La nourriture star du futur : les insectes ! Dans certains pays comme la Chine, ils sont d'ailleurs déjà beaucoup consommés. Cela fait donc longtemps que les insectes sont prédits comme étant la nourriture de demain. Et pour cause : en plus d'être très nutritifs, les ressources d'insectes sont inépuisables.
D'ici à 2050, les experts de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estiment que la production alimentaire devra augmenter de 60% pour nourrir une population mondiale de plus de 9 milliards d'individus, et ce alors que les effets du changement climatique se font déjà sentir sur notre alimentation.
En 2100, nous mangerons des scarabées et des vers de terre. On pourra même manger des gâteaux de fourmis. En 2100, nous nous déplacerons en voiture volante, en avion supersoniques, avec des vaisseaux spatiaux pour aller sur n' importe quelle planète et avec des fusées qui iront a la vitesse de la lumière.
Un menu type de 2030 : hareng et betterave en jus d'hibiscus
Moins de viande, moins de poisson, et plus de végétal : voilà comment on devrait manger au quotidien d'ici quinze ans. Parmi les chefs invités à participer aux ateliers de cuisine de ce week-end, Geoffrey Rembert, chef du restaurant La Table du Flow, à Paris.
La nourriture star du futur : les insectes ! Dans certains pays comme la Chine, ils sont d'ailleurs déjà beaucoup consommés. Cela fait donc longtemps que les insectes sont prédits comme étant la nourriture de demain. Et pour cause : en plus d'être très nutritifs, les ressources d'insectes sont inépuisables.
Le goût de l'alimentation de demain
D'ici 2050, afin de répondre à la croissance démographique, le besoin en protéines va augmenter de 70%. Plus l'on va avancer dans le temps, et plus les ressources en protéines animales vont se transformer en denrées rares.
Selon Farrimond, cette population abandonnera l'industrie de la viande à forte intensité de carbone et optera pour des mélanges en poudre de viande à haute teneur en protéines et à faible impact : les insectes.
Dans la pratique, les régimes alimentaires suivent les envies des consommateurs. On observe ainsi une baisse de 24% de la consommation de la viande, en 10 ans, et dans le même temps une hausse des fruits et légumes frais, en particulier des graines et légumineuses telles que les lentilles.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
4,2 MILLIARDS D'AFRICAINS EN 2100
Selon le rapport, intitulé "Perspectives démographiques mondiales, révision de 2012", c'est l'Afrique qui assurera plus de la moitié de la croissance de la population mondiale, passant de 1,1 milliard d'habitants à 2,4 milliards en 2050 et 4,2 milliards en 2100.
Le climatologue et météorologue, Robert Vautard, a dressé un panorama des espaces habitables à l'horizon 2050 sur une planète plus chaude de 2°C. Les espaces habitables seront modelés par deux principaux facteurs : le changement climatique et les politiques publiques qui seront menées en conséquence ou en anticipation.
Les produits alimentaires les plus populaires, tels que les conserves, les produits laitiers et les féculents, subiront une forte hausse en mars 2023. Cette inflation aura des conséquences considérables sur le coût moyen du panier d'achats. Les ménages verront ainsi leur pouvoir d'achat diminuer.
Il faut noter qu'au Moyen Âge, la variété de légumes n'était pas très grande en Europe. Ceux-ci n'incluaient pas les plantes natives d'Amérique du Nord et du Sud, ce qui signifie qu'il n'y avait ni pommes de terre, ni maïs, ni tomates, ni avocats, ni poivrons, ni pois (à l'exception des fèves).
Il faut 1,5 litre d'eau pour produire un kilo de céréales et 15 000 pour produire un kilo de viande. Un régime plus sain permettrait de réduire la pression exercée sur nos ressources naturelles et de répondre au problème de l'obésité, qui est une préoccupation grandissante dans le monde.
Selon la FAO, pour répondre à la demande de près de 10 milliards d'êtres humains, « l'agriculture devra produire en 2050 près de 50 % de denrées alimentaires, d'aliments pour animaux et de biocarburants de plus qu'en 2012 » (nous verrons pourquoi plus loin).
Le peuple se nourrit en général de blé sous forme de pain, de galettes (notamment de sarrasin comme en Bretagne), de bouillie également, de légumes secs, de légumineuses (complémentaires pour leur apport en protéines), des légumes du potager, quelquefois de la viande, du poisson (les jours où l'Église interdit la ...
La cuisine du Moyen-âge était principalement composée de viandes, de pain et de pâtisseries. Elle était faite de plats en sauces, de ragoûts et de pâtés. Il y avait peu de gras et pas de sucre. d'hypocras (vin dans lequel on a fait macérer des plantes et des épices).
Une e-alimentation sur mesure
Un angle connecté pour être précis. Contrairement aux milléniaux, elle n'est pas rêveuse, mais créatrice. Elle se tourne pleinement vers l'innovation et la technologie. Tout comme nos entreprises alimentaires d'ailleurs, qui évoluent vers des environnements high-tech.