Il s'agit de l'épisode où Pénélope, inspirée par Athéna, défie les prétendants de bander l'arc d'Ulysse. Celui qui réussirait aurait alors droit de l'épouser. On voit Ulysse en train de manier l'arc, dont la flèche doit passer par les douze trous de haches.
[Ulysse] tendit l'arc avec une facilité extrême. Puis, le prenant dans sa main droite, il essaya la corde, qui rendit un beau son, semblable au cri de l'hirondelle. Les prétendants éprouvèrent une vive douleur et tous changèrent de couleur.
Après ce long entretien, Ulysse a la certitude que sa femme lui est fidèle. Pourtant, il résiste au désir de jeter le masque et de se faire reconnaître de celle qui est « pareille à Artémis ou à l'Aphrodite d'or » (page 109). Il approuve l'épreuve de l'arc.
Une formule d'Athéna précise la stratégie de Pénélope : «il lui faut à tous donner des espérances, envoyer à chacun promesses et messages, quand elle a dans l'esprit de tout autres projets » (XIII, 380-381).
Pénélope désigne alors Euryclée, la vieille nourrice qui a soigné et élevé Ulysse après l'avoir reçu quand sa mère le mit au monde. Et c'est en le lavant qu'elle reconnaît la cicatrice qu'il porte à la jambe, trace de la blessure reçue d'un sanglier lors d'une partie de chasse dans sa jeunesse.
Pendant l'absence d'Ulysse, Pénélope gagne du temps avec les prétendants en employant une ruse : elle affirme qu'elle reprendra un époux lorsqu'elle aura terminé de tisser un suaire pour Laërte, le père d'Ulysse ; en réalité, elle défait chaque nuit son travail de la journée, de sorte que l'ouvrage n'avance pas.
De retour de la guerre, Ulysse traîne trop sur les flots ou dans des bras ensorcelants. Il trompe Pénélope. Elle le trompe. Nul n'est dupe.
Pendant la seizième année de l'absence d'Ulysse, Pénélope conçoit une ruse consistant à faire semblant de tisser sur le métier un grand voile, en déclarant aux prétendants qu'elle ne pourra contracter un nouveau mariage avant d'avoir achevé cette tapisserie destinée à envelopper le corps de son beau-père Laërte, quand ...
Pénélope, après le combat, va voir Ulysse. Mais il a vieilli, et elle veut vérifier que c'est bien lui. Elle dit donc à Euryclée de remettre leur lit dans sa chambre, car elle l'avait rangé quand les prétendants étaient là.
Ulysse erre pendant 10 ans sur la mer car il a provoqué la colère du Dieu Poséïdon. En effet, Ulysse a crevé l'œil de Polyphème le Cyclope. Or Polyphème est le fils de Poséidon et celui-ci décide de se venger.
Ulysse avait dépassé l'ile des morts et allait arriver vers le royaume des sirènes. Il se souvenait de ce que Circé lui avait dit :"Bouche les oreilles de tes compagnons et si tu veux écouter leur chant, tu t'attacheras au mat." C'est ce qu'il fit.
Dans la mythologie grecque, Calypso (en grec ancien Καλυψώ / Kalupsố, « celle qui cèle, enveloppe ») est une nymphe de la mer, ayant, par amour, retenu auprès d'elle Ulysse, pendant sept des dix années de son retour de Troie à Ithaque.
L'union de ces deux êtres qui s'aiment éperdument est scellée et leur bonheur est radieux. Par cette union, Ulysse devient le roi d'Ithaque et son royaume est prospère. Les deux amants vivent heureux et bientôt, un enfant vient au monde. Ils le nomment Télémaque.
Ulysse a terminé son récit ; Alcinoos lui promet de le faire ramener à Ithaque par ses marins sans autres péripéties, puis tout le monde va se coucher.
Le navire franchit les vagues sur la mer grondante. Et quand se lève la brillante étoile du matin, le navire arrive au port d'Ithaque. Les Phéaciens emportent Ulysse, toujours profondément endormi, et le déposent sur le sable, dans sa couverture. Ils entassent ses riches présents loin du sentier, puis ils repartent.
Pénélope est à la fois une habile tisseuse, ce qui est commun aux femmes de l'épopée, et celle qui sait subvertir le tissage10. Elle détisse la nuit ce qu'elle a tissé le jour. Et le dé-tissage est le symbole de son refus d'un nouveau mariage.
Entre dévouement et rébellion, de la Pénélope la plus docile et endurante à la plus impatiente et en colère, entre résignation et explosion, ce sont autant de Pénélopes que le mythe nous invite à imaginer aujourdʼhui.
Travail, ouvrage, toile de Pénélope. Travail interminable ou qui est toujours à recommencer.
Dans la mythologie grecque, Télémaque est le fils d'Ulysse et de Pénélope. Il est l'un des personnages de l'Odyssée d'Homère dont l'histoire est relatée dans les quatre premiers livres dénommés la Télémachie. Télémaque est très jeune quand son père part pour la guerre de Troie.
Eumée recommande à l'étranger de prendre soin du jeune maître et dissuade Télémaque de retourner au logis, où il faut redouter l'insolence des prétendants. Eumée part pour la ville informer Pénélope de l'heureux retour de son fils. Ulysse, à qui Athéna a rendu son premier aspect, se fait reconnaître de son fils.
Héroïne de l'Odyssée, femme d'Ulysse et mère de Télémaque. Pendant l'absence d'Ulysse, elle lui resta fidèle, ayant signifié aux prétendants qu'elle se ne marierait pas avant d'avoir achevé le tissage du linceul de Laërte, son beau-père.
Pourquoi Pénélope se met-elle à pleurer ? Elle entend un poème sur la guerre de Troie qui lui fait penser à Ulysse. Que fait Télémaque pour impressionner sa mère et les prétendants ? Il parle avec assurance à sa mère et aux prétendants, pour montrer qu'il est le maître de la maison.
"Sans plus attendre" : quand l'histoire de Pénélope attendant Ulysse résonne avec notre présent.
Ulysse et Pénélope, les amoureux passionnés de la mythologie grecque. Dans les poèmes homériques, innombrables sont les prétendants qui rêvent de conquérir le cœur de la ravissante Pénélope. Vaillant et malicieux, c'est Ulysse qui l'emporte et le mariage est célébré.