Des ouvriers est-allemands encadrés par l'armée construisent, dans la nuit du 12 au 13 août 1961, un mur qui sépare l'Est et l'
Surnommé “mur de la honte” par les Allemands de l'ouest, le dispositif érigé par le gouvernement est-allemand avait pour appellation officielle “mur de protection antifasciste”. Son rôle : empêcher toute possibilité de passage vers l'ouest pour ceux que le régime qualifie de “déserteurs de la république”.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne fut occupée par les quatre puissances victorieuses, puis partagée en deux États, d'une part la République fédérale d'Allemagne (RFA), liée au bloc occidental, d'autre part la République démocratique allemande (RDA), sous influence soviétique et intégrée au bloc de l'Est.
C'est durant la nuit du 12 au 13 août 1961 que les soldats de l'Allemagne de l'Est, soutenus par les Soviétiques, reçoivent un ordre : construire le mur de Berlin. Cette construction monumentale avait pour but de séparer la partie est de Berlin de la partie ouest.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisaient de grandes manifestations, ont provoqué le 9 novembre 1989 la chute du mur de Berlin, suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la ...
La chute du Mur de Berlin a déclenché une révolution pacifique d'une ampleur inédite en Europe : l'Allemagne s'est unifiée, l'empire soviétique s'est effondré, les équilibres géopolitiques ont été profondément bouleversés, et les peuples d'Europe centrale et orientale ont marqué la volonté d'un « retour » à l'Europe.
Ce découpage fait suite à l'accord conclu entre les Alliés vainqueurs en février 1945 à Yalta. La ville de Berlin, située au cœur de la zone d'occupation soviétique, se retrouve également divisée en quatre. L'armée soviétique laisse aux Occidentaux l'ensemble de la zone Ouest de la capitale.
Alors qu'ils attendaient de pouvoir entrer dans le théâtre d'improvisation situé dans l'allée, des spectateurs auraient commencé à coller leurs chewing-gum sur le mur à côté d'eux. La pratique se serait progressivement étendue à d'autres pans de mur et aurait fini par séduire les passants et les touristes.
« Mur de la honte » est un terme de propagande qui fut utilisée pour la première fois par des médias et des hommes politiques occidentaux pour désigner le mur de Berlin qui séparait Berlin-Est de Berlin-Ouest durant la Guerre froide. Mémorial aux victimes du mur, Berlin.
Les restes du Mur de Berlin
Aujourd'hui, on trouve dans toute la ville des traces du Mur, de ses vestiges et de ses sites mémoriaux - l'East Side Gallery, le Mémorial du Mur de Berlin à Bernauer Strasse, le Mémorial Berlin-Hohenschönhausen, une ancienne maison d'arrêt de la Stasi et le Mauerpark.
L'une des premières crises entre l'URSS et les EUA se produit à Berlin. Le mur de Berlin devient ensuite le symbole de la division du monde, de l'Europe, en deux blocs. La destruction du mur sonne alors la fin de la guerre froide et la chute de l'URSS, ainsi que l'entrée dans un monde dominé par les EUA.
L'URSS réplique en proclamant officiellement le 7 octobre la République démocratique allemande (RDA), et nomme comme président Wilhelm Pieck. L'Allemagne est officiellement divisée en deux : d'un côté, les Occidentaux et de l'autre les Soviétiques.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Reddition de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Fiche marché La banane est un fruit qui jouit d'une forte popularité sur le marché allemand. Elle est même devenue le symbole de la réunification allemande avec la chute du mur de Berlin en 1989.
RFA est la République fédérale d'Allemagne et RDA la République démocratique d'Allemagne. La première incarne l'État qui régit l'Allemagne de l'Ouest (influence capitaliste et démocratique) et la seconde l'Allemagne de l'Est (influence communiste et soviétique).
La liste de la honte, les marques exploitant les ouïghours
Cette liste de la honte, aussi appelée parfois le mur de la honte, est une liste de 83 marques accusées d'exploiter les ouïgours en Chine.
Dans la nuit du 12 au 13 août 1961, les autorités de la République démocratique allemande (RDA) érigent une enceinte fortifiée sur la ligne qui sépare à Berlin leur zone, sous occupation soviétique, des zones sous occupation américaine, anglaise et française.
Le chewing-gum « reste à l'abri de la digestion » explique le Dr David Milov, gastro-entérologue pédiatrique, à un site scientifique américain (en anglais). Selon le spécialiste, la gomme avalée « mettra probablement plus de temps à être évacuée que les autres produits alimentaires ».
Le Gum Wall - mur de chewing-gums en français - est un célèbre mur dans l'une des petites ruelles de Seattle, le quartier d'affaires de Washington. Ce mur est devenu emblématique puisqu'il dévoile une façade entière de gommes machées et collée par les passants.
Le chewing-gum est constitué d'environ 30% d'une gomme élastique qui est le polyisobutylène. Ce plastique-là est mélangé avec des charges minérales qui lui permettent d'avoir une certaine consistance quand on va le mâcher. Il faut trouver le bon dosage entre le plastique et les charges minérales.
Les combats doivent cesser le lendemain à 23 h 01. Furieux que la signature ait eu lieu à Reims et non à Berlin, Staline exige que l'acte soit à nouveau signé dans la capitale allemande, qui vient d'être libérée par l'armée soviétique. C'est chose faite le 8 mai en fin de soirée, heure allemande.
Texte intégral. ADENAUER, Konrad (1876-1967), Maire de Cologne (1917-1933), membre du Zentrum, Maire de Cologne (mai-oct. 1945), Président de la CDU en zone britannique (1946-1950), Président du Conseil parlementaire (1948-49), Chancelier fédéral (1949-63), Président de la CDU (1950-66).
Le 24 juin 1948, en réponse à la décision des « occidentaux » de mettre en place une monnaie unique à l'intérieur de leur zone, le leader soviétique tente un coup de force et fait établir un blocus pour empêcher tout ravitaillement des quelque 2 millions de Berlinois vivant à l'ouest de la ville.