Pour postuler, la plupart des associations proposent un formulaire de candidature en ligne sur leur site, sinon il suffit d'envoyer un courrier. Les recruteurs multiplient et croisent les entretiens pour trouver les bons candidats.
La doctrine présente généralement les ONG comme des personnes morales de droit privé à but non lucratif créées par des acteurs privés et relevant du droit interne ; l'action de ces acteurs privés est donc indépendante des États. Ce type d'institution se revendique souvent comme représentant la “société civile”.
Ce type d'organisation emploie généralement des bénévoles pour répondre à diverses missions humanitaires. Toutefois, les ONG se développent de plus en plus et recrutent du personnel expérimenté dans plusieurs secteurs d'activité. Vous désirez vous former pour travailler au sein d'une ONG ?
Pour être repéré par les recruteurs du secteur, “le mieux est de coupler une formation (voire quelques années d'expérience sur un métier dans lequel il y a des besoins), avec une spécialisation dans le secteur de l'humanitaire.
Les nouveaux salaires (*):
Salaire maximum : 5500€. Adjoint DP, Coordinateur terrain : salaire de départ 2860 euros (salaire maximum 5000€). Coordinations techniques (supports et programmes) : 2640€ ( max 4800€). Adjoint Coordination / Référents techniques / Responsable de programmes régionaux : 2400€ ( maximum 4600€).
Néanmoins, un chef de mission humanitaire débutant gagne entre 1.500 à 2.000 € brut par mois. Un collecteur de fonds humanitaire perçoit environ 1.900 € et un logisticien autour de 1.600 € par mois. Pour le personnel médical et technique, le salaire tient compte de l'expérience, du diplôme et de l'ancienneté.
On y trouve des métiers concernant les associations d'aide au développement : architecte, enseignant, responsable développement local, responsable eau, hygiène et assainissement, responsable sécurité alimentaire, travailleur social, vétérinaire…
L'École supérieure de commerce et de développement 3A, à Lyon (69), forme des managers de l'humanitaire. Un premier cycle de trois ans, accessible après le bac, est sanctionné par un Bachelor de responsable opérationnel à l'international, visé par l'État.
Le travail que nous faisons au sein des ONG a un vrai sens. Celui de contribuer, chacun à sa façon, à essayer de changer un peu les choses, de donner une chance supplémentaire, en apportant une éducation, des aides alimentaires, en protégeant les droits de personnes démunies.
Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars (4,4 milliards d'euros), la Fondation Bill et Melinda Gates est de loin l'organisation humanitaire la plus riche du monde.
Le meilleur moyen de trouver facilement du travail dans l'humanitaire est de faire du bénévolat ou faire des stages dans différentes organisations. En effet, les CV avec de l'expérience sont priorisés. Toutefois, il existe différentes formations qui peuvent vous aider à décrocher un emploi rapidement.
A défaut de scruter toujours les sites des ONG, la plateforme recrutement et candidature spontanée de PAGES HUMANANITAIRES vous aidera et vous orientera à décrocher l'emploi idéal le mieux adapté à votre profil.
Pour partir sur un chantier international, il faut généralement avoir au minimum 16 ans et dans certains cas, il n'existe aucune limite d'âge. Si vous souhaitez partir pendant une période de vacances, cette forme d'engagement solidaire s'avère adapté : une mission dure en moyenne 2 à 3 semaines.
De manière générale, un travailleur humanitaire est un expert qui transmet ses compétences dans un pays en développement (Afrique, Asie, Amérique latine…). Il peut par exemple être médecin, mais aussi ingénieur agricole, ou encore artisan.
Travailler en tant que salarié d'une association
Il est impératif de signer un contrat de travail (CDI ou CDD, temps plein ou temps partiel) dans les conditions prévues par la loi. Dans le cadre du salariat, l'association a l'obligation de vous rémunérer conformément aux dispositions légales applicables.
➤ Volontariat de Solidarité Internationale (VSI)
Le VSI est un programme permettant à des volontaires de prêter main forte à des ONG à l'étranger, pour leur faire profiter de leurs compétences. Ces missions humanitaires sont rémunérées, de manière plus ou moins conséquente selon les associations avec qui vous partez.
Des ONG peuvent être retenues, au travers d'appels d'offres, par des maîtrises d'ouvrage nationales (État, structure publique ou parapublique), pour la réalisation de projets financés par l'AFD.
En 2020, c'est l'Indonésie qui figure en tête du classement. Le taux de bénévolat dans le pays (65 %) est plus de trois fois supérieur à la moyenne mondiale et plus de huit Indonésiens sur dix ont fait des dons caritatifs l'année dernière.
Si quelques grands noms de l'humanitaire, comme Médecins sans frontières et Handicap International, figurent dans ce top 10, d'autres moins connues, à l'image d'Ashoka et de l'association bangladaise Brac, trustent les premières places à la faveur de cette méthodologie.