En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone. Chaque inspiration peut contenir jusqu'à quatre litres d'air. La respiration interne est un processus biochimique qui permet de libérer l'oxygène dans les cellules et de produire de l'énergie pour le corps.
Le système respiratoire permet l'échange entre deux gaz : l'oxygène et le dioxyde de carbone.
Fonction pulmonaire
Le dioxyde de carbone (CO2) ne représente que 0,04% de l'air inhalé. L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%. Le corps brûle de l'oxygène dans les muscles, générant du dioxyde de carbone comme produit résiduaire.
Gaz carbonique[modifier | modifier le wikicode]
Enfin, le taux de dioxyde de carbone est différent entre l'air inspiré et l'air expiré. On trouve 0,03 % de CO2 dans l'air inspiré et 4,1 % dans l'air expiré. Cela montre que notre corps en a rejeté, c'est donc un déchet.
L'expiration ou souffle correspond à la phase de la sortie de l'air des poumons lors de la ventilation pulmonaire, par le relâchement du diaphragme et la contraction des muscles intercostaux. La pression exercée ainsi sur les alvéoles pulmonaires libère l'air qu'elles contiennent.
Anapneo : Libère les voies respiratoires.
Sous l'effet des muscles, lors de l'inspiration, les poumons se remplissent d'air, ce qui permet d'apporter de l'oxygène (plus précisément du dioxygène) à notre organisme, puis se vident d'air lors de l'expiration pour permettre d'évacuer le gaz carbonique (plus exactement le dioxyde de carbone).
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Hypercapnie : comment se définit-elle ? L'hypercapnie désigne une augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang : C'est un signe d'hypoventilation alvélolaire : diminution des entrées et des sorties d'air dans les alvéoles pulmonaires.
C'est la date jusqu'à laquelle l'aliment conserve sa stabilité physique et microbiologique ainsi que la teneur nutritive déclarée sur l'étiquette. On ne doit pas consommer un aliment dont la date d'expiration est passée. Si la date d'expiration est passée, jetez l'aliment.
L'organisme a besoin de dioxygène O2 pour vivre et alimenter ses cellules en comburant qui permettra la combustion des denrées et la production d'énergie; dans ce processus, du dioxyde de carbone CO2 est produit et doit être évacué des cellules pour éviter une intoxication.
C'est au niveau des alvéoles pulmonaires, petits sacs situés dans les poumons, que s'opèrent les échanges gazeux indispensables au fonctionnement du corps.
Les activités humaines libèrent actuellement 25 milliards de tonnes de CO2 par an dans l'atmosphère. La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
Le monoxyde de carbone (CO) est un des composants oxygénés du carbone les plus connus avec le dioxyde de carbone (CO2), plus communément appelé gaz carbonique.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Le CO2 se trouve à l'état naturel dans l'atmosphère. Il joue un rôle primordial dans le cycle du carbone sur Terre et subit en permanence des transferts entre les différents milieux. Une très large proportion du CO2 est ainsi dissoute et stockée dans les océans qui font office de puits de carbone.
Incolore, inodore et indolore, le CO2 n'est dangereux pour la santé des hommes et des animaux que s'il atteint des quantités importantes dans l'air que nous respirons. En revanche, même à très infime dose, il fait partie des gaz à effet de serre qui causent un réchauffement de la Terre.
Parmi les risques les plus fréquemment cités, on retrouve : L'incendie : le gaz est un combustible. Dès lors que sa concentration devient trop importante dans l'air (entre 5 et 15 %), il peut s'enflammer au contact de l'oxygène et d'une source de chaleur ; L'explosion : c'est la suite logique du premier point.
Il n'irrite pas les yeux ni les voies respiratoires. Quand une personne respire du monoxyde de carbone, le gaz entre dans son sang et y prend la place de l'oxygène. Cela endommage les tissus et peut être très dangereux pour la santé.
Respiration. Par des mouvements respiratoires, nous remplissons nos poumons d'air que nous rejetons ensuite. De cette manière, nous expirons le gaz carbonique produit et inspirons de nouveau de l'oxygène frais. Lors de l'inspiration, les muscles intercostaux externes se contractent et soulèvent les côtes.
La congestion de la poitrine est causée par un excès de liquides (mucus et mucosités) qui s'accumulent dans les poumons lorsque les muqueuses en ont trop produit. La surproduction de mucus résulte d'une irritation des membranes par des bactéries ou des virus, provoquant une inflammation.