La « Terre promise » est ainsi appelée dans la Bible parce qu'elle aurait été promise par Dieu à la descendance d'Abraham. C'est une étroite bande de terre sur la côte orientale de la Méditerranée, délimitée par le Jourdain et le mont Liban, qui relie l'Égypte à la Mésopotamie.
La Terre promise (hé. הארץ המובטחת, translit.: ha'aretz hamuvtakhat) représente ce que dès la Genèse, la Torah (Bible hébraïque) désigne sous le nom de « Terre d'Israël » dans le pays de Canaan, « pays où coulent le lait et le miel », qui, selon les textes, fut promise par Dieu au patriarche hébreu Abraham (Gen.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
La promesse est accomplie dans le livre biblique de Josué lorsque les Israélites traversent le Jourdain pour se rendre dans la terre promise pour la première fois.
Vous porterez le poids de votre péché pendant quarante ans et vous saurez ce qu'est ma colère. » Moïse lui-même n'atteindra jamais la Terre promise.
La « Terre promise » est ainsi appelée dans la Bible parce qu'elle aurait été promise par Dieu à la descendance d'Abraham. C'est une étroite bande de terre sur la côte orientale de la Méditerranée, délimitée par le Jourdain et le mont Liban, qui relie l'Égypte à la Mésopotamie.
Abram part pour devenir lui-même, c'est-à-dire autre que lui-même. Il part pour entrer en alliance avec cet Autre qui lui parle. Il part pour donner vie, pour devenir père. Le départ est l'événement – lieu d'une refondation généalogique, non à partir de la terre ou de l'ethnie, mais à partir d'un appel, d'une vocation.
« Noé partagea la terre entre ses fils, et assigna à chacun sa propriété. Il maudit Cham à cause de l'injure qu'il reçut de ce fils, ainsi qu'on le sait, et s'écria : « Maudit soit Cham ! puisse-t-il être l'esclave de ses frères ! » (…)
Sorti d'Egypte, le peuple d'Israël a erré quarante ans dans le désert, parce qu'il avait douté de Dieu au seuil de l'entrée en Terre promise. Ce temps d'épreuve passé, la génération incrédule a disparu, et les Israélites sont prêts à prendre possession du pays tant convoité.
Si l'on remonte en effet de 480 ans au-delà de la construction du Temple de Jérusalem, qui eut lieu approximativement en 960, on arrive à la date de 1440, qui est l'an X d' Aménophis II (1450-1425 av. J. -C.). Ce serait la date de l'Exode.
Israël est le nom que s'est donné, selon la Bible, Jacob, fils d'Isaac et petit-fils d'Abraham, d'après une expression hébraïque qui signifie : «Dieu s'est montré fort».
Abraham est présenté comme originaire de la ville d'Ur en Chaldée. Il quitte le sud de la Mésopotamie en compagnie de son père, de son frère et du reste de sa famille, pour s'établir, dans un premier temps, à Harân, une ville située sur un affluent de l'Euphrate au nord de la Syrie actuelle.
Kanan (河南町, Kanan-chō) est un bourg situé dans le district de Minamikawachi de la préfecture d'Osaka, au Japon.
Dans le livre de l'Exode
Aaron commande alors au peuple hébreu de briser les boucles d'oreilles en or des femmes et des enfants, afin qu'il puisse fondre un veau qu'ils désignent et adorent comme dieu, à l'imitation du taureau Apis qui était adoré en Égypte.
La distance entre Égypte et Canaan (région) est de 847 km.
Les premiers habitants connus de la Palestine historique furent les Cananéens, qui n'ont rien de commun avec les Palestiniens arabophones actuels. Le terme de Cananéen peut être considéré comme un synonyme du mot Phénicien.
Le nom quarante vient du latin quadraginta. Le mot est composé de quadra (quatre) et ginta (dix, par le sanskrit dekem et sa dérivation vers kimti). Littéralement quarante signifie 4 dizaines.
Le désert est une durée
Dans un milieu hostile, sans eau et sans nourriture, les Hébreux, libérés de la servitude, vont se constituer comme peuple. Ils font l'expérience de la solidarité, de la fidélité de Dieu : le Seigneur leur donne la manne, les protège des serpents, fait alliance avec eux et leur donne la Loi.
La cinquantième année est sainte, et le jubilé est une « chose sainte » (Lv 25,10). De la même manière que, dans la théologie sacerdotale, le sabbat est considéré comme le sanctuaire de Dieu au cœur du temps, de la même manière l'année jubilaire est un temps saint au cœur du temps.
L'aventure de Loth et de ses filles est l'épisode incestueux le plus célèbre de l'histoire biblique, tout comme le mythe d'Œdipe constitue le récit d'inceste le plus célèbre de la culture hellénique. Mais on ne saurait ignorer une différence radicale entre ces deux récits.
Noé, réveillé de son ivresse, connut ce que lui avait fait son plus jeune fils et il dit : « Maudit soit Canaan ! Qu'il soit l'esclave des esclaves de ses frères ! » Il ajouta : « Soit béni l'Éternel Dieu de Sem. Et que Canaan soit leur esclave !
La tradition rabbinique ramène la totalité des nations au nombre de 70, qui correspond aux premiers descendants de Noé énumérés par le livre de la Genèse. 70 est aussi un chiffre à valeur symbolique, combinant le 7 et le 10, et associé à une partie de l'arbre séfirotique.
Le récit des origines, c'est celui de l'Alliance entre un Dieu unique et « son » peuple. D'Abraham, le patriarche, à Moïse, l'homme de la Loi, la Bible retrace les étapes de la naissance de Dieu.
Bien que tourmenté, Abram (signifiant "père élève" en hébreu) accepta. Dieu empêcha au dernier moment Abram d'immoler son fils. Dès lors, il lui donna le nom d'Abraham : "père des peuples" (ou des nations). Abraham est alors considéré comme le gardien de la foi et de la vérité.