'union. Ex. : Repose-toi. Finis-le. Comprends-moi.
On ne place habituellement pas une virgule avant les coordonnants et, ou et ni. On le fait seulement lorsqu'ils coordonnent plus de deux éléments. Nous n'avons ni averti les policiers ni les pompiers. Béatrice ne peut ni parler, ni manger, ni bouger.
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement. Ce procédé stylistique n'est cependant pas à recommander : Il est parti sans parapluie!!
On peut dire qu'il a une fonction intonative. Il exprime une vraie intonation et donne une force à la phrase ! Il fait partie de l'affec. Aujourd'hui, nous utilisons le point d'exclamation sans cesse, même si nous ne savons pas comment l'utiliser.
Les linguistes sont encore partagés sur la question. Mais ils s'accordent, en règle générale, sur le fait que la ponctuation est en réalité née entre le III et le IIe siècle avant J. -C., dans un temple du savoir qui tient désormais lieu de mythologie : la bibliothèque d'Alexandrie.
La façon de ponctuer change radicalement le sens de la phrase. Si une seule virgule est placée après "m'a dit" - La professeure m'a dit, cet élève est un âne. Cela signifie que la professeure a dit : "cet élève est un âne". Si deux virgules encadrent "m'a dit cet élève" - La professeure, m'a dit cet élève, est un âne.
On place le point d'exclamation après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Nous avons constaté que les signes de ponctuation sont rattachés à trois plans linguistiques : la virgule, le point-virgule et les deux-points font partie des procédés de la syntaxe constructive; la syntaxe communicative, pour exprimer la valeur informative d'un segment, possède ses moyens à elle qui sont les tirets, ...
Une émotion masquée
Ils apportent une information supplémentaire de l'ordre de l'émotion au seul énoncé strict", décrit Louise-Amélie Cougnon. Il s'agit généralement d'un sentiment masqué, ce qui relève bien souvent d'un réflexe de pudeur ou d'orgueil, selon le psychologue et psychanalyste Michael Stora.
Dans certains cas, cette ponctuation marque un réel désaccord. Par exemple, une personne peut écrire “d'accord...” sans réellement être d'accord. On appelle cela un “comportement passif-agressif”. “Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement.