L'organisme doit donc puiser dans son environnement, d'où la nécessité de respirer, etc. La mort intervient quand l'organisme ne peut plus puiser et maintenir son entropie basse. La principale source d'énergie sur Terre est la lumière du soleil qui permet la photosynthèse.
Puisque les métabolismes ne fonctionnent plus, le corps va devenir acide et sous l'effet de l'acidité, les fibres musculaires vont se contracter de manière totalement involontaire. "Le corps est alors très rigide : tous les muscles se raidissent, d'abord ceux de la nuque, puis ceux des muscles de la mastication.
Dans le folklore occidental moderne, la Mort est généralement représentée comme un squelette portant une robe, une toge noire avec capuche, et éventuellement avec une grande faux. La Mort est alors connue sous le nom de « la Grande Faucheuse » ou tout simplement « la Faucheuse ».
La mort n'a pas de sens. Elle met fin à une vie. C'est la commune destinée de chaque individu. Il n'y a que la vie qui peut avoir un sens.
Les philosophes et la mort:
Du latin mors, la mort s'entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition nous est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.
- « Après la mort, nous devenons successivement les habitants de la Lune, de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et de Saturne, puis du firmament stellaire, pour ensuite nous contracter et nous réincarner » ; L'oubli s'installe, avec la réincarnation.
La mort est essentielle au sens et à la valeur de la vie humaine telle qu'elle est expérimentée par les individus et les communautés. La mort ne donne pas sens à la vie mais elle procure l'arrière-fond sur lequel la vie est vécue.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
La mort est l'état irréversible d'un organisme biologique ayant cessé de vivre. Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration…) de l'organisme considéré.
Vous croyez vraiment que des humains en vie aujourd'hui pourront échapper à la mort? Ce n'est pas certain, mais c'est très probable. J'estime à au moins 50% les chances que, d'ici 25 à 30 ans, de nouvelles technologies parviennent à minimiser les effets néfastes du vieillissement sur le corps.
Dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Θάνατος / Thánatos) est la personnification de la Mort. Il est une figure mineure de la mythologie grecque, à laquelle on fait souvent référence mais qui apparaît rarement comme individu.
Osiris, le dieu des morts qui redonne la vie.
Lorsque l'un des yeux du Mort ne se ferme pas, par exemple, en dépit des stratégies palliatives utilisées (coton humide sur la paupière, colle …), la croyance dit que le Mort attend la visite de quelqu'un et tant que cette personne ne sera pas venue se recueillir auprès d'elle, l'œil ne se refermera pas.
« Au cours de ces quelques heures, le corps ne peut saigner vraiment ; il peut suinter, à la rigueur », explique-t-elle. Par ailleurs, le sang coagule et s'épaissit après la mort.
Un cadavre a très souvent la bouche ouverte. La mâchoire inférieure, du fait de son poids, entraîne l'ouverture de la bouche.
décédé n. Personne qui est décédée. décéder v.i. Mourir.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
La peur de la mort est dans le cœur de l'homme. C'est l'angoisse existentielle face à notre destin. La mort ne peut pas être acceptée comme naturelle. Les premiers indiens d'Amérique parlaient d'esprits mauvais quand ils perdaient un des leurs et lançaient des flèches en l'air pour les chasser.
Nous la reproduisons donc, à toutes fins utiles : «Quand nous sommes là, la mort n'est pas là. Quand la mort est là, c'est nous qui n'y sommes pas. Elle ne concerne donc ni les vivants ni les trépassés, étant donné que pour les uns, elle n'est point, et que les autres ne sont plus.» A bon entendeur, salut !
Lorsque la mort survient après une longue maladie, les amis proches ressentent parfois ce que l'on appelle un chagrin anticipé. C'est une réaction émotionnelle à la perte avant la perte comme telle. Car l'acceptation de la mort s'est peut-être faite depuis déjà longtemps.
La mort nous délivre des tourments du monde sensible, les maladies, la douleur… et c'est pourquoi « le corps est le tombeau de l'âme » (sôma sêma) (Cratyle). Au fond, à la mort, on n'enterre que le corps. Pour les vrais philosophes, la mort, explique Platon, n'est donc que la libération de l'âme.
Les historiens la situent aujourd'hui généralement vers 30, le plus souvent le 7 avril 30 ou le 3 avril 33 (calendrier julien) de notre ère.
“La mort est douce : elle nous délivre de la pensée de la mort.” “Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne.” “Rien n'est plus affligeant que la mort du coeur, la mort de l'homme est secondaire.” “La mort n'est pas un mal, l'approche de la mort en est un.”