La réalité est ce qui est objet de constat. La vérité quant à elle est ce qui est conforme à la réalité: est vrai ce qui correspond à ce qui est. La vérité consisterait ainsi dans une correspondance, un accord entre le discours et la réalité, c'est-à-dire entre ce que je dis et ce qui est (réel).
Réel (définition)
Le réel est un concept ontologique qui désigne ce qui existe en dehors et indépendamment de nous. Il se définit par rapport à celui de réalité empirique, qui, lui, désigne ce qui existe pour nous grâce à notre expérience.
1. Caractère de ce qui est réel, de ce qui existe effectivement : Douter de la réalité d'un fait. 2. Ce qui est réel, ce qui existe en fait, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé, fictif : La réalité dépasse la fiction.
En philosophie le concept de réalité appartient à une catégorie ontologique, c'est-à-dire qui concerne l'être. La vérité s'inscrit dans une catégorie logique et gnoséologique, qui a trait au langage et à la connaissance. Les choses sont réelles ou irréelles. Ce que l'on en dit est vrai ou faux.
Ceci a considérablement accéléré les flux entre les trois types de réalité qu'Adoni et Mane (1984) qualifient de 1) objective, 2, symbolique et 3) sociale et subjective.
Les critères de la vérité
La première réponse est simple (« le critère de la vérité est l'évidence ») mais insatisfaisante, car une évidence (sentiment de posséder le vrai) peut être trompeuse. La seconde réponse est beaucoup plus probante : la vérité doit être soit démontrée soit démontrable.
La vérité est donc ce qui est conforme à la réalité et, en conséquence, dont on peut affirmer que c'est vrai. Mais la réalité des choses, comme tout un courant de la philosophie a tendu à l'établir (notamment la phénoménologie), n'existe que pour une conscience qui la perçoit.
La vérité comme relation
L'absolu, c'est ce qui, dans la pensée comme dans la réalité, ne dépend de rien d'autre que soi, et contient en soi-même sa raison d'être.
Néanmoins, le mensonge relève d'un acte moral (la bonne ou la mauvaise foi), alors que la vérité relève du fait (le vrai et le faux). Le contraire du mensonge serait donc la sincérité et celui de la vérité l'erreur. Il est d'ailleurs possible de mentir et de dire involontairement la vérité.
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
Vérité absolue, ultime ou radicale
Paramārtha est ce que voit et expérimente l'Éveillé en tant que vacuité. Et c'est pour cela qu'on l'appelle l'Omniscient. La réalité absolue désigne le mode réel des choses, leur nature essentielle et ultime.
Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche. Cette phrase de Albert Jacquard contient 31 mots.
La réalité n'existe pas avant qu'on l'observe
Ce que l'on a fait, de manière conceptuelle, au niveau expérimental, est de voir si, lorsque notre esprit perçoit un objet, celui-ci pourrait se comporter comme une onde ou une particule, indépendamment de la façon dont il est évalué et, par ailleurs, en simultané.
Selon Platon la vérité est donc à la portée de tous, car nos âmes l'ont contemplée avant d'arriver dans la réalité matérielle. Ainsi, découvrir la vérité est plus une affaire de réminiscence que de découverte : nos âmes se souviennent des idées parfaites qu'elles ont contemplées.
réel adj. Qui existe ou a existé effectivement.
La fiction et le virtuel jouent donc ici à plein dans la détermination, la projection, l'anticipation, le masquage de la réalité et la communication avec l'autre. Le réel est révélé de nature transactionnelle, il se construit en fonction de la manière dont l'action est comprise.
Cette citation de Mark TWAIN : La réalité dépasse la fiction, car la fiction doit contenir la vraisemblance, mais non pas de la réalité. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Mark TWAIN.
(Date à préciser) Du bas latin realis (« relatif aux choses matérielles ») dérivé de res (« chose matérielle »).
n. Personne qui accepte le monde tel qu'il est et agit en conséquence (ex. il se demanda si le réaliste n'était pas seulement un utopiste ignorant du fait que le monde est toujours bien différent de ce qu'il semble).
Le sens commun admet facilement que le langage est en rapport étroit avec la réalité. Il est naturel de penser que le mot commande aux choses, comme il est naturel de penser que les éléments du langage renvoient nécessairement à des éléments de la réalité.
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
Elle considère en effet l'espace et le temps comme des propriétés du monde physique, ni plus ni moins dépendantes, par conséquent, que n'importe quelle autre du monde physique, de nos modes de perception.
« Le réel, c'est quand on se cogne. » La citation originelle : « Il n'y a pas d'autre définition possible du réel que : c'est l'impossible quand quelque chose se trouve caractérisé de l'impossible, c'est là seulement le réel ; quand on se cogne, le réel, c'est l'impossible à pénétrer. »
Vrai. Sincère, qui dit la vérité.