Discours direct : Les paroles sont rapportées telles quelles, sans être modifiées. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme (demander ou répondre, dire…). On peut également trouver des points d'interrogation ou d'exclamation…
Définition du discours direct 📝
Dans le discours direct, le narrateur rapporte les paroles sans y apporter aucune modification, c'est-à-dire qu'il conserve la situation d'énonciation. Les paroles sont rapportées telles qu'elles ont été prononcées par la personne.
Dans le discours direct, le narrateur, vous en l'occurrence, rapporte des paroles et des faits sans y apporter une seule modification. Vous conservez la situation d'énonciation. Et les mots sont rapportés comme ils ont été prononcées par la personne en question.
Les propos, dans le discours indirect libre, sont rapportés sans aucune indication par le narrateur (absence du verbe de parole, du tiret et des guillemets). On peut reconnaître le discours indirect libre par l'utilisation de l'imparfait ou du conditionnel.
— le verbe du discours direct est au présent ou à l'imparfait, lors du passage du discours direct au discours indirect le temps du verbe est l'imparfait ; Exemple : Il a dit : « Je voulais boire. » ► Il a dit qu'il voulait boire.
Quand on rapporte les paroles comme elles ont été prononcées, en faisant référence à la situation d'énonciation d'origine, on produit du discours direct. Celui-ci se caractérise par une ponctuation particulière : deux-points, guillemets, tirets. Il advint un jour que le père voulut se rendre à la foire.
Le discours direct
Les paroles sont telles qu'elles ont été prononcées par le sujet « Elle ». On voit qu'il y a des guillemets ainsi qu'un verbe de parole « dire ». Le verbe de parole (ou verbe introducteur) peut se situer avant les paroles rapportées comme dans l'exemple ci-dessus.
Discours direct : Les paroles sont rapportées telles quelles, sans être modifiées. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme (demander ou répondre, dire…). On peut également trouver des points d'interrogation ou d'exclamation…
Exemples : Discours direct : « Non ! Je ne partirai pas d'ici, demain ! » Discours indirect : Elle lui dit qu'elle ne partirait pas de là, le lendemain.
Discours direct : Stéphane affirme : “Je suis libre.” Discours indirect : Stéphane affirme qu'il est libre. En cas d'impératif avec un verbe introducteur au présent de l'indicatif, la transformation au discours direct peut utiliser la préposition “de” suivie d'un infinitif (voire un subjonctif présent).
Effet produit : Le style direct permet au narrateur de restituer les niveaux de langage (familier, courant, soutenu) et les types de phrases utilisés par les différents personnages : répétitions, patois, hésitations, ...
Quand on a « que », « qu'est-ce que » ou « qu'est-ce qui », on va utiliser « ce que » ou « ce qui ». Si au discours direct, on a : « Qu'est-ce que tu fais ? » au discours indirect, on aura : « Il demande ce que tu fais ». On ne dit pas : « Il demande qu'est-ce que tu fais ? ».
On distingue quatre principales formes de discours : narrative, descriptive, explicative et argumentative.
La rhétorique classique distingue trois grands genres de discours: le discours judiciaire, le discours délibératif et le discours démonstratif. Le terme de genre ne doit pas être ici confondu avec celui qui désigne les genres littéraires (roman, théâtre, poésie...).
Les paroles sont mises entre guillemets et sans terme de liaison après le verbe de parole. Exemple : Il a dit : "Nous nous verrons demain." -> Soit indirectement : c'est le style indirect. Les paroles sont reliées au verbe de parole par un terme de liaison comme "de" ou "que".
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations. Il devient ainsi un verbe dont le sens est vague.
Les verbes de parole peuvent exprimer l'insistance : insister, soutenir ; la suggestion : suggérer, insinuer ; l'accord : accepter, approuver ; le désaccord: objecter, protester, nier ; l'impatience : couper, interrompre ; la mauvaise humeur : bougonner, ronchonner ; la douleur : supplier, gémir, implorer ; l'ironie : ...
ils peuvent donner des informations sur : - l'intensité de la voix : hurler, murmurer… - le sentiment de celui qui s'exprime : soupirer, hurler, hasarder… - son comportement : insister, hésiter, - la fonction de la prise de parole : pour dire que l'émetteur ∎ répond : répondre, répliquer, riposter…
Un dialogue est nettement séparé du récit par la ponctuation. Selon le cas, l'écrivain emploie : des tirets devant chacune des répliques du dialogue ; des guillemets pour encadrer le dialogue et un tiret à chaque changement d'interlocuteur (voir le dialogue qui suit).
Le verbe de parole est à l'intérieur des guillemets s'il est introduit au milieu de la phrase du locuteur. Exemple : « Quand partons-nous, demanda-t-il, et où ? » Ces verbes de parole servent à signaler que quelqu'un va parler.