La douleur de perdre notre mère ne nous quittera jamais complètement, mais le temps permet au chagrin de céder progressivement le pas à l'apprentissage et à cette douleur de nous rendre plus forts. Même si votre âme est incomplète, allez-y et concentrez-vous sur votre bonheur, rendez votre mère fière, où qu'elle soit.
“Ne culpabilisez pas. Digérez son départ mais ne restez pas bloqué(e) sur ce que vous n'avez pas fait, ou auriez pu mieux faire lors de leurs derniers jours, ou sur votre relation avec lui (elle) pendant leur vie.” Jen, a perdu sa mère à 24 ans. Pour ce qui est du reste, nous avons agi en se fiant à sa personnalité.
C'est un honneur de me tenir devant vous et de partager mes précieux souvenirs de ma mère. Elle manquera à tous, mais sa mémoire vivra en nous tous pour toujours. Je t'aime tellement, maman, et tu me manqueras plus qu'aucun mot ne puisse l'exprimer.
la phase 1 : le choc et la sidération. la phase 2 : la fuite et la recherche. la phase 3 : la déstructuration.
Personne ne devrait se retrouver seul pendant une période de deuil. Lorsque vous avez à gérer la mort d'un parent, vous voudrez peut-être passer du temps tout seul, replié sur vous-même. C'est normal de prendre du temps seul pendant un moment, mais faites un effort pour continuer à voir certains de vos amis.
La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.
L'absence de deuil ou le deuil-non-fait en est une complication grave à l'origine de désordres somatiques et psychologiques et d'une entrave au bon développement psychique chez l'endeuillé et même sa descendance.
Il existe trois formes de deuils compliqués : Le deuil différé, le deuil dans lequel le refus initial de la perte va être beaucoup trop long. Le deuil inhibé qui est caractérisé par l'absence d'expression des émotions.
Première étape du deuil : le déni
Cette réaction est marquée par le refus de croire que nous avons perdu un être cher. C'est surtout le cas si nous venons de parler récemment à cette personne. Notre esprit peut donc prendre un certain temps à s'adapter à cette nouvelle réalité.
Ta présence, ton soutien, ta patience, ton admiration, ta compréhension, ton écoute et les milliers de magnifiques qualités que tu avais m'ont permis de vivre une vie des plus MAGNIFIQUE.
“Quand une âme s'est éteinte en ce bas monde, c'est qu'elle brille dans un autre fait de beauté et de paix…” Pensées chaleureuses. “La vie a une fin comme une lumière de bougie qui s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs restent à jamais éclairés…” Anonyme.
Merci pour ton temps, ta présence, toutes les leçons de vie et les belles valeurs que tu m'as transmises. Merci d'avoir été la femme que tu es, le meilleur de toi-même à tous les niveaux. Tu peux maintenant t'assoir et réaliser le beau travail que tu as fait et j'espère que tu es fière de ce que tu as fait.
Vivre sans ses parents, c'est aussi gérer son emploi du temps tout seul. Et vu qu'en alternance, vous avez un planning d'entreprise, un autre à l'école, et un autre pour votre vie perso… ça en fait, des choses à retenir. Utilisez au maximum votre ordi ou votre portable pour gérer votre planning.
Le deuil traumatique est un deuil plus compliqué, la mort est foudroyante. Les circonstances de la mort du proche sont vécues comme brutales et inattendues. La personne qui subit ce drame peut être en colère, ressentir un profond sentiment d'injustice et de quelque chose d'inachevé.
A la fatigue s'ajoute parfois l'épuisement des années d'accompagnement du proche malade. Que la mort soit annoncée ou pas, un état de stress chronique peut s'installer, entraînant des perturbations biologiques, dont une baisse transitoire des défenses immunitaires, qui peuvent faire le lit d'une maladie.
Accueillir totalement notre souffrance
Laisser venir la douleur qui tord ses entrailles, se laisser traverser totalement par elle, la vivre le plus profondément possible. C'est une étape indispensable pour accomplir son deuil. Plus tôt on se confronte à sa souffrance, plus tôt on s'en libère.
Mettre des mots sur votre douleur face à la perte d'un être cher. Ne gardez pas tout pour vous. Confiez-vous à votre famille, à vos amis, pour dire ce que vous ressentez, vivez au quotidien. En mettant des mots sur vos sentiments, vous pourrez avancer vers l'acceptation puis la reconstruction.
Le deuil pathologique est un état qui survient lorsque la personne endeuillée développe les symptômes d'une pathologie, physique ou psychologique, qu'elle n'avait jamais manifestée jusque-là.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
Tranxène, Lysanxia, Lexomil, Xanax, Valium… sont recommandés pour calmer les troubles de l'angoisse ou de l'anxiété.
D'autres thérapies peuvent également aider à faire son deuil. C'est le cas de l'EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, en d'autres termes désensibilisation et reprogrammation par mouvements oculaires), de l'hypnose, des thérapies cognitives et comportementales, de l'art-thérapie…