Imprimez des objets en 3D prend encore beaucoup de temps, trop de temps. Vous le savez, le temps c'est de l'argent. Il n'est pas rare d'avoir des impressions de plus de 12H si vous souhaitez imprimer une pièce de plus de 10 cm2. Cela réduit la compétitivité de cette technologie.
Les imprimantes 3D présentent de nombreux avantages, notamment une précision, une vitesse, une efficacité et une productivité accrue. Cependant, elles présentent également certains inconvénients, comme le nombre limité de matériaux, de couleurs, de tailles et de formes.
Sous l'effet de la température les matières plastiques se dégradent formant des Composés Organiques Volatiles (COV) et des particules de très fines granulométries nommées particules ultrafines (PUF). L'ABS dégage, par exemple, du styrène et du formaldéhyde qui peuvent avoir des effets cancérogènes.
Le tarif impression 3D standard est de 10€ HT de l'heure (matière incluse dans la majorité des cas car parfois la matière est extrêmement chère, comme le PEEK par exemple.
La fabrication additive pour tout le monde
Par exemple, cette technologie est de plus en plus utilisée dans le médical, l'automobile, l'architecture, l'aéronautique ou encore l'agriculture. Les possibilités offertes par l'impression 3D sont infinies !
Le Bioprinting (ou Bio-impression) correspond à l'utilisation des imprimantes 3D dans le domaine médical.
Cette méthode permet d'imprimer des objets avec des formes complexes. Plus précisément, l'imprimante 3D agit en frittant les couches de poudres une par une. Le laser de la machine doit fritter le lit de poudre préchauffé pour fabriquer le produit que vous voulez avoir.
La résine, le polyamide et l'ABS (acrylonitrile butadiène styrène), trois plastiques aux propriétés différentes, ont longtemps été les matériaux phares de l'impression 3D et demeurent encore très populaires. Utilisés très souvent en prototypage rapide, ils interviennent également dans la production d'objets finis.
Le PLA ne présente pas de dangers physiques (c'est-à-dire liées aux propriétés physico-chimiques), toxiques ou écotoxiques au sens règlementaire. Ses chaînes longues en font une macromolécule qui ne répond pas aux critères de classification des substances dangereuses.
Composants électriques non-fixés = DANGER
La thermistance peut ainsi sortir toute seule du bloc de chauffe, provoquer une mauvaise détection de la température et faire surchauffer la cartouche jusqu'à provoquer un incendie.
La consommation
Certaines imprimantes 3D de petit volume peuvent ne consommer que 20 W environ en fonctionnement. Contrairement aux imprimantes classiques, même en veille, la consommation peut être importante : plus de 10 W pour certaines.
L'impact économique se fait ressentir : la conception et la réalisation des produits coûtent moins cher, le temps consacré à la fabrication est nettement moins important et les coûts de production et de logistique sont réduits. La chaine de production est donc révolutionnée.
En effet, l'avenir de l'impression 3D à Paris, en France et dans le monde apportera des changements spectaculaires dans de nombreux domaines. La construction, l'électronique, l'automobile, l'industrie pharmaceutique et l'industrie alimentaire connaîtront un changement impressionnant avec l'impression 3D.
Etant donné leurs caractéristiques, les thermoplastiques hautes performances ne peuvent pas s'imprimer sur toutes les machines FDM du marché. Il faut en effet que l'imprimante 3D possède un plateau chauffant capable d'atteindre au minimum les 230°C, une extrusion à 350°C et une enceinte fermée.
Les principales technologies d'impression 3D basées sur de la poudre sont le frittage sélectif par laser (connu sous le nom SLS pour Selective Laser Sintering) et la fusion sélective par laser (ou SLM, pour Selective Laser Melting).
En effet, c'est en 1898 que William Friese-Green dépose le premier brevet pour la réalisation d'un film en 3D. Quelques années plus tard, en 1915, Edwin Porter projette le premier film 3D à New York, qui prendra la forme de bandes de test.
Les plus courantes sont les peintures à l'huile, les vernis, les laques et les acryliques, qui fonctionnent bien avec l'ABS et le PLA pour la plupart. Si vous débutez, nous vous conseillons la peinture à l'acrylique, qui sèche vite et qui se nettoie bien à l'eau.
Avoir un extrudeur propre et bien réglé est également un facteur clé pour maximiser et améliorer vos impressions 3D. Un extrudeur encrassé va avoir tendance à être moins efficace sur les mouvements de filaments. Il pourra créer des défauts irréguliers et augmente fortement le risque de grinding.
Partedis vous propose un moyen simple et rapide pour imprimer toutes vos pièces détachées et design en 3D. Il vous suffit simplement d'envoyer votre fichier 3D ou votre pièce à reproduire.
La Kobra est une imprimante 3D bon marché et performante, dotée de nombreuses fonctions utiles qui la placent au-dessus l'Ender 3 V2 de Creality, longtemps restée notre meilleure option pour les débutants.
Température impression 3D : les règles
Pour le filament PLA par exemple, on retrouve souvent une température entre 180 et 220°C. Cette plage a pour but d'adapter la viscosité au débit requis. Vitesse d'impression, épaisseur de couches et diamètre de buse, modifie le besoin en température de votre extrusion.
Moins de 200 € : Mars 2 d'Elegoo
À bien des égards, l'Elegoo Mars 2 est l'archétype de l'imprimante 3D résine petit budget. Grâce à son écran LCD monochrome, les couches sèchent très vite, et sa prise en main est très rapide, comme toutes les machines de la gamme Mars.
Comme les imprimantes de la série J utilisent une tête d'impression différente, elles peuvent rester inactives jusqu'à 30 jours avant de nécessiter un arrêt complet, alors que toutes les autres machines PolyJet ne peuvent rester inactives que 10 jours avant de nécessiter un arrêt complet.