En effet, le Lama est un animal particulièrement efficace dans le débroussaillage. C'est un herbivore ruminant qui a 3 estomacs et se nourrit de la végétation qu'il trouve (herbes, ronces, feuillages, etc.) avec le besoin d'avoir dans sa ration quotidienne des végétaux ligneux ou épineux.
Avec un bon appétit, cochons, poules et paons se régalent tout en désherbant les champs. Une façon plus écologique d'enlever les mauvaises herbes mais pas que. Cette technique, qui se répand de plus en plus, est aussi une bonne alternative aux pesticides, certains animaux étant insectivores.
L'alimentation de la chèvre
Herbes (ronces, lierre, etc.), arbres (mûriers, pommiers, etc.), haies, broussailles, parterres fleuris, légumes du jardin, etc., rien ne lui résiste. Contrairement aux moutons, la chèvre préfère se nourrir de branchages, de feuilles et de brindilles plutôt que d'herbe au sol.
Le lama, d'abord, est élevé pour ses compétences de jardinier. En effet, cet animal des contrées arides adore se nourrir de ronces et d'orties ; il taille les haies, mange les premières feuilles des arbres et laisse intacte leur écorce.
Se débarrasser des ronces avec du sel
Pour en venir à bout de ces plantes vivaces, commencez par couper les ronces au ras du sol avec un sécateur ou une débroussailleuse. Jetez bien tous les pieds ou brûlez-les afin qu'ils ne se replantent pas. Puis, versez du sel pour recouvrir les pieds coupés afin de les étouffer.
Les caprins, aventuriers en reliefs extrêmes. Idéales sur les petits terrains pentus, accidentés ou les sous-bois forestiers, les chèvres — comme la race des Fossés, la Rove ou la chèvre Poitevine — sont d'excellentes débroussailleuses.
En effet, le Lama est un animal particulièrement efficace dans le débroussaillage. C'est un herbivore ruminant qui a 3 estomacs et se nourrit de la végétation qu'il trouve (herbes, ronces, feuillages, etc.) avec le besoin d'avoir dans sa ration quotidienne des végétaux ligneux ou épineux.
Elles mangent ce qui est ligneux : des ronces, des jeunes arbustes, du lierre. Les moutons eux, mangent de l'herbe. »
Le Soay mange de tout - ce qui est un avantage, mais parfois aussi un inconvenient: herbes, ronces, fleurs, lierre, tout y passe, pour peu que ce soit à portée de museau.
1000m2 pour un âne ce n'est pas assez, il faut compter 5000m2 et un âne n'aime pas être seul, il lui faut un autre animal (mouton par ex)... Si vous avez des fleurs, une chèvre ne fera pas la différence avec le gazon...
Un hectare est nécessaire pour un troupeau de 10 moutons, même s'il s'agit de brebis avec leurs petits car les agneaux seront alimentés par leur mère.
Il est par contre déconseillé d'élever un mouton seul dans son jardin. Comme de nombreux animaux de pâturage, c'est un animal grégaire qui ne supporte pas d'être seul. Vous lui octroierez au moins la compagnie d'un âne, d'une chèvre, ou d'un autre mouton, l'idéal étant un petit troupeau de 4 à 5 bêtes.
Élever des moutons, si vous avez un grand terrain, présente de nombreux avantages. En effet, ces mammifères peuvent être élevés pour différentes raisons, que ce soit pour leur lait, qui permet de faire de délicieux fromages, pour leur viande, leur laine ou tout simplement pour tondre votre pelouse.
Régression en 2 à 3 ans des genêts, ronces, noisetiers et autres feuillus particulièrement appréciés par la chèvre des Pyrénées qui délaissera la strate herbacée pour consommer la végétation jusqu'à 1m80 du sol.
Les ânes ne mangent pas l'ortie jeune et fraîche, mais ils la consomment volontiers sur pied quand elle est vieille, ou fauchée, à l'état sec. J'ai connu un très vieux « Loulou », un cheval édenté, qui menait une vie libre et digne en mangeant très peu, nourri d'une bouillie concentrée à base d'orties au lieu de foin.
Les chèvres raffolent des orties, qui sont excellentes pour leur santé (protéines, vitamines, minéraux!) et ont l'avantage de repousser sans arrêt.
Eradiquer les broussailles et les ronces
En premier lieu, utilisez une débroussailleuse à lames tout en évacuant les déchets au fur et à mesure (déchetterie, feu). Coupez bien à ras du sol. Évitez les repousses inévitables en effectuant plusieurs passages à quelques semaines d'intervalle.
Habitat. Le phasme bâton est originaire de Malaisie et des différentes îles du Sud-Est asiatique. Les navigateurs, au Moyen Âge, l'auraient ramené en Europe, où on le trouve un peu partout dans les zones chaudes depuis 1990. On peut le trouver dans nos haies, nos buissons, nos arbustes...
On conseille un minimum de 3 à 4000m² pour 2 alpagas et 5 à 6000m2 pour 2 lamas, et ensuite comptez 1000m² par alpaga supplémentaire, et 2000m² par lama. Mais bien sûr tout dépend du type d'herbage.
Commencez par enlever les branches mortes au sol. Enlevez ensuite les végétaux ligneux, c'est-à-dire qui ont des troncs, des branches ou des tiges boisées. Pour cela, vous pouvez vous équiper d'un sécateur, d'une serpe, d'une hache ou d'une tronçonneuse. L'outil dépend de la taille des branches à sectionner.
La fourchette de prix est comprise entre 100 euros, prix pour un bouc dont la taille adulte estimée est égale ou supérieure à 51 cm au garrot, et 350 euros, prix pour une femelle qualifiée d'extra-toy, c'est-dire une chèvre qui ne dépassera pas les 42 cm au garrot.
Le mouton est un animal grégaire et ne doit pas être détenu seul. On peut considérer que la règle applicable pour le calcul de la place nécessaire est de 10 ares (1000 m2) par tête. C'est la surface de pâturage qui suffit pour l'estivage et pour la production de foin pour l'hiver.