Dans les jours qui suivent l'accouchement, on observe une chute massive du taux de progestérone. Le taux sérique de cette hormone est plusieurs centaines de fois plus élevé en fin de grossesse qu'en temps normal, et il reviendra à son taux basal dans les jours qui suivent l'accouchement.
Ces changements hormonaux sont importants : ils apparaissent dès les premiers mois de grossesse et se maintiennent jusqu'à la naissance de l'enfant, pour répondre aux nouveaux besoins de l'organisme de la femme enceinte et du fœtus.
La chute du taux des hormones produites par les ovaires, en particulier celle des oestrogènes, est responsable des principaux symptômes de la ménopause : arrêt des règles, bouffées de chaleur, une peau plus sèche, une prise de poids ou encore une baisse de la libido.
Le dérèglement hormonal survient lorsque l'une ou l'autre des hormones est produite en trop grande ou en trop petite quantité par les glandes correspondantes. Les hormones sont des substances qui sont sécrétées par des glandes endocrines.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
L'hormone régule de nombreuses fonctions du corps : sommeil, ovulation, stress, humeur… Un dérèglement peut entraîner des symptômes significatifs.
L'évaluation de votre profil hormonal se fait par une prise de sang, le plus souvent entre le 2ième et le 4ième jour du cycle. Différentes hormones jouent un rôle dans la reproduction.
Favoriser le zinc et le magnésium dans votre alimentation
Pour augmenter naturellement sa progestérone, il faut miser sur de plus grands apports en zinc. Celui-ci va contribuer à augmenter vos niveaux de FSH (hormone folliculo-stimulante), et ainsi favoriser l'ovulation.
Œstrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler.
Dans de nombreuses cultures, une période de quarante jours à part. Dans bien des cultures, ces quarante jours sont considérés comme particuliers. En médecine chinoise, les quarante jours après la naissance sont même baptisés “Mois d'Or” car ils font l'objet d'un traitement adapté.
Parce que pendant la grossesse et l'accouchement, tous les tissus et les muscles se sont distendus. Le périnée – sorte de hamac tendu entre le pubis et le coccyx et constitué de trois couches musculaires – s'est relâché sous l'effet du chamboulement hormonal, du poids du fœtus et s'est étiré lors de l'accouchement.
C'est le fameux baby blues ; il concerne 50 à 70 % des mères à des degrés divers et est dû aux variations hormonales importantes, à l'épuisement physique occasionné par l'accouchement et au manque de repos qui s'ensuit.
Il faudra environ 15 à 30 jours pour qu'il retrouve une taille « normale ». La peau du ventre, quant à elle, a été étirée pendant 9 mois et des vergetures ont pu apparaître.
Le baby blues, ou « syndrome du troisième jour », apparaît chez la mère dans les premiers jours qui suivent l'accouchement. Les symptômes se manifestent par de l'irritabilité, de l'anxiété, de la vulnérabilité et des sautes d'humeur.
Qu'est-ce que le baby-blues ? Quelques jours après l'accouchement, beaucoup de mamans traversent une période de déprime qu'on appelle le baby blues. C'est une réaction naturelle, causée par tous les changements physiques, hormonaux et psychologiques liés à l'accouchement.
Causes d'infertilité relatives au déséquilibre hormonal
Une production diminuée ou une non-production de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) provoque le développement partiel uniquement des follicules ovariens. Les ovaires, par conséquence, ne produisent pas d'ovules matures.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Ménopause : une prise de poids moyenne entre 2 et 5 kg
La carence en hormones féminines peut engendrer quelques kilos de plus, dans la mesure où les œstrogènes sont des régulateurs de l'appétit et où la progestérone module la dépense de l'énergie sous forme de chaleur."
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Sécrétée par l'hypophyse, la sérotonine agit comme hormone messagère permettant à l'influx nerveux de passer correctement d'un neurone à l'autre. Elle participe à la régulation des comportements alimentaires et sexuels, du cycle veille/sommeil, de l'humeur et de l'anxiété.