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Les forces des deux partis se balançaient à peu près. Sparte avait pour elle le Péloponnèse , excepté Argos et l'Achaïe ; de plus, les Béotiens , ennemis traditionnels d'Athènes, les Locriens, les Phocidiens, les puissantes colonies de Corinthe, Ambracie , Leucade , etc.
Xerxès fait fouetter la mer
l'offensive contre les Grecs en rassemblant une armée considérable de peut-être 300 000 hommes. Les cités grecques d'Ionie, tributaire du souverain, se sont vues imposer le financement d'une flotte de 1200 navires de guerre et 3000 navires de transport.
-C., la Grèce est menacée par l'empire perse. Athènes prend la tête d'une alliance des cités grecques qui repousse les envahisseurs. ² Il s'agit de la guerre du Péloponnèse qui se déroule de 431 à 404 avant J. -C.
A l'époque classique, Sparte est, avec Athènes, la cité la plus puissante de Grèce. Les deux rivales s'affrontent lors de la guerre du Péloponnèse (431-404 av. J. -C.), qui voit la victoire de Sparte et la disparition de l'empire athénien.
Les cités grecques, des États indépendants rivaux
Chaque cité choisit son fonctionnement politique et sa forme de gouvernement (démocratie, oligarchie, monarchie). Chaque cité bat sa propre monnaie. Chaque cité a son propre calendrier. Les cités se font la guerre afin d'agrandir leur territoire.
On n'a jamais su pourquoi trois cents Spartiates sous les ordres du roi Léonidas se sont battus jusqu'au dernier face aux milliers de Perses de Xerxès. C'était en 480 avant Jésus-Christ.
Les guerres médiques opposent les Grecs aux Perses de l'Empire achéménide au début du V e siècle av. J. -C. Elles sont déclenchées par la révolte des cités grecques asiatiques contre la domination perse, l'intervention d'Athènes en leur faveur entraînant des représailles.
J. -C.). Ce sont de petits royaumes indépendants qui exploitent un territoire. Elles sont dirigées par un roi et ont leurs propres institutions.
La guerre s'achève sur leur victoire totale : Athènes capitule en 404 ; la cité perd ses remparts, les Longs Murs, qui reliaient Le Pirée à la cité, et doit se joindre à la Ligue du Péloponnèse, sous la férule de Sparte. Le général Lysandre impose à l'Ecclésia un nouveau changement de régime.
Les guerres médiques, au nombre de deux, oppose l'empire des Perses et des Mèdes à une coalition de cités grecques, de 490 à 479 avant JC. Les Grecs l'emportent à Marathon grâce à l'intelligence du stratège Miltiade. La bataille marque la fin de la première guerre médique.
Les principaux membres de la confédération étaient Athènes, les cités grecques ioniennes de la côte de l'Asie Mineure, celles de l'Hellespont, de Propontide (mer de Marmara) et la plupart des îles de l'Égée comme Chios, Lesbos et Samos.
Les Romains paraissent à l'horizon au IIIe siècle. Ils profitent des querelles qui divisent alors les Grecs pour assujettir l'illyrie grecque (229 av. J. C.). Ils défont ensuite les Grecs à Cynoscéphales , en l'an 197, et, par dérision, proclamèrent à Corinthe en l'an 196, la Grèce indépendante.
La guerre du Péloponnèse est le conflit qui oppose la ligue de Délos, menée par Athènes, et la ligue du Péloponnèse, sous l'hégémonie de Sparte.
La flotte grecque remporte une dernière bataille au cap Mycale : les Perses sont définitivement vaincus. La victoire grecque de Salamine constitue un tournant de la guerre. Elle démontre la pertinence de la stratégie conduite par Thémistocle depuis près de dix ans.
Pourquoi Athènes est- elle considérée comme une cité puissante ? Athènes est considérée comme une ville puissante car elle est dotée : D'une la puissance militaire (grâce à ses nombreuses victoires), De richesses : les mines d'argent du Laurion et le beau marbre du Pentélique.
Le terme « citadin » désignant l'habitant de la cité est apparu au XIV e siècle à partir de l'italien.
Religion. Orthodoxe à 98%. L'orthodoxie est constitutive de l'hellénisme : un Grec est orthodoxe et parle grec. Bien sûr, il y en a quelques-uns qui sont musulmans, catholiques ou juifs, façons alternatives d'être Grec...
En Grèce antique, la polis (en grec ancien πόλις / pólis ; « cité » dans l'étymologie latine « civitas » ; au pluriel poleis) est une cité-État, c'est-à-dire une communauté de citoyens libres et autonomes, le corps social lui-même, l'expression de la conscience collective des Grecs.
Ils combattent en rangs serrés, leurs boucliers formant devant eux une muraille. Une stratégie consistant à encercler les Perses est mise au point. Dès qu'ils sont tout près, les Athéniens chargent. Les ailes de l'armée perse, mal organisées, sont prises de panique.
Les hilotes[modifier | modifier le wikicode]
Les hilotes, très nombreux, étaient des paysans esclaves, forcés de cultiver la terre (le kleros). En de rares cas, ils pouvaient être enrôlés dans l'armée et être affranchis.
Éphialtès est présenté comme un Spartiate gravement déformé et en exil qui trahit l'armée de Léonidas.
-C., est le roi agiade de Sparte de 489 à 480. Il est resté célèbre pour son opposition héroïque face aux Perses lors de la bataille des Thermopyles, durant laquelle il trouve la mort.
Le fait historique : la bataille des Thermophyles
En 480 av J.C, a lieu la bataille des Thermopyles. L'armée de Xerxès se compose alors d'environ 600 000 hommes contre 7 000 grecs, dont nos fameux 300 spartiates. Hérodote parle de trois millions de perses contre 4 000 hommes venus du Péloponnèse (L'Enquête, VII, 228).