Le myélome multiple est un cancer qui prend naissance dans les plasmocytes. Les plasmocytes sont un type de globules blancs qui fabriquent des anticorps (immunoglobulines) pour aider à combattre les infections.
les leucémies, caractérisées le plus souvent par la présence de cellules anormales circulant dans le sang ; les myélomes, qui se manifestent notamment par des lésions osseuses, et les lymphomes, qui touchent principalement les ganglions.
Au début de la maladie, il est courant, mais pas systématique, que la personne ressente des douleurs osseuses, en particulier au niveau de la colonne vertébrale. Des fractures spontanées peuvent survenir. Ces atteintes osseuses sont dues à une fragilisation de l'os.
Il existe différents cancers du sang parmi lesquels le myélome, les lymphomes (tumeurs situées dans les ganglions) et les leucémies (prolifération anormale de cellules jeunes ou matures dans la moelle osseuse) sont les plus fréquents.
Parmi les lymphomes dits agressifs : Le lymphome B diffus à grandes cellules (30 à 40% des LNH) Le lymphome à cellules du manteau (5 à 10% des LNH) Le lymphome de Burkitt, le plus agressif.
Le myélome multiple ne peut pas être guéri. Le but du traitement est de réduire les symptômes, de ralentir l'évolution (progression) de la maladie et d'arriver à une rémission de la maladie.
soif excessive, besoin d'uriner souvent, déshydratation, troubles rénaux dont insuffisance rénale, constipation, perte d'appétit, douleur abdominale, faiblesse, somnolence, confusion, nausées et vomissements ou léthargie causés par un taux élevé de calcium dans le sang (hypercalcémie);
Les symptômes sont des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une bouche sèche, une diurèse très abondante, des céphalées voire à l'extrême une confusion et des troubles du rythme cardiaque.
Nous savons que le myélome multiple se développe lorsque des « erreurs » génétiques se produisent dans l'ADN des plasmocytes (un type de globules blancs produits dans la moelle osseuse), entraînant leur multiplication incontrôlée et la production d'un seul type d'anticorps inefficaces.
L'hématologue a recours à différentes molécules administrées le plus souvent en combinaison, soit par voie intraveineuse soit par voie orale. Le traitement comporte également un corticoïde qui, en plus d'une action anti-inflammatoire, a des effets anti-tumoraux.
Maladies auto-immunes chez les patients avec syndromes myélodysplasiques. Des manifestations auto-immunes surviennent au cours d'un SMD dans 10 à 35% des cas selon les études (tableau 2). Les patients atteints de SMD ont ainsi un risque de présenter des manifestations auto-immunes 4 à 5 fois plus élevé que les témoins.
Le myélome multiple est un cancer de la moelle osseuse pour lequel l'espérance de vie, suite au diagnostic, est de 5 ans en moyenne.
Le myélome multiple est un cancer hématologique, autrefois appelé « maladie de Kahler », caractérisé par la prolifération dans la moelle osseuse de plasmocytes tumoraux.
Il existe 2 principaux types de myélome multiple : le myélome multiple latent et le myélome multiple actif. Le myélome multiple latent n'engendre pas de signes et symptômes. Le myélome multiple actif cause des signes et symptômes.
Myélogramme. Ponction de la moelle par insertion d'une aiguille au niveau du sternum ou de la crête iliaque sous anesthésie locale. Cet examen est indispensable car il confirme le diagnostic de myélome en évaluant le nombre et les anomalies des plasmocytes dans la moelle osseuse.
« Le principal symptôme est une douleur persistante et souvent intense dans les os, ainsi qu'un risque accru de fractures osseuses, du fait que les plasmocytes malades provoquent une accélération de la dégradation osseuse. »
Son mari Michel est décédé à l'âge de 66 ans, le 26 juin, des suites du myélome multiple, un cancer qui touche la moelle osseuse.
La pratique d'une activité physique, pendant la prise en charge de la maladie et après, a des effets bénéfiques sur la qualité de vie ; elle aide à surmonter les effets secondaires physiques et psychologiques des traitements, diminue la fatigue et les troubles du sommeil et améliore la concentration.
Le pronostic dépend du stade de la maladie, de votre état général , de votre âge et de la présence de certains facteurs de risque . Pour les patients présentant une « maladie limitée » (voir ci-après), les chances de guérison sont d'environ 85 à 95 % (85 à 90 % avec facteurs de risque, 90 à 95 % sans).
Le terme lymphome désigne un élargissement ou un gonflement des ganglions lymphatiques et peut être à la fois bénin et malin.
Les médecins guérissent 80 à 85 % des malades et même plus de 90 % des jeunes adultes, mais « le suivi reste très important, car quelques patients ont tendance à rechuter, surtout dans les 2 premières années », insiste l'hématologue.