Il produit des fruits appelés prunelles, noir bleuté à la fin de l'été, comestibles mais au goût amer, persistants tout l'hiver et qui peuvent être utilisés après les premières gelées pour produire une liqueur. Il est également possible d'utiliser les pousses d'épines pour faire un apéritif.
La prunelle a un goût âpre, astringent et acide même si on sent aussi une saveur sucrée. Pour apprécier vraiment les prunelles, il faut attendre les premières gelées. Celles-ci rendent les fruits blettes et le goût âpre et astringent s'atténue beaucoup.
Elles donneront des fruits bleu foncé, mesurant jusqu'à 1,5 cm de diamètre et qui sont comestibles : on en fait de la liqueur le plus souvent, car les baies crues sont âpres et astringentes.
La prunelle a en effet des vertus anti-inflammatoires, qui permettent de lutter contre les gingivites ou les troubles digestifs, et pourrait être intéressante dans le traitement des allergies. Elle a aussi des propriétés désinfectantes et astringentes, qui soulagent les maux de gorge.
Cet arbrisseau épineux est aussi appelé épine noire, épinette ou prunier sauvage. On ramasse ces jeunes pousses de printemps qui se développent juste après la floraison pour en faire l'apéritif “pousse d'épine”.
Description de l'épine noire
Les rameaux sont noirs et épineux. Ses feuilles alternes sont longues de 2 à 5 cm, souvent assez petites, ovales et finement denticulées. Les fleurs blanches sont petites, de 1 cm de large, mais couvrent entièrement l'arbuste.
Il produit des fruits appelés prunelles, noir bleuté à la fin de l'été, comestibles mais au goût amer, persistants tout l'hiver et qui peuvent être utilisés après les premières gelées pour produire une liqueur. Il est également possible d'utiliser les pousses d'épines pour faire un apéritif.
La prunelle est le fruit du prunellier (Prunus spinosa) que l'on trouve dans la campagne, formant des bosquets et des haies plus ou moins sauvages en bordure de champs, de friches ou de bois.
Prunelle sauvage comestible ou non ? Oui, la Prunelle fait partie des fruits sauvages comestibles mais aussi des fruits sauvages toxiques.
La cueillette des prunelles débute en septembre, mais se fait généralement d'octobre à décembre. Avec les gelées, elles vont s'adoucir un peu, tout en restant très astringentes.
On le trouve dans les bois et les haies, les friches agricoles, les terrains vagues, formant des fourrés inextricables et souvent épineux (ce ne sont pas de vraies épines, plutôt des rameaux dégénérés). Il est également appelé “prunier de Damas” , “prunéolier” ou encore “prunier crèque”.
Le fruit globuleux de 1 à 1,5 cm de diamètre est une drupe noire, bleuâtre, acide et densément recouverte d'une poussière glauque cireuse. Biologie - Habitat : Le Prunellier fleurit en avril avant la feuillaison et annonce le renouvellement de la vie, signe de la fin de l'hiver.
Ses fruits, les cenelles, sont comestibles aussi ! Elles sont riches en vitamine C. On les récolte dès le mois d'octobre.
Ils se distinguent par leurs rameaux très épineux, arrondis et pubescents. L'écorce est brun-noirâtre, rarement grisâtre, d'où le nom d'« épine noire » que l'on donne au prunellier. L'écorce et les rameaux ont un aspect lustré. Les rameaux sont pubescents (couverts d'un duvet) à l'état jeune.
De petits fruits rouges ou jaunes, acidulé, comestibles, à l'aspect de prunes suivent la floraison. On en fait des confitures. Sous forme d'arbuste, ce cerisier s'intègre bien dans les haies libres et les jardins champêtres.
Trouver le bon produit
Au toucher, les fruits doivent être souples, sans être mous. La peau est lisse, sans tache, et dégage un bon parfum. Si vous remarquez un petit voile blanc sur certaines prunes, pas de panique !
La prune sauvage est un petit fruit bleu rond, à la chair verte et âpre, fortement attachée au noyau. Qui se trouve principalement en Alsace et sur les coteaux de la vallée de Fouchy.
Pour le fabriquer on utilise les jeunes pousses d'épine noire que l'on cueille en avril/mai.
La prunelle de Bourgogne, cette liqueur de couleur ambrée provenant de la macération de prunelles sauvages, s'apprécie en fin de repas, ou avec un vin blanc ou un crémant de Bourgogne en apéritif, dans des desserts… et de plus en plus dans des cocktails.
La Trouspinette, ce vin aromatisé à l'épine, n'est donc pas une invention en tant que telle. Le termes de Troussepinette serait né dans les années 1950. Deux sociétés revendiquent l'origine de cette spécialité vendéenne, avec une orthographe légèrement différente : “trousse-pinette” et “troussepinète”.
Ainsi, elle ne persista que dans les zones montagneuses de France où elle était utilisée pour ses baies vertes et rouges, ses feuilles et son écorce. Aujourd'hui, on trouve beaucoup l'épine vinette en Iran dans la région du Khorasan dont elle peuple naturellement les plateaux.
Couper des boutures de 20 cm de long environ. Couper en biseau en-dessous et au-dessus d'un œil. Les boutures sont ensuite liées ensemble en botte et placées contre un mur au nord et enterrées au ¾ dans une terre légère (terreau et sable). Si l'hiver est rigoureux, il est préférable de les placer sous châssis froid.