Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Chez la femme, le cancer du sein est toujours le plus mortel, suivi de près par le cancer du poumon et le cancer colorectal. Chez l'homme, le cancer du poumon est le plus mortel devant les cancers colorectaux et de la prostate. le cancer de la prostate, avec près de 50 000 nouveaux cas chaque année en France.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
"Dans les deux sexes, le cancer du rein est classé dans les cancers à pronostics intermédiaires", commente le Dr Jean-Philippe Wagner. Chaque année, au moins 35 000 patients atteints d'un cancer de pronostic intermédiaire ont une survie relative à 5 ans ≥ à 80 %, précise l'INCa dans son rapport.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
Les os sont en effet les organes les plus exposés aux lésions secondaires d'une tumeur. Mais certains cancers présentent un risque plus élevé d'avoir des métastases osseuses, les cancers du sein, de la prostate et le myélome multiple en premier lieu.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
La Suisse moins touchée
Avec 92,48 morts dus au cancer pour 100'000 adultes, la Suisse se place au-dessous de la moyenne mondiale.
Mais grâce aux progrès de la médecine et à des traitements de plus en plus performants, il est possible de guérir environ 60% des cancers. Le cancer des testicules, par exemple, est guérissable dans la toute grande majorité des cas. Par contre, d'autres tumeurs, plus agressives, restent difficiles à soigner.
Parmi les cancers considérés comme se soignant « bien » on retrouve ceux du sein, de la prostate, colorectal, de la thyroïde et de la peau. Entre 1989 et 2005, la survie est passée de 72 à 94 % pour les cancers de la prostate et de 80 à 87 % pour les cancers du sein.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Certains cancers tels que la leucémie ou le lymphome provoquent de la transpiration excessive la nuit. Ce type de cancer affecte les cellules de l'immunité : les lymphocytes, aussi appelés globules blancs.
Changements ou manifestations physiques : modification de la forme d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement qui ne diminue pas, quel qu'en soit l'endroit, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes ...
Par la radiothérapie, en particulier en cas d'irradiation du cerveau, de l'estomac ou de l'abdomen. Par le cancer lui-même, notamment les cancers du tube digestif (œsophage, estomac, côlon, rectum), du foie, des voies biliaires ou encore du pancréas.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
"Oui, on peut naître avec un cancer. Il y a des cancers qui se développent avant la naissance, chez des enfants on fait même le diagnostic avant la naissance. En général, ce sont des tumeurs d'excellent pronostic. Ce sont des tumeurs qui peuvent même disparaître toutes seules, sans qu'on ait besoin d'intervenir.