La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
On mettra donc un « e » à la fin de « ai » : aie. Et pour vérifier, tu te dis, si c'était la première personne du pluriel, est-ce que je dirais « il faut que nous avons une bonne note » ou « il faut que nous ayons une bonne note » ? À l'oreille, on entend qu'il faut dire « il faut que nous ayons une bonne note ».
« Aie » est la forme conjuguée du verbe « avoir » à la première personne du singulier du subjonctif présent : « que j'aie ». Cette forme n'est donc pas adaptée pour la troisième personne du singulier, « il ». La bonne conjugaison pour « il » au subjonctif présent du verbe « avoir » est « qu'il ait ».
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
On écrit aie, aies ou ait quand il s'agit du verbe avoir au présent du subjonctif (les trois premières personnes). Il faudrait que j'aie toutes les réponses avant lundi. Je souhaite que tu n'aies que des réussites. L'avez-vous vu avant qu'il n'ait rencontré le directeur ?
Dans pour que tu aies , aies s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu . On emploie cette tournure dans des phrases comme : pour que tu aies le temps , pour que tu aies l'info , pour que tu l'aies en tête , pour que tu n'aies pas froid .
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Formation du présent du subjonctif
Pour former le présent du subjonctif, on s'appuie sur le présent de l'indicatif. Il suffit de prendre le verbe à la troisième personne du pluriel, en éliminant la terminaison -ent, puis d'y ajouter -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Le subjonctif exprime traditionnellement un souhait, un désir, un ordre, un doute, un conseil ou une supposition. Il s'agit d'une action non-réalisée au moment où on s'exprime. La plupart du temps, ces verbes se retrouvent dans une proposition subordonnée introduite par la conjonction que ou quoi.
de tréma sur le « i », « ai » se prononce « è », et le « e » final n'a aucune influence sur la prononciation. Que j'aie, que tu aies, qu'il ait, que nous ayons, que. vous ayez, qu'ils aient.
Dans que tu aies , le verbe s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu .
«Employé avec l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j'ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j'ai mangé les crêpes).»
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Il faut utiliser l'auxiliaire être ou avoir conjugué au présent et le faire suivre du participe passé du verbe conjugué. Par exemple, pour le verbe répéter : j'ai répété.
Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Le mode subjonctif permet d'indiquer une action envisagée ou hypothétique, un doute ou un souhait. Il s'agit du mode de l'irréel. Il s'utilise avec des verbes exprimant l'envie, le souhait, le doute, les émotions et l'incertitude. Il faut qu'il lise ce livre.
1. Le conditionnel présent est employé pour formuler un désir, un souhait. J'aimerais bien faire un voyage cet été.
Avec « penser que » et « croire que », on utilise aussi l'indicatif SAUF à la forme négative qui elle, exige l'emploi du subjonctif. Exemples : Je crois qu'elle connaît la musique classique. Je ne crois pas qu'elle connaisse la musique classique.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Inclus dans votre colis, un échantillon du nouveau parfum à la mode. Le participe passé du verbe « inclure » est « inclus », avec un « s », et non « inclu ».
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
Toi qui. L'accord se fait à la deuxième personne, comme avec tu : toi qui aimes Mozart (et non *toi qui aime).
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."