Les douleurs du cancer ne sont pas forcément un signe de gravité. Elles dépendent principalement de l'endroit où est située la tumeur. Des douleurs neuropathiques peuvent apparaître lorsque la tumeur ou des métastases compriment ou envahissent une partie du système nerveux : un nerf, la moelle épinière* ou le cerveau*.
Il existe deux types de douleurs dues au cancer : La douleur nociceptive – liée à une lésion tissulaire, elle peut être vive, diffuse ou lancinante. La douleur nociceptive peut être causée par la propagation du cancer aux os, aux muscles ou aux articulations ou par l'obstruction d'un organe ou des vaisseaux sanguins.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Une toux et des enrouements inexpliqués depuis plus de 4 semaines, une difficulté à déglutir, des nausées et des vomissements, une plaie qui ne guérit pas en 3 semaines, de la diarrhée ou de la constipation depuis 6 semaines ou plus.
Les signes du cancer sont parfois difficiles à repérer car souvent anodins. Un mal de tête, une fatigue intense, une mauvaise toux sont autant de symptômes qui peuvent facilement passer inaperçus.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
La fatigue, l'irritabilité, la douleur et la fièvre font partie des symptômes possibles. Le médecin peut soupçonner la présence d'un cancer quand ces symptômes persistent ou s'aggravent, ou lorsqu'un examen médical révèle la présence de certaines anomalies.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
La tumeur est un amas de cellules sans nerfs ; elle n'a donc aucune sensibilité et n'est pas douloureuse. Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps.
1. Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC).
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Chez les gens qui ont le cancer, le gonflement d'estomac ou dans l'endroit abdominal peut avoir des causes différentes. Un liquide peut s'accumuler dans la partie du corps où se trouvent les organes abdominaux. Ce liquide se nomme ascites.
L'imagerie médicale
Elle peut être utilisée : en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.
La perte de poids peut être liée au cancer lui-même mais aussi à ses traitements qui s'accompagnent souvent d'effets secondaires. Pour maintenir un poids stable, il faut un équilibre entre les apports et les dépenses c'est ce qu'on appelle « la balance énergétique ».
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant. Il se développe plusieurs mois, voire plusieurs années avant l'apparition des premiers symptômes.
Par ailleurs, les cancers du côlon et du rectum, du col de l'utérus, du sein et de la prostate demeurent des cancers de bon voire très bon pronostic, avec une survie nette à 5 ans estimée respectivement à 63% pour les deux premiers, 88% pour le sein et 93% pour la prostate chez les personnes diagnostiquées en 2010-2015 ...
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Des douleurs abdominales
Il peut arriver qu'un cancer du pancréas provoque des douleurs ou des gênes au niveau de l'abdomen, qui peuvent se diffuser dans le dos. Ces douleurs peuvent s'intensifier après la prise d'un repas ou en position allongée.
Quand le ventre est devenu gonflé en plusieurs mois, il faut aussi rechercher d'éventuels autres signes associés : fatigue, douleur, fièvre, manque d'appétit, ventre dur... Lorsqu'on souffre de ballonement, c'est le plus souvent après les repas, on se sent comprimé au niveau de la ceinture !