Aujourd'hui, les trains français roulent à deux carburants : le gazole et l'électrique. Le charbon a été mis de côté depuis plusieurs décennies et l'installation des voies électriques dès le début du XXème siècle a changé la donne.
Les trains sont alimentés en courant alternatif haute tension ou en courant continu. L'alimentation passe par un troisième rail ou une caténaire et le retour de courant se fait par les rails de la voie ou un quatrième rail dédié.
Pour déplacer un TGV, nous avons besoin d'alimenter en électricité la LGV et d'abaisser la tension électrique. La caténaire et le pantographe permettent l'alimentation électrique entre la LGV et le TGV.
Par ce contrat, EDF Renouvelables s'engage à fournir pendant 20 ans à SNCF Energie, la pro-duction électrique d'une centrale photovoltaïque de 20 MW située sur les communes de Lacha-pelle-Auzac et de Souillac, dans le département du Lot, à un prix déterminé par avance et com-pétitif.
Le train est obligé de rouler sur des rails pour avancer, et il est obligé de rouler entre les rails pour tourner. Ses roues ont une butée qui est adaptée aux rails. Quand les rails tournent, le train tourne.
A la vitesse de 575 km/h, soit 160 m/s, une roue de 920 mm (pesant dans les 600 kg) fait 55 tours par seconde (!). Peut-elle tourner encore plus vite ?
Une limitation de la vitesse (appelée « limitation temporaire de vitesse » dans le jargon) est effectivement indispensable lors de travaux de renouvellement de voie et ballast, pour la stabilisation de la voie. Elle permet d'assurer la continuité des circulations des trains en toute sécurité.
Un train électrique aérodynamique à grande vitesse
Une rame de TGV est composée de 8 à 10 voitures encadrées par 2 motrices : l'une qui tracte, l'autre qui pousse. Chaque rame est propulsée par 8 moteurs électriques, soit 1 par essieu, sous les motrices. Il arrive que deux rames soient accouplées.
Aujourd'hui, le train français roule à deux carburants: le gazole et l'électrique. Sur les 30.000 kilomètres de lignes du réseau ferré français, 15.000 kilomètres de lignes sont électrifiées et assurent la circulation de 90% du trafic voyageur.
Rouler, voler et naviguer. Les voitures, les bus, les cars, les camions, les motos et les vélos roulent sur la chaussée. Les tramways, les métros et les trains roulent sur les rails (la voie ferrée). Les avions, les deltaplanes, les hélicoptères et les montgolfières volent dans les airs.
Une contrainte physique qui limite la vitesse maximale des TGV à environ 470 km/h. En pratique, pour éviter une usure prématurée des équipements, on limite la vitesse des TGV à 70 % de la vitessee de propagation des vibrations le long des caténaires, soit 350 km/h.
La grande majorité des trains du réseau électrique français sont alimentés par une caténaire, donc en hauteur. Contrairement au métro, où des personnes trouvent la mort en entrant en contact avec un troisième rail alimenté en continu à 750 volts, les voies SNCF sont mortelles si l'on se rapproche de ces câbles.
Les moteurs sont alimentés par une ligne de contact aérienne, par un troisième rail latéral (notamment sur les métros), par des accumulateurs ou, pour les locomotives Diesel-électriques, grâce à un moteur Diesel entraînant un alternateur.
Car si les rames peuvent rouler en mode batterie, elles peuvent aussi fonctionner en étant reliées à un caténaire, en cas de ligne ferroviaire électrifiée. Un avantage précieux qui permet aux trains de rouler sur différentes portions de réseau sans être impactés au niveau de leur performance.
Le record mondial de vitesse est actuellement détenu par le Maglev japonais. Lors d'un trajet d'essai en 2015, un prototype de cette nouvelle génération de trains à lévitation magnétique qui reliera Tokyo à Nagoya à l'horizon 2027 a atteint la barre des 603 km/h.
Les B 82500 sont des automoteurs de la SNCF, spécialisés au trafic TER. Ces matériels constituent la version bi-mode (électrique et diesel) et bi-courant (1,5 kV continu et 25 kV 50 Hz) de l'autorail grande capacité (AGC) de Bombardier, aussi nommée BGC ou Bibi (pour bimode-bicourant).
TGV (France)
Inauguré en 1981 entre Paris et Lyon, le TGV détient le record mondial de vitesse sur rail. Une rame aménagée a franchi en 2007 la vitesse de 574,8 km/h sur la nouvelle LGV Est Européenne. Les rames de la SNCF, d'Eurostar et de Thalys circulent entre 300 et 320 km/h selon les sections.
Le TGV détient le record du monde de vitesse sur rail avec une vitesse de 574,8 km/h.
Le premier TGV sortie des usines Alstom de Belfort en 1978 s'appelait Patrick. Cette première rame électrique, à la couleur orange, a été mise en service en 1981 pour assurer la liaison Paris-Lyon lors de l'ouverture de la LGV Sud-Ouest.
Longues distances, grande vitesse
En moyenne, un TGV roule à 284 km/h entre Paris et Strasbourg ou à 281 km/h vers Bordeaux, contre seulement 200 km/h entre Paris et Tours, et 111 km/h vers Le Havre.
La tension d'alimentation de la caténaire est passée de 25 000 volts, sur un TGV classique, à 31 000 volts. Le train V 150 représente une puissance de 19,6 mégawatts (plus de 25 000 chevaux). C'est deux fois plus qu'un TGV classique, qui dispose d'une puissance de 9,3 mégawatts (12 500 chevaux).
Lancé par SNCF en 1981, il relie de nombreuses villes françaises et européennes à une vitesse moyenne de 320 km/h.
En fait, tu es entraîné à la même vitesse que le train (et tu ne subis pas de frottement, l'air contenu dans le train se déplaçant avec celui-ci), donc, même lorsque tu quittes le sol, tu poursuis ta route en ligne droite et à la même vitesse, et tu retombes d'où tu es parti.
Il est souvent appelé « mécanicien », terme utilisé lors de la traction vapeur. On peut également le nommer pilote de train, ou anciennement machiniste.
Les RER n'y roulent plus qu'à 60 km/h maximum au lieu de 100 km/h habituellement et le métro à 30-40 km/h au lieu de 60 km/h.