Il faut absolument consulter son médecin si : Le mal de dos est consécutif à une chute, un choc, ou un coup et ce tout particulièrement chez les femmes de plus de 65 ans, chez les personnes qui fument, consomment de l'alcool, prennent des corticoïdes, présentent un diabète ou ont des antécédents de cancer.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Le mal de dos inflammatoire est caractérisé par des douleurs nocturnes et des raideurs matinales qui durent plus de 30 minutes. Les symptômes ne s'améliorent pas avec le repos, mais au contraire, avec l'exercice.
Dans la plupart des cas, les douleurs lombaires sont d'origine mécanique : de mauvaises postures au bureau, des gestes inadaptés pour ramasser des objets ou encore porter des charges en sont le plus souvent responsables. Elles se manifestent souvent après 40 ans sous la forme de lumbagos à répétition.
Lorsqu'elle est aiguë, on parle de lumbago. Le malade est littéralement plié en deux et ne peut plus bouger. Mais ces épisodes, bien que douloureux, guérissent spontanément. En revanche, quand la douleur ne disparaît pas après trois mois, on parle de lombalgie chronique.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
Dorsales : foie, estomac, vésicule biliaire, pancréas, intestin. Les organes tels que le foie, l'estomac, la vésicule biliaire, le pancréas ou encore le début de l'intestin grêle, peuvent entraîner des douleurs dans le milieu du dos, entre les omoplates.
La douleur, permanente ou transitoire, est le symptôme le plus courant. Son intensité est variable mais tend à s'aggraver avec le temps. Récurrente et ressentie aussi la nuit, elle siège le plus souvent au niveau de l'os touché par la tumeur.
La position sur le côté est la meilleure si vous souffrez d'un mal de dos, c'est celle qui met le moins de contraintes sur la colonne. Afin d'optimiser cette position, vous pouvez mettre un coussin entre vos deux jambes, au niveau des genoux afin d'éviter une rotation de la colonne lombaire.
Dans la majorité des cas, la douleur ne dure que quelques jours, mais cela peut aller jusqu'à plusieurs semaines. Généralement, un traitement anti-douleur et les conseils du médecin suffisent pour aller mieux. Si votre lombalgie dure plus de 4 semaines, elle peut devenir chronique.
Lorsque la hernie discale se situe au niveau du bas du dos, la douleur dans une jambe (la « sciatique ») peut s'accompagner de raideur, de sensations de brûlure, de fourmillements ou d'engourdissement dans la jambe ou le pied.
L'inflammation musculaire, comment la reconnaître ? À l'image de tous les processus inflammatoires, l'inflammation musculaire se caractérise par une rougeur, associée ou non à un œdème, qui se développe au niveau du muscle ou du groupe musculaire lésé. Généralement, la zone concernée est chaude au toucher.
Le symptôme principal de la lombalgie est une douleur locale au niveau des lombaires. Elle est plutôt diffuse et continue. Néanmoins, si la lombalgie est provoquée par une lésion, la douleur peut surgir de façon soudaine et intense. L'intensité de la douleur peut s'intensifier ou s'atténuer si vous changez de position.
Le stress augmente les tensions dans les muscles et libère des substances favorisant les inflammations. Le mal au dos, synonyme de ras-le-bol et de stress? L'expression, très populaire, «en avoir plein le dos» tendrait à le démontrer.
La douleur musculaire (connue sous le nom de myalgie) est souvent moins intense que la douleur osseuse, mais elle peut être très désagréable. Par exemple, un spasme ou une crampe musculaire (contraction musculaire douloureuse prolongée) dans le mollet provoque une douleur intense dénommée une crampe musculaire.
Comment soulager la douleur? L'application de compresses chaudes ou froides est souvent efficace. Certaines personnes arrivent à soulager la douleur en prenant des antidouleurs ou des anti-inflammatoires en vente libre comme l'ibuprofène (Advil, Motrin) ou le naproxène (Aleve).
Lorsque la maladie est évoluée au niveau de la colonne, le cancer (appelé dans ce cas épidurite) peut comprimer la moelle épinière ou les racines nerveuses et donc donner des troubles neurologiques pouvant être des douleurs dans les membres, des difficultés à marcher, des problèmes pour uriner et aller à la selle ...
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
La lombalgie, appelée communément « mal de dos », « lumbago » ou « tour de rein », est une douleur, souvent intense, au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas du dos.
Faire attention à votre posture au bureau : s'asseoir bien droit sur son siège, les deux pieds au sol, sans croiser les jambes, les avant-bras posés sur le bureau. Régler la hauteur du siège pour que les cuisses soient à l'horizontale. Les yeux doivent se trouver au niveau du haut de l'écran.