Le changement climatique a déjà des répercussions sur la santé de multiples façons, et entraîne notamment des décès et des maladies dus à des phénomènes météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents, comme les vagues de chaleur, les tempêtes et les inondations, la perturbation des systèmes alimentaires, l' ...
Le changement climatique accroît les risques sanitaires : vagues de chaleur, cyclones, inondations, sécheresses, propagation facilitée de maladies « à vecteurs », etc. Les dérèglements climatiques perturbent la distribution des ressources naturelles, leur quantité et leur qualité.
Parallèlement à l'augmentation nos activités et de la concentration des gaz à effet serre, nous diminuons les puits de carbone naturels que sont les arbres, notamment par la déforestation, pour subvenir à nos besoins énergétiques d'une part, mais aussi au profit de l'extension de l'urbanisation.
intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.
Autre exemple : la fonte des neiges et des glaces dans le Grand Nord devrait s'accélérer en raison du réchauffement climatique. Mais le réchauffement devrait en même temps provoquer plus de précipitations de neige dans cette partie du globe, ce qui a aussi pour effet de refroidir l'air...
Les impacts sur l'environnement sont multiples, importants et de plus en plus fréquents : sécheresses, fonte des glaciers et de la glace de mer, élévation du niveau des océans, tempêtes tropicales. Ils affectent l'ensemble de la population mondiale et la biodiversité planétaire.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
Le changement climatique est un sujet de préoccupations dans la région en raison de ses effets considérables sur la qualité de vie des populations, comme l'augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes, la diminution de la productivité agricole, l'élévation du niveau de la mer et le stress ...
Le dioxyde de carbone est la principale cause des changements climatiques d'origine humaine. Il reste dans l'atmosphère très longtemps. D'autres gaz à effet de serre, comme l'oxyde nitreux, restent dans l'atmosphère longtemps. D'autres substances ne produisent que des effets de courte durée.
Le niveau moyen a augmenté d'environ 23 cm depuis 1880, et de 7,5 cm ces 25 dernières années. Chaque année, le niveau des océans et des mers monte de 3,2 mm. D'après des recherches publiées le 15 février 2022, le niveau des océans s'élève de plus en plus vite et devrait gagner 30 cm d'ici à 2050.
La France dans dix ans sera aussi plus urbaine : ses grandes villes ont à la fois un potentiel de développement économique et de limitation des dommages environnementaux. Elle offrira davantage d'emplois qualifiés, mais elle court aussi, si on n'y prend garde, le risque d'un dualisme du marché du travail.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
En 2100 nous vivrons tous heureux parce qu'il n'y aura plus de maladies. En 2100, nous ne mangerons que des bonnes choses : burger, frites, glaces, gâteaux. Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler.
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre.
Tout indique que le réchauffement récent du climat perturbe profondément les écosystèmes terrestres, entre autres le caractère hâtif des phénomènes printaniers (apparition des feuilles sur les arbres, migration des oiseaux, ponte des œufs) et le déplacement de l'aire de répartition d'espèces animales et végétales.