En brûlant, les gaz libèrent 75 % de l'énergie contenue dans le bois et produisent de la chaleur jusqu'à 800°C. La combustion : Entre 800 et 1 000°C, le bois se décompose et laisse place à des braises ardente.
Cependant, ce qui est moins connu, c'est que le bois est un excellent isolant thermique, si bien qu'il résiste bien à la chaleur. Sous l'effet de la chaleur extrême générée par un incendie, le bois ne perd que 10 à 15 % de sa résistance totale.
Cette température varie en fonction de la quantité d'oxygène disponible et de la source de carburant. La chaleur du bois qui brûle dans une cheminée se situe entre 700 et 800°C au moment des flammes.
En effet, contrairement à ce que l'on imagine, le pouvoir calorifique d'un feu de bois ne vient pas de la flamme, mais des braises. Il faut donc bien choisir son bois de chauffage pour produire un maximum de braises, et donc de chaleur.
Phase 3 de la combustion : la braise
Celles-ci brûlent lentement, presque sans flamme, à une température de 800°C environ. Pour obtenir la combustion la plus propre possible, la réaction chimique doit être complète, grâce à la quantité adéquate d'oxygène par rapport au gaz du bois.
A 10 centimètres des braises, la température de cuisson devrait se situer aux alentours de 220 °C. Or, au contact de la flamme, elle s'approche des 500 °C, brûlant la surface des aliments sur lesquels se forme une couche d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Les températures atteintes varient selon les différentes méthodes de cuisson. Ainsi la température atteinte en autocuiseur se situe entre 105 à 120 °C. Elle sera de 150°C à 350°C à la poêle. La température de cuisson au four variera entre 150°C et 240°C.
Le feu est CHAUD !
La chaleur est plus menaçante que les flammes. La température d'une pièce dans un incendie peut atteindre 100 degrés au niveau du sol et monter à 600 degrés au niveau des yeux.
entre 250°C et 800°C, la pyrolyse : cette réaction chimique transforme le bois en éléments gazeux. Le bois s'enflamme à partir de 300°C, produisant des flammes bleues à leur température maximale, puis des flammes jaunes qui correspondent à l'évaporation des goudrons.
Les essences de bois de chêne, orme, frêne, hêtre, charme et châtaignier sont considérés comme des bois feuillus durs. Ce sont ceux qui permettent le mieux de chauffer. Leur pouvoir calorifique est le plus élevé. Ils produisent beaucoup de braises en se consumant ce qui leur permet de mieux chauffer la maison.
Les conduits installés ne sont en effet pas les mêmes suivant qu'il s'agisse d'un type de poêle ou d'un autre. Ceci est dû à la température des fumées, qui est beaucoup plus faible dans le cas d'un poêle à granulés (environ 210°C maximum contre plus de 300°C pour un poêle à bûches).
Un modèle classique (avec flamme jaune) peut en effet produire une température comprise entre 800 et 1000°C. Un briquet tempête (avec flamme bleue) peut dépasser les 1200 °C !
feu moyen : entre 4 et 6 (120 à 160°C)
Lorsque le bois sèche vite, il se conserve mieux (vous pouvez donc le garder plus longtemps) et son pouvoir calorifique augmente. Du coup, vous en utilisez moins : vous faites des économies et vous avez bien plus chaud.
L'avenir du bois de chauffage
Le prix du bois de chauffage a considérablement augmenté en un an, mais il reste une énergie économique. En France, l'avenir du bois de chauffage devrait être prometteur pour différentes raisons : source d'énergie renouvelable et locale.
Les feuillus durs restent les bois de chauffage le plus adapté au chauffage domestique. Chêne, hêtre, charme, frêne : ils ont tous la particularité d'être plus denses et de dégager plus de chaleur, rendant votre poêle à bois plus performant. En effet, les fibres étant plus denses, la combustion prend plus de temps.
la propreté de la bûche, qui ne doit pas présenter de champignons ou de moisissures ; un bois humide crépite lors de la combustion et de la fumée plus foncée s'échappe du conduit d'évacuation. Vous pouvez également sentir la bûche : si elle ne présente pas d'odeur de sève, elle a plus de chance d'être sèche.
Cela peut s'expliquer de deux manières : soit le bois a un taux d'humidité supérieur à 20 % et ne réunit pas les bonnes conditions pour une combustion, soit vous avez fait le mauvais choix d'essence de bois.
Un taux d'humidité important dans le bois
Si votre bois est bien trop humide, alors il est tout à fait normal que celui-ci ne brûle pas mais devienne noir ! On ne le dira jamais assez : pour que votre bois brûle, celui-ci doit être sec, et cela peut prendre plus d'une année…
Les composants des bougies
Les températures de fusion varient selon les produits utilisés. La température de fusion de la paraffine se situe entre 52 et 56°C, celle de l'acide stéarique est de 69-70°C et celle de la cire d'abeille se situe entre 62 et 65°C.
- L'intoxication est due aux produits de combustion : le monoxyde de carbone (CO), inodore et non décelable, reste le toxique principal, - La température peut rapidement dépasser les 100°.
Ne laissez jamais de casseroles, poêles ou autres ustensiles sur le feu et sans surveillance. Éloignez au maximum les produits inflammables des sources de chaleurs (radiateurs, plaques, cheminées...). Ne ravivez jamais un feu ou des braises de barbecue à l'aide d'essence ou d'alcool.
Mettre plusieurs bûches à la fois (2 ou 3), avec une seule bûche la combustion n'est pas bonne et cela casse le cycle de la braise. La braise est importante pour garder la chambre de combustion à haute température. Toujours positionner les bûches croisées afin de favoriser le passage de l'air et des flammes.
Mais ce sont les flammes qui ont le plus gros pouvoir calorifique ! Il est donc important de recharger votre poêle à bois lorsque celui-ci commence à faiblir. En moyenne, après la première flambée, il faut attendre 1 heure de combustion pour ajouter des nouvelles bûches.
Plus la température de la crêpière est faible, plus la crêpe met du temps à cuire. Cette lente cuisson déshydrate la pâte et provoque une texture cartonneuse. Idéalement, la billig doit être réglée entre 200 et 220°C pour cuire les crêpes de froment puis entre 210 et 230°C pour les crêpes de blé noir.