Vivre avec une personne atteinte d'Alzheimer ou d'une autre démence, c'est vivre des situations difficiles. La personne s'énerve rapidement, elle pleure. Une simple activité peut alors devenir un parcours du combattant quand la personne démente refuse de la faire. Elle peut se mettre à hurler, à insulter, à griffer…
Alzheimer provoque des troubles de la mémoire, de la pensée et du comportement. Au stade précoce de la maladie, les symptômes de démence peuvent être légers mais s'aggravent à mesure que le cerveau se détériore davantage.
Dans les derniers instants de sa vie, un malade atteint de la maladie d'Alzheimer observe une peau pâle ou bleuâtre, notamment au niveau des lèvres et des ongles. Les extrémités de ses mains et ses pieds peuvent être froids en raison de la pression sanguine qui baisse.
Le stade avancé de la maladie d'Alzheimer est également appelé le « stade grave ». À ce stade, la personne atteinte finit par être incapable de communiquer verbalement ou de prendre soin d'elle. La communication non verbale est de plus en plus importante.
Le jeu de mémoire, le bingo adapté et les formes géométriques sont des jeux amusants à partager avec votre proche. Ces produits ont été développés pour les personnes atteintes de démence afin de permettre de stimuler leurs fonctions cognitives tout en favorisant l'interaction avec leurs proches.
La personne malade peut ainsi trouver des choses drôles qui ne le sont pas ou avoir tendance à rire de façon inappropriée. Tristesse, pessimisme, dévalorisation… Le patient se décourage, pleure, pense qu'elle n'a pas d'avenir, qu'elle est un fardeau pour ses proches et évoque même parfois le désir de mourir.
Une mutation de l'un de ces gènes suffit à provoquer l'apparition précoce d'une maladie d'Alzheimer. Cette anomalie génétique se transmet à la génération suivante. Si une femme ou un homme en est porteur, chacun de ses enfants a un risque sur deux d'en hériter.
L'espérance de vie d'une personne malade d'Alzheimer varie de huit à douze ans à partir du moment où le diagnostic est établi.
Une tentative de fuite face à une menace réelle ou ressentie. Les patients peuvent avoir peur d'une maison bruyante, d'un visiteur étrange ou encore de l'idée qu'une personne chargée de s'occuper d'eux essaie de lui faire du mal.
La maladie évolue durant une dizaine d'années environ après l'apparition des premiers symptômes avant d'aboutir au décès de la personne. Cette évolution est la conséquence de la lente progression des lésions dans le cerveau.
Lorsque les troubles du comportement sortent de toutes proportions et que vous ne parvenez plus à y faire face, il peut être temps d'envisager un accueil en Ehpad.
Ce changement de caractère peut aussi être lié à des peurs comme la peur de l'abandon, la peur de la mort, de la maladie. Vieillir est une crainte pour de nombreuses personnes.
L'Alzheimer et la démence font tous deux référence à une diminution des fonctions du cerveau. Tous les deux surviennent aussi habituellement avec le vieillissement. De plus, dans la majorité des cas, autant l'Alzheimer que la démence se manifestent par une perte significative de la mémoire.
Les troubles physiques, physiologiques et psychologiques observés dans la maladie d'Alzheimer, auxquels s'ajoutent une perte du lien social peuvent être à l'origine d'une diminution de la consommation alimentaire chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.
L'IRM permet de détecter une atrophie corticale et notamment une atrophie des hippocampes (structure cérébrale impliquée dans la mémoire, dont la taille est souvent diminuée dans la maladie d'Alzheimer).
L'alzheimer peut être détecté précocement via scanner cérébral.
Les résidents décèdent à 89 ans en moyenne, après une durée de séjour moyenne de trois ans et quatre mois. Un quart des décès de résidents en Ehpad n'ont pas lieu dans l'établissement même mais au cours d'une hospitalisation. Les hommes et les résidents les plus jeunes sont davantage concernés.
Le diagnostic de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée doit avoir été posé. La personne doit être d'accord pour participer aux activités du PASA. La décision d'une entrée ou d'une sortie en PASA est prise par l'équipe du PASA et validée par le médecin coordonnateur.
le faible niveau d'instruction ; Les facteurs de risques cardiovasculaires: l'hypertension artérielle non traitée, les accidents vasculaires cérébraux, l'hypercholestérolémie, le diabète, le surpoids, l'obésité ; le sexe féminin ; les facteurs environnementaux (tabac, alcool, pollution, certains médicaments…)