Veni, vidi, vici (Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu). Cette phrase a été prononcée par Jules César (100 avant J. -C – 44 avant J. -C).
C ette phrase lapidaire - « Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu » -, qui indique une victoire aussi rapide qu'inattendue, aurait été écrite par le général de la République romaine dans une lettre qu'il adresse à un ami pour lui annoncer son triomphe foudroyant, le 2 août - 47, sur Pharnace II, roi du Pont (ancien ...
D'après Plutarque, cette phrase laconique est extraite du rapport de Jules César au Sénat romain après sa victoire rapide et inespérée, près de Zéla, en Asie mineure en -47, sur Pharnace II , roi du Pont, qu'il détrôna en un laps de temps très court.
Mots par lesquels César annonça au sénat la rapidité de la victoire qu'il venait de remporter sur Pharnace, roi du Pont (47 avant J. -C.).
Veni, vedi, vici (je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu) est une locution latine attribuée à Jules César (100 – 44 av. J. -C.), général et homme politique romain.
Alea jacta est est une locution latine signifiant « le sort en est jeté », ou « les dés sont jetés », que Jules César aurait prononcée le 10 janvier 49 av. J. -C. avant le passage du fleuve Rubicon.
Sur le chemin de la colline du Capitole, les triomphes se déroulaient le long de la Via Sacra, la rue principale de la Rome antique. Lorsque les triomphes étaient accordés par le Sénat, une grande procession avait lieu dans les rues de Rome.
Dans la Rome antique, les dieux étaient nombreux, on parle de religion polythéiste. Les Romains était un peuple profondément religieux et possédaient un ensemble complexe de croyances et d'actes rituels codifiés et organisés. Très variés, les cultes étaient omniprésents dans la vie publique comme dans la sphère privée.
Le premier mois de l'année doit son nom à Janus, dieu romain des commencements et des fins. Janus est généralement représenté avec deux visages, comme sur cette pièce romaine en métal datée d'entre 753 av.
Cette célébration a lieu dans le cadre des «saturnales» qui, du 17 au 23 décembre, commémorent le règne paradisiaque de Saturne, où les hommes vivaient dans l'égalité et l'abondance, sans avoir à travailler la terre.
"Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu." "De tous les peuples gaulois, les Belges sont les plus braves." "Qui veut la paix prépare la guerre." "Le sort en est jeté !"
Cette expression latine, habituellement traduite par «les dés sont jetés» ou «le sort en est jeté», est employée pour indiquer, en un moment crucial, que l'on remet son sort au hasard. Jules César aurait prononcé cette phrase passée à la postérité le 11 janvier 49 av. J.
Ce proverbe qui semble dater du XVe siècle signifie que celui qui aura la patience d'attendre verra comment les choses évoluent vraiment.
« Ainsi, celui qui désire la paix devrait préparer la guerre. Celui qui désire la victoire devrait entraîner soigneusement ses soldats. Celui qui désire des résultats favorables devrait combattre en se fiant à ses habiletés et non à la chance. »
1C'est Juvénal, auteur des Satyres vers 100-125 qui est l'auteur de cette expression « du pain et des jeux ».
Locution-phrase
(Variante) Lorsqu'un événement désiré ne se produit pas, il faut agir en conséquence.
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Les Saturnales (en latin Saturnalia) sont, durant l'antiquité romaine, des fêtes se déroulant la semaine du solstice d'hiver (soit du 17 au 23 décembre) qui célèbrent le dieu Saturne et sont accompagnées de grandes réjouissances populaires.
Saturne est un dieu de la religion romaine. Il préside la période qui précède le solstice d'hiver, celle des Saturnales. Pendant le reste de l'année, c'est un deus otiosus, un dieu en sommeil. Sa statue est liée par des bandelettes dont on ne le libère qu'au moment des Saturnales.
Cronos sera arrêté par Persée, armé d'une lance composée du trident de Poséidon, de la lance d'Hadès et de l'éclair de Zeus.
Dans la mythologie grecque, Rhéa, ou Rhéia (en grec ancien Ῥέα / Rhéa ou Ῥεία / Rheía), est une Titanide, fille d'Ouranos (le Ciel) et de Gaïa (la Terre), sœur et femme du Titan Cronos, et mère des Cronides, les dieux et déesses Hestia, Déméter, Héra, Hadès, Poséidon et Zeus.