Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom). Cette proposition s'appelle « proposition subordonnée relative ».
On utilise le pronom relatif dont pour remplacer un complément introduit par la préposition de. Dont s'emploie avec des verbes (se souvenir de, parler de, avoir besoin de, avoir peur de, etc.) ou des adjectifs (être content de, etc.) ou encore avec des groupes nominaux (le père de Victor, les amis de mon frère, etc.)
Une proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : -qui –que –quoi –dont -où -lequel et ses composés ( laquelle, desquels ...) La proposition subordonnée relative a toujours la même fonction : elle est toujours complément de l'antécédent du pronom relatif (c.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
On choisit le pronom relatif auquel (ou à laquelle, auxquels, auxquelles) si l'antécédent est introduit par la préposition à dans la phrase simple.
Ce pronom relatif composé s'utilise après une préposition comme : sur, sous, dans, avec, sans, par, pour, vers, depuis, chez, avant, après, contre, entre, pendant, durant, hormis, selon… Exemples : J'écris avec un stylo. Ce stylo est un Montblanc®.
C'est un pronom qui permet de relier deux phrases simples entre elles pour créer une phrase complexe. Exemple : Je suis allé au cinéma voir un film. J'ai aimé ce film.
Les formes du pronom relatif
Il existe deux séries de pronoms relatifs : les pronoms relatifs simples (qui, que, quoi, dont, où), invariables en genre et en nombre ; les pronoms relatifs composés (lequel, duquel, etc.), variables en genre et en nombre.
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs.
quand adv. interr. Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement.
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
C'est un pronom qui permet de relier deux phrases simples entre elles pour créer une phrase complexe. Exemple : L'arbre est haut. Nous jouons sous l'arbre.
Employé seul, le pronom relatif « qui » introduit le sujet d'une proposition relative. Il remplace un nom de personne ou de chose. Le nom ou le pronom qu'il représente est son antécédent.
La subordonnée relative est enchâssée à l'aide d'un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel / laquelle / lesquels / lesquelles, etc.) ; le pronom relatif est parfois précédé d'une préposition (ex. : dans lesquels).
Pour retenir les pronoms relatifs, il s'agit de les mémoriser dans une suite facile à retenir (un peu comme pour les conjonctions de coordination) ! Qui que quoi dont où lequel duquel auquel.
Le pronom relatif dont remplace un groupe nominal introduit par la préposition DE. La ville dont je suis originaire est toute petite.
Le pronom démonstratif désigne un être, un objet, un concept que l'on montre, dont on va parler ou dont on vient de parler : Quelle sculpture préfères-tu ? — Celle-là, à droite. Elle préfère les bonbons à la menthe à ceux au citron.
L'analyse du pronom doit mettre en évidence sa fonction, sa nature, son genre et son nombre, sa personne pour les PRONOMS possessifs, les PRONOMS personnels, les PRONOMS relatifs, les PRONOMS interrogatifs.
Un pronom relatif sert à joindre deux phrases simples, appelées propositions (voir Appendice 1). Proposition 1: J'ai besoin du livre, Proposition 2: Ce livre est sur mon bureau. Phrase complexe : J'ai besoin du livre qui est sur mon bureau.
La conjonction « si » est toujours suivie de l'indicatif, que le verbe de la proposition principale soit à l'indicatif, à l'impératif ou au conditionnel. Souvenons-nous : « Les scies n'aiment pas les raies ! » La conjonction « si » s'élide devant les pronoms « il » et « ils ».
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.