Quels sont les médicaments contre l'anorexie et la boulimie ? Un antidépresseur, la fluoxétine (Prozac et ses génériques), peut être prescrit dans le cadre de troubles boulimiques. Il contribue à diminuer la fréquence des crises, des vomissements ou des prises abusives de laxatifs, en complément d'une psychothérapie.
Le suivi des personnes boulimiques est pluridisciplinaire (psychiatre, pédiatre, médecin traitant, psychologue, diététicien). Le suivi psychologique doit être long (au moins une année, voire plusieurs années) pour s'assurer de la guérison.
Mais l'hyperphagie nocturne peut révéler un problème psychologique. Et en effet, des troubles de l'humeur, une dépression, un stress post-traumatique ou encore une grande anxiété peuvent se traduire par des accès de boulimie nocturne. Ces personnes tendent, donc, à se réfugier dans la nourriture.
Psychothérapeute. La psychothérapie permet au patient d'identifier et de comprendre ses comportements vis-à-vis de ses habitudes alimentaires et de ses relations à autrui. Dans certains cas, la famille du patient peut être invitée à participer à la thérapie.
Préférez une alimentation complète et équilibrée, comme peut vous le proposez le programme de rééquilibrage alimentaire Croq'Kilos. Effectivement, le meilleur moyen pour battre les compulsions alimentaires est d'avoir des repas réguliers et complets qui vous apportent tout le nécessaire.
Les causes de la boulimie sont multiples, complexes et difficiles à établir. Elles sont communes à tous les troubles du comportement alimentaire (TCA), comme l'anorexie mentale et l'hyperphagie boulimique. Elles peuvent être génétiques, neurobiologiques, psychologiques, familiales ou encore socioculturelles.
Les personnes souffrant de boulimie mentale ont des épisodes répétés de frénésie alimentaire. C'est-à-dire que la personne consomme une quantité de nourriture bien plus importante que celle que la plupart des personnes mangeraient dans le même temps, dans des circonstances similaires.
Boulimie et hyperphagie boulimique : des médicaments parfois nécessaires. Une prise en charge médicamenteuse, par antidépresseurs notamment, peut aider à l'atténuation des symptômes de la boulimie, de l'anxiété ou de la dépression.
Prendre certains aliments à certains moments de la journée permet de rééquilibrer les neurotransmetteurs de l'humeur et accélère la venue du sommeil en augmentant la sécrétion de mélatonine. Avoir un apport de protéines conséquent le midi et ne pas oublier de manger des sucres lents complets le soir.
Il est également conseillé de lutter contre le stress, qui favorise et amplifie les crises de boulimie nocturnes. Le yoga ,la méditation et le Reiki traditionnel peuvent par exemple donner de bons résultats, mais une thérapie cognitivo-comportementale est parfois nécessaire.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
L'hyperphagie boulimique se caractérise par des épisodes récurrents de crises de boulimie, mais sans le recours aux comportements compensatoires inappropriés caractéristiques de la boulimie. C'est pourquoi les personnes souffrant d'hyperphagie boulimique sont généralement en surpoids ou en situation d'obésité.
Mais, contrairement aux idées reçues, il est possible de bénéficier d'une reconnaissance de handicap auprès de la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) lorsqu'on est atteint d'anorexie, de boulimie ou encore d'hyperphagie boulimique ; des pathologies psychiatriques répertoriées dans le Manuel ...
Microlax, Dulcolax, Forlax...
On fixe des intervalles réguliers entre les repas et les collations pour que le temps entre les repas ne soit pas trop important. Les moments où l'on mange ne devraient être consacrés qu'à ça. Il est recommandé de manger assis, lentement, en se concentrant sur ses sensations, sans rien faire d'autre.
Vous l'aurez compris, ne pas manger le soir ne vous assurera pas une perte de poids et pourra, de surcroît, nuire à votre équilibre alimentaire et votre sommeil. "Ce n'est pas grave de sauter un repas de temps en temps, si on n'a pas faim.
Le gruau d'avoine.
Riche en vitamines, minéraux et acides aminés qui produisent la mélatonine, aussi appelée « hormone du sommeil », le gruau d'avoine accélère la production d'insuline et augmente naturellement la glycémie, le taux de sucre dans le sang.
"Tenir un journal alimentaire dans lequel on note ses émotions avant de manger permet d'en prendre conscience et d'imaginer des moyens pour mieux les gérer, conseille la spécialiste. Si c'est de l'ennui, on passe un coup de téléphone.
La solution est de dormir suffisamment. Quand on dort peu, l'organisme produit davantage de ghréline, une hormone boostant l'appétit, et moins de leptine, une hormone favorisant la satiété. Autre solution : misez sur le magnésium, le manque favorise l'anxiété, donc les pulsions alimentaires.