Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues.
Victoire légendaire, la première de la Grande Armée constituée à Boulogne en septembre 1805, Austerlitz consacre l'Empereur conquérant. Le 14 octobre 1806, Napoléon et Davout écrasent les armées prussiennes, l'un à Iéna, l'autre à Auerstaedt. Ces victoires ouvrent les portes de Berlin.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Les principales défaites de Napoléon sont : La bataille de la Bérézina (26 au 29 novembre 1812) Waterloo (18 juin 1815)
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique. Nous sommes le 18 juin 1815 à Waterloo, dans l'actuelle province du Brabant wallon, en Belgique.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises, donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Bataille gagnée par Napoléon sur les Autrichiens de l'archiduc Charles. Après Essling (20 mai 1809), Napoléon a fortifié l'île Lobau, y concentrant 187 000 hommes et 488 canons, en attendant l'arrivée du prince Eugène avec l'armée d'Italie.
Austerlitz. Napoléon remporte en Moravie la plus éclatante, la plus historique de ses victoires, contre les troupes russes et autrichiennes, sous les yeux du tsar Alexandre Ier et de l'Empereur François II. C'est la "Bataille des trois Empereurs".
Première abdication de Napoléon I. La première abdication de Napoléon Ier est un moment de l'Histoire de France qui voit l'Empereur des Français contraint, en avril 1814, de quitter le pouvoir à la suite de sa défaite militaire après la campagne de France et l'invasion alliée.
La bataille d'Austerlitz, victoire écrasante le 2 décembre 1805 de la Grande Armée sur les forces de la coalition austro-russe, constitue le chef-d'œuvre tactique le plus abouti de Napoléon Ier.
Louis-Napoléon Bonaparte, le dernier empereur.
Après la chute de l'Empire, la monarchie est restaurée avec Louis XVIII qui est remis sur le trône en 1815, après son bref passage en 1814 lorsque Napoléon Ier a abdiqué. À sa mort en 1824, Charles X lui succède ; il s'agit du dernier membre des Bourbons sur le trône de France.
Napoléon Bonaparte, du général à l'Empereur des Français (1769-1821)
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Après la défaite de Napoléon et le congrès de Vienne en 1815, la monarchie est réinstaurée en France. Louis XVIII (1815 - 1824) est proclamé "roi de France".
L'expression fait référence à la déroute de l'armée napoléonienne en 1812. A cette date, Napoléon a mené ses troupes face aux Russes, à Moscou. Mais ceci fut une grossière erreur de la part de l'Empereur, qui se trouva bloqué devant la rivière, nommée Bérézina, qui était infranchissable.