14 gouttes de tea tree (Melaleuca alternifolia), 10 gouttes de thym à feuilles de sarriette (Thymus satureioides), 4 gouttes de laurier vrai (Laurus nobilis), 12 gouttes de romarin officinal à 1,8 cinéole (Rosmarinus officinalis).
Probiotiques. Les probiotiques, ces micro-organismes bénéfiques pour notre santé, ont montré leur capacité à renforcer l'efficacité des traitements antibiotiques contre les ulcères. De plus, ils permettent de limiter les effets indésirables de ces traitements, notamment les troubles intestinaux.
Le traitement repose sur la prise de plusieurs antibiotiques et d'un médicament qui réduit l'acidité de l'estomac (appelé inhibiteur de la pompe à protons ou IPP) et dure 10 jours ou 14 jours selon les protocoles. Il permet d'éliminer l'infection dans 80 à 90 % des cas.
Depuis plus de 10 ans, le traitement probabiliste recommandé pour l'éradication de l'infection à Helicobacter pylori est la trithérapie IPP double dose, amoxicilline 1 g 2 fois par jour, clarithromycine 500 mg 2 fois par jour pendant 7 à 10 jours ou, en cas d'allergie à la pénicilline, la trithérapie IPP, métronidazole ...
Le miel de Manuka, un puissant cicatrisant
Et d'ajouter : "Il permet également d'agir contre la bactérie Helicobacter pylori à l'origine des ulcères de l'estomac et d'empêcher le développement de staphylocoques dorés".
Helicobacter pylori est-il dangereux pour la santé ? Oui, même si dans une grande majorité de cas, l'infection est silencieuse et n'entraîne pas de complication. En effet, Helicobacter pylori peut être la cause de maladies de l'estomac qui peuvent se révéler plusieurs année après l'infestation.
La majorité des personnes atteintes d'une infection à H. pylori ne présentent pas de symptômes ou de problèmes de santé liés à la bactérie. Certaines personnes dont l'infection est chronique éprouvent des symptômes, comme une douleur à l'estomac, des nausées ou des vomissements.
H. pylori se propage par de la nourriture qui n'a pas été lavée ou cuite correctement. Il est également possible d'être contaminé en buvant de l'eau provenant d'une source souillée. La bactérie peut se transmettre par contact direct avec la salive ou les selles d'une personne contaminée.
70 à 80% des ulcères sont associés à une infection par Helicobacter Pylori. Helicobacter Pylori et fatigue chronique peuvent également s'installer. En effet, cette infection de l'estomac occasionne dans certains cas une carence en fer pouvant conduire jusqu'à l'anémie.
Pouvoir pathogène d'Hélicobacter Pylori
Hélicobacter pylori, la bactérie responsable de gastrites (une inflammation de la paroi de l'estomac) et d'ulcères digestifs, est le premier facteur environnemental susceptible de favoriser des cancers gastriques.
Helicobacter pylori peut être détecté facilement, en raison d'une enzyme qu'il produit et qui est spécifique : l'uréase. Un test diagnostique rapide peut ainsi être réalisé parallèlement à la fibroscopie sur le prélèvement réalisé : le test à l'uréase.
Lorsque les symptômes de l'infection par H. pylori apparaissent, ils comprennent une indigestion et une douleur ou une sensation de gêne dans le haut de l'abdomen. Le diagnostic repose souvent sur les résultats d'un test d'haleine et d'un examen de l'estomac à l'aide d'une sonde d'observation souple (endoscopie haute).
Après éradication de Helicobacter pylori (EHP), le taux de récidive de l'infection varie de 2 à 25 % selon les séries d'origine géographique différente. Il persiste toujours un flou entre reprise de l'infection ancienne (fausse éradication) et récidive vraie avec une nouvelle souche de la bactérie.
Est-ce que l'Helicobacter pylori est contagieux ? Oui, Helicobacter pylori est une bactérie contagieuse. Sa transmission se fait essentiellement par une transmission directe de personne à personne, par voie oro-orale, gastro-orale ou oro-fécale (contamination par la salive, les vomissements ou les selles).
Certaines études semblent suggérer un lien entre ce micro-organisme et les variations de poids. H. pylori favoriserait l'amaigrissement, tandis que son élimination aurait tendance à faire grossir.
Le test de dépistage d'Helicobacter pylori par recherche d'antigènes dans les selles permet d'identifier rapidement et avec précision les patients chez lesquels le traitement d'éradication est un échec. Ceci est la conclusion d'une étude multicentrique (Europe et Etats Unis) menée sur 84 patients.
Quand les symptômes de la gastrite sont légers ils peuvent être soulagés en prenant des médicaments qui neutralisent ou réduisent la production d'acide gastrique dits "anti-acides" (inhibiteurs du récepteur H2 de l'histamine (anti-H 2), inhibiteurs de la pompe à protons).
La candidose se traduit par de nombreux troubles digestifs tels que la diarrhée, la constipation, les ballonnements, les gaz intestinaux et les douleurs abdominales. Il peut également y avoir des démangeaisons et des irritations de l'anus.
Si à l'examen de l'échantillon, on retrouve du carbone 13, c'est que l'urée a été dégradée et donc que Helicobacter pylori se trouve dans l'estomac. Si la cavité gastrique est parfaitement saine, le prélèvement ne contiendra qu'une infime quantité de carbone 13.
- Les aliments à éviter : le vinaigre, les cornichons, la moutarde, les plats épicés, les aliments gras, le café, le chocolat, les agrumes, les tomates, la menthe, le lait et les oignons. - Buvez le moins possible d'alcool et de boissons gazeuses. - Ne fumez pas car le tabac augmente l'acidité dans l'estomac.
Conclusion. Le PYLERA est très efficace chez les patients en échec du traitement de première intention par l'association OAC de l'infection par HP.
Origan compact, sarriette des montagnes, ajowan, thym à thymol, clou de giroflier et toutes les huiles essentielles de cannelles.