Les objectifs du Hamas sont de détruire Israël, de ne pas aider la population de Gaza. Cette organisation terroriste islamiste ne se soucie pas du nombre de vies palestiniennes qu'il doit sacrifier pour atteindre cet objectif.
Selon certains médias, Abdel Aziz al-Rantissi, l'un des cofondateurs du Hamas, assassiné par Israël comme son prédécesseur Ahmed Yassine, a affirmé que le but de l'organisation était d'« effacer Israël de la carte ».
Soutien financier du Hamas par l'Iran
Gabriel Tabarani, expert du Moyen-orient et rédacteur en chef de Miraat Al Khaleej rapporte que l'Iran soutien financièrement le Hamas en plus d'un entrainement militaire. Il estime que les subventions iraniennes annuelles depuis 1993 sont de l'ordre de 30 millions de dollars.
Face à la poursuite du développement des colonies israéliennes et face à des conditions économiques difficiles, la population palestinienne de Cisjordanie et de Gaza se révolte contre Israël.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Conquête par Israël. En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël prend (notamment) le contrôle de ces territoires à la suite de sa victoire militaire sur les troupes jordaniennes et irakiennes de Cisjordanie, ainsi qu'égyptiennes et palestiniennes de la bande de Gaza.
Les frontières officiellement revendiquées par le gouvernement de l'État de Palestine sont celles de la Cisjordanie, gouvernée partiellement depuis 1994 par l'Autorité palestinienne, et de la bande de Gaza, sous contrôle du Hamas depuis 2007.
Les membres sympathisants du Fatah se trouvant à Gaza sont arrêtés et emprisonnées par le Hamas, tandis qu'en Cisjordanie, le Fatah traque, arrête et emprisonne les membres du Hamas. À Gaza, le gouvernement de facto du Hamas a créé le délit de « coopération avec Ramallah et l'Autorité palestinienne ».
L'Autorité palestinienne est le nom de l'entité gouvernementale qui représente les habitants arabes de Cisjordanie, mais c'est le Hamas pour la bande de Gaza. Cette entité a été créée en 1993 par les accords d'Oslo, afin de négocier avec Israël un accord final sur le conflit opposant les deux parties.
L'Iran avait besoin des armes que lui envoyait Israël parce qu'il menait une guerre contre l'Irak de Saddam Hussein. Ce n'était pas la première. Depuis des siècles l'Irak servait de rempart au monde arabe contre l'Iran.
L'armée israélienne occupe la 17ème place dans le dernier classement 2019 mondial des forces militaires, établi par le Global Firepower, rapporte le Jérusalem Post dimanche.
La prise de contrôle de Gaza par le Hamas fait référence à l'offensive du mouvement islamiste dans la bande de Gaza opérée entre le 12 et le 14 juin 2007 contre les attributs du pouvoir présidentiel de Mahmoud Abbas et plus généralement contre les forces du Fatah.
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
En raison, de la surpopulation et du manque de moyens quant aux infrastructures notamment, les territoires palestiniens ne sont pas auto-suffisants. Ils n'ont donc aucune indépendance car en plus de leur déficit de production économique, leur approvisionnement est sous contrôle Israéliens.
Les premiers habitants connus de la Palestine historique furent les Cananéens, qui n'ont rien de commun avec les Palestiniens arabophones actuels. Le terme de Cananéen peut être considéré comme un synonyme du mot Phénicien.
Septembre noir (arabe : أيلول الأسود) est le nom qu'un groupe terroriste palestinien fondé en 1970. Il s'est donné ce nom à la suite des événements sanglants de septembre 1970 en Jordanie, appelé Septembre noir.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
La France officielle ne reconnait pas la Palestine comme état pour la simple raison qu'historiquement parlant le moyen orient a toujours être habitait par les juifs. A cette raison, ajoutez le fait qu'elle sait bien qu'Israël et une puissance nucléaire qu'il ne faut pas contrarier .
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
Ce sont en fait les Soviétiques qui, les premiers, reconnaissent de jure Israël (c'est-à-dire une reconnaissance définitive et plénière), alors qu'au même moment les États-Unis ne le reconnaissaient que de facto (c'est-à-dire de manière provisoire ou limité à certains rapports juridiques).