Le fort taux d'humus et d'argile lui confère une réserve d'eau utile importante. Pour ces raisons, elle est souvent considérée comme le meilleur sol au monde pour l'agriculture. D'ailleurs, ce type de sol se prête très bien au semis direct ou aux techniques culturales simplifiées (TCS).
Avec 40 contrats portant sur 1 million d'hectares (ha) de terres, l'Ethiopie occupe la première place continentale et le 7ème rang mondial. Suivent le Ghana avec près de 800 000 ha, le Soudan du sud et le Maroc avec près de 750 000 ha chacun.
Son sol dispose de gisements de plus de 20 types de minerai rentables sur le plan économique. Les mines de charbon fournissent 85% de la demande domestique (100 millions de tonnes). Par contre les gisements de pétrole et de gaz ne fournissent plus respectivement que 20 et 10% des besoins nationaux.
En 2021, une loi sur la vente des terres agricoles est entrée en vigueur en Ukraine. D'après le média Australian national review, des firmes américaines ont profité de cette législation pour investir massivement dans le pays. 40% des terres cultivables en Ukraine est désormais contrôlé par des capitaux américains.
Les sols ukrainiens sont caractérisés par une présence importante sur près de la moitié de leur surface de tchernozem (aussi appelé terres noires), considéré comme particulièrement fertile.
Donetsk, qui est aujourd'hui la métropole de la région, a été fondée en 1869 par l'industriel gallois John James Hughes. Le Donbass fut dès lors un important bassin houiller et s'imposa comme un des bastions de l'industrie lourde sur le site de la vieille ville zaporogue d'Olexandrivka.
Les réserves de charbon sont abondantes : l'Ukraine se situe au 8e rang mondial avec 3,2 % des réserves mondiales, mais sa production ne couvre que 55 % de sa consommation. Elle dispose également de gisements de pétrole et de gaz, qui couvrent respectivement 18 % et 70 % de la consommation du pays.
En moyenne, le salaire moyen en Ukraine est de 409.49 €. Cette donnée est issue de la moyenne des salaires moyens renseignés par les internautes habitant dans le pays. La différence avec le salaire moyen en France est de 81%.
Ce sont les fameux tchernozioms, qui signifie littéralement « terres noires ». Cette couleur caractéristique est liée à la présence d'une grande quantité d'humus, de 3 à 15 %.
Les terres les plus fertiles d'Europe
Le tchernoziom ukrainien se caractérise par une forte épaisseur de terre enrichie en matière organique : 1 mètre en moyenne (mais parfois jusqu'à 6 m), alors qu'elle n'est communément que de 20 centimètres sur les autres types de terres agricoles.
L'agriculture française est largement en tête des plus grandes agricultures du monde comme le montre le graphique 1 ci-dessous. Sur une superficie de 670 milliers de kilomètres carrés, elle produit 1,7% de la valeur agricole mondiale, à peu près comme la Russie qui pourtant a un territoire plus de 25 fois supérieur.
C'est embêtant, car les terres normandes comptent parmi les plus riches et, en plus, selon Ségolène Groualle, de la DRAFF, « si les terres fertiles sont à l'est, les terres qui rendent le plus de services écosystémiques sont celles situées à l'ouest, les prairies et les bocages et les territoires particuliers que sont ...
La Russie, super grenier du monde.
Si l'Ukraine a toujours été un pays à forte tradition agricole, c'est au cours des dernières années qu'elle est devenue un acteur majeur sur les marchés internationaux, produisant et exportant des quantités importantes de produits céréaliers (blé, maïs) et d'oléagineux (tournesol).
Dès le début du xviii e siècle, l'Ukraine acquière le surnom de grenier à blé de l'Europe en raison de la production de blé qui se développe sur les terres fertiles de sa partie méridionale et des exportations qui en découlent vers la Méditerranée occidentale.
Souvent, les Ukrainiens ont des relations chaleureuses et ouvertes avec leurs collègues. Il est intéressant à noter qu'au bureau ils savent "garder leurs distances" et respecter le protocole, mais peuvent parler de sujets très personnels sitôt dehors et sont capables d'un véritable soutien moral entre collègues.
En Ukraine, elle est de 4173 hryvnias, soit un peu moins de 140 euros. Actuellement, à titre de comparaison, la Bulgarie présente, parmi les membres de l'UE, le Smic le plus faible, à environ 330 euros.
Le salaire médian net en France s'élevait à 1 789€. Il est important de noter que ce salaire média diffère selon le sexe. L'INSEEC a noté une différence de 13,7% entre les hommes et les femmes. Le salaire médian des femmes s'élève à 1 639€ tandis que celui-ci des hommes est de 1 899€.
En tête des exportations françaises vers la Russie, on retrouvait, en 2019, les matériels de transport (24 %), les produits chimiques, parfums et cosmétiques (21 %), les machines industrielles et agricoles (11 %), les produits pharmaceutiques (8 %) ou encore les produits informatiques, électroniques et optiques (7 %).
Un premier conflit a débuté en mars 2005 pour culminer le 1er janvier 2006, Gazprom refusant d'alimenter les gazoducs ukrainiens à la suite d'un désaccord sur le prix de transit par les gazoducs ukrainiens. Le conflit s'est résorbé le 4 janvier 2006 à la suite d'une entente préliminaire entre la Russie et l'Ukraine.
Ce gazoduc mesure 1234 kilomètres de long en reliant le village de Bolchoï Kouziomkino, dans la région de Saint-Pétersbourg en Russie, à Lumbin, une ville côtière au nord de l'Allemagne, via la mer Baltique.
Bien que plusieurs raisons historiques, politiques et géographiques s'imposent, le président Poutine considère notamment une adhésion potentielle de l'Ukraine à l'alliance militaire comme une menace pour les frontières de la Russie et pour sa sphère d'influence.
Le Kremlin avait fait de la conquête du Donbass, en vue de son annexion, son principal objectif dans son “opération militaire spéciale”. Officiellement, il s'agissait de “libérer” cette région industrielle, au cœur d'un conflit sanglant entre l'Ukraine et la Russie qui dure depuis près d'une dizaine d'années.
Dès 2014, les pro-russes Ukrainiens, alignés sur Moscou, dénoncent la prise de pouvoir à Kiev par les « Nazis »; ils veulent ainsi inscrire leur combat dans la continuité de la lutte des Russes contre les ingérences étrangères lors de la guerre civile de 1918-1921 et de la « grande guerre patriotique » de 1941-1944.