Le mors pelham est souvent indiqué pour mieux contrôler les chevaux un peu forts avec du sang. Il provoque plutôt un effet abaisseur lorsque les rênes sont fixées sur l'anneau du bas et légèrement releveur lorsqu'elles sont fixées sur le gros anneaux.
On peut l'employer chez un cheval encore assez « vert » dans son dressage, après lui avoir fait comprendre en main l'action du mors et la cession à la rêne de bride (cela est surtout vrai avec un pelham brisé). Le pelham droit est plus sévère et moins précis, notamment lorsqu'on agit sur le mors de filet.
– mors à demi- spatules
Il est surtout utilisé pour les chevaux qui basculent la tête afin de ne pas répondre à une action de main du cavalier.
Pour les chevaux difficile à contrôler : l'utilisation d'un mors pelham redonne du contrôle, par l'effet de la gourmette. On préfèrera celui avec les canons enrobés de caoutchouc. Le mors à aiguilles avec canons en caoutchouc aidera à la direction et au contact, comme pour un jeune cheval.
En fonction de si on l'utilise sur l'anneau du haut ou du bas, le pelham peut avoir un effet plutôt releveur ou plutôt abaisseur. Sur l'anneau du bas c'est là que le pelham est le plus puissant. Certains utilisent le PELHAM avec des alliances.
L'utilisation d'un mors Pelham :
Le mors Pelham est un mors encore plus dur que le Pessoa. C'est un mors puissant utilisé généralement avec une gourmette.
Le mors releveur est un mors que l'on peut utiliser pour des chevaux sur les épaules et qui s'appuient sur la main. L'action de ce mors incitera votre cheval à passer ses postérieurs dessous (Sur son arrière main) et remonter son garrot. Cet effet permettra de le rééquilibrer et de le redresser.
Le headshaking est une pathologie du cheval dont la cause exacte est encore inconnue, même si on a démontré l'implication d'une hypersensibilité du nerf trijumeau. Cette affection se caractérise par des mouvements de tête intempestifs ainsi que d'autres signes tels que les frottements de nez et les éternuements.
Comment utiliser un pelham ? Il est possible d'utiliser le pelham soit avec deux paires de rênes, soit avec une seule. Dans le premier cas, une paire de rênes est fixée sur l'anneau du milieu et une autre sur l'anneau du bas. Dans cette configuration, il est possible de moduler la puissance du mors.
Un mors de 145 mm convient aux grands chevaux. Les mors de 155, 160 ou 165 mm sont faits pour les chevaux de traits.
Un billot en caoutchouc ou bien un filet simple ou à olives, en caoutchouc. Ce sont les mors les plus doux et, sauf erreur, les plus couramment utilisés pour les débourrages.
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
Lorsque le cheval balance sa tête de droite à gauche et de gauche à droite dans son box, le plus souvent au-dessus de sa porte, mais également derrière, on parle de tic de l'ours ou d'encensement. Souvent, il reporte son poids alternativement d'un membre antérieur sur l'autre. C'est l'un des signes de l'ennui.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Les mors droits
Un canon droit agit plus sur la langue. L'amortissement de la langue fait que les barres sont peu touchées. Ces mors sont toutefois peu précis parce que les deux côtés ne sont pas dissociés. Ils sont réputés plus doux mais tous les chevaux ne supportent pas la pression sur la langue.
Le mors droit en caoutchouc. Souple et confortable, le mors en caoutchouc est bien accepté par la plupart des chevaux. Il est tout particulièrement indiqué pour les jeunes chevaux et les sujets ayant une bouche sensible.
Un mors droit et souple peut être une bonne solution . Mais leur clouer le bec a coup de muserolles , ça non . Une petite muserolle française pas trop serrée suffit amplement pour stabiliser le filet et limiter l'ouverture de bouche . Pour le reste , une bonne main et le travail approprié feront le reste .
Les douleurs buccales liées au port du mors résultent de la compression, de la lacération ou de l'étirement des tissus, d'inflammations et d'entraves à la circulation sanguine. Le frottement ou choc répété du mors est susceptible de créer des contusions, coupures, déchirures et ulcères dans la bouche du cheval.
Si un cheval ouvre fréquemment la bouche, montre sa langue, ses dents, mastique nerveusement son mors la bouche ouverte ou grince des dents, cela constitue un signe évident d'inconfort.
Comme son nom ne l'indique pas, le releveur a un effet abaisseur. En fait, il "relève" le mors dans la bouche en faisant pression sur la têtière. Il permet un rééquilibrage de la base de l'encolure, à n'utiliser qu'avec des chevaux ayant bcp d'impulsion et un dos fort. Bcp de cavaliers s'en servent de frein.
Tu peux l'utiliser avec une paire de rênes, 2 paires de rênes ou une alliance. Avec une paire de rênes, elles sont attachées directement à l'anneau fixé sur le montant du releveur. L'action est plus forte. Avec deux paires de rênes, l'une s'attache à l'anneau du montant et l'autre sur l'anneau du mors directement.
Le jeune cheval
Sur un jeune cheval, on privilégie les mors doux, avec des matières agréables au toucher, comme la résine ou le caoutchouc, car elles sont plus moelleuses, souples, mais aussi moins "froides" que le métal..