Et, lorsque le taux d'alcoolémie atteint ou dépasse 400 mg d'alcool par 100 ml de sang (communément appelé . 40), il peut provoquer le coma éthylique et même la mort.
Théoriquement, à partir d'un taux de 3 g/L, le coma éthylique survient..... Et à 5 g/l c'est la mort !! En principe, chaque verre consommé fait augmenter l'alcoolémie de 0,20 à 0,25 g/L chez l'homme, et de 0,30 g/L chez la femme.
«On estime qu'avec 1,5 gramme d'alcool dans le sang, 30% de la population ferait un coma éthylique», illustre le Dr Batel. Le risque de coma éthylique est particulièrement important lorsqu'une quantité d'alcool comprise entre 2 et 4 grammes par litre de sang est consommée rapidement.
Les symptômes de surdose d'alcool sont entre autres : confusion mentale, difficultés à rester conscient(e), vomissements, crises, gêne respiratoire, ralentissement de la fréquence cardiaque, peau moite, réponses engourdies comme l'absence de réflexe nauséeux (ce qui permet de prévenir le risque d'étouffement) et ...
S'il n'existe pas de seuil létal pour l'alcool, on estime qu'à partir de 3 g/l de sang, selon les individus l'ivresse peut être mortelle. En France depuis 2005, c'est un automobiliste de 37 ans qui détient le triste record d'alcoolémie, avec une concentration de 10 g/l de sang.
Le coma éthylique survient généralement entre 2 et 4 grammes d'alcool par litre de sang. En l'absence de prise en charge, les principaux risques liés au coma éthylique sont l'étouffement (par la langue ou les vomissements) et l'hypothermie, les deux pouvant conduire au décès.
Le coma éthylique est une intoxication aiguë à l'alcool qui se caractérise par un endormissement et une perte de connaissance. Ce coma survient lorsqu'une quantité importante d'alcool est consommée dans un laps de temps assez court, perturbant le système nerveux central et le rendant incapable de fonctionner.
Le record est détenu par une automobiliste dans l'Oregon. Cette dernière est tombée dans un coma éthylique au volant alors qu'elle présentait un taux d'alcoolémie de 7,20 g/l de sang.
Qu'est-ce que l'alcoolisme aigu ? L'alcoolisme aigu est une surconsommation occasionnelle de boissons alcooliques entraînant un degré d'alcoolisation très élevé : Contrairement à l'alcoolisme chronique qui ne saute pas forcément aux yeux, l'alcoolisme aigu se repère facilement.
Prendre une douche froide, boire du café, faire de l'exercice, prendre de l'aspirine... Certaines personnes ont recours à ces différentes méthodes pour faire rapidement baisser leur taux d'alcoolémie, après avoir bu un ou plusieurs verres d'alcool.
Symptômes de la stupeur et du coma. La conscience est altérée à divers degrés. Les personnes présentant une stupeur sont en général inconscientes, mais elles peuvent être réveillées en les stimulant vigoureusement. Les personnes dans le coma sont inconscientes, les yeux fermés, et ne peuvent pas en être tirées.
Même une consommation d'alcool excessive à une seule occasion stimule la muqueuse gastrique. La muqueuse peut être alors irritée au point de provoquer des nausées et une contraction de l'estomac, qui aboutissent à des vomissements.
Ces chiffres peuvent être très sensiblement augmentés chez certains sujets : pour les plus minces, les femmes ou les personnes âgées, chaque verre peut représenter un taux d'alcoolémie de 0,30 g. Par exemple : après deux verres de bière (type demi)
Qu'il s'agisse d'une bière, d'un verre de vin ou un verre de whisky, un verre représente la même quantité d'alcool. Un verre d'alcool correspond à un taux de 0,2g/L à 0,25g/L en plus. On considère que 0,8g/L correspond à 3 verres.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Le fomépizole, inhibiteur compétitif de l'alcool déshydrogénase (ADH), est désormais l'antidote de première ligne en France, ayant l'autorisation de mise sur le marché pour les intoxications par l'éthylène glycol et le méthanol.
Transpiration excessive, tremblements, perte d'équilibre sont les principaux symptômes. L'irritation, des actes violents ou encore, les delirium tremens sont les manifestations psychiques qui peuvent conduire au déclic".
"Vomir est un mécanisme de défense: le corps réagit à une intoxication à l'alcool. Mais vomir ne réduit en rien l'alcoolémie." Inutile, donc, de se faire vomir: ce n'est pas parce que le liquide est ressorti que l'alcool n'a pas passé dans le sang, bien au contraire.
Le coma éthylique est une intoxication aigüe (c'est-à-dire exceptionnellement importante) à l'alcool. La quantité d'alcool (d'éthanol) bue perturbe le système nerveux central et le rend incapable de fonctionner.
Quoi qu'il en soit, «plus on est resté longtemps dans le coma, moins grande est la chance de réveil», souligne Andrea Rossetti. «Nous n'avons aucun argument pour dire qu'une personne dans le coma rêve, dit Andrea Rossetti. D'autant que le rêve est un état physiologique, alors que le coma n'en est pas un.»
Une carence en glucose entraîne des perturbations et un fonctionnement anormal du cerveau. Voilà pourquoi, dans les heures suivant la prise d'alcool, ceux qui ont trop bu ressentent de la faiblesse, de la fatigue, des vertiges, de l'anxiété, de l'accablement, des difficultés de concentration, des troubles visuels, etc.
Le coma profond appelé aussi coma carus ou Stade 3, se définit par une perte absolue de réaction à tous stimuli. Il s'agit d'un état grave, le patient pouvant à tout moment ne plus respirer, et être victime d'un arrêt cardiaque.