Un accident vasculaire cérébral (AVC), également souvent encore appelé « attaque », survient lorsque la circulation sanguine vers ou dans le cerveau est interrompue par un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique le plus fréquent) ou par un vaisseau sanguin rompu (AVC hémorragique), dans moins de 15% des cas.
Quelles sont les causes de l'AVC ? Dans 85% des cas, l'AVC est la conséquence d'une obstruction d'une artère cérébrale par un caillot sanguin, arrêtant la circulation sanguine. On parle d'AVC ischémique.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.
Comme le rappellent les auteurs de ce guide publié dans la revue scientifique Stroke, les AVC touchent aujourd'hui plus de femmes que d'hommes. Ils constituent, après le cancer, la deuxième cause de décès chez les Françaises, ainsi qu'une source majeure de handicap.
Le médicament antiplaquettaire le plus connu et le plus utilisé est l'acide acétylsalicylique (AAS), communément appelé aspirine. Votre médecin vous dira si vous pouvez prendre de l'AAS et combien vous devrez en prendre afin de réduire vos risques d'AVC.
Le problème, c'est qu'environ un AVC sur quatre survient pendant le sommeil. Les médecins n'ont donc aucun moyen de savoir quand les signes de l'AVC ont débuté. C'est le cas pour des milliers de victimes d'AVC chaque année.
"Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC", indiquent les auteurs. "Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans".
Bref, oui, on peut guérir quelqu'un d'un AVC dans deux étapes : en premier lieu, les médecins administrent des traitements spécifiques pour restaurer le flux sanguin dans le cerveau ; en deuxième, le patient assiste à la rééducation pour guérir les effets secondaires.
La maladie d'Alzheimer.
L'AVC peut survenir à tout âge : si l'âge moyen de survenue d'un AVC est de 74 ans, 25% des patients ont moins de 65 ans et 10% moins de 45 ans. Ces dernières années le nombre d'AVC affectant des personnes jeunes a augmenté de manière significative.
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Dans 25 à 30% des cas, la rééducation va leur permettre de récupérer un bon niveau de langage en 6 à 18 mois. Mais 20 à 25% des aphasiques décèdent et 50% conservent des troubles importants. C'est dans les six premiers mois que la récupération spontanée est la meilleure, après elle décroit.
De nombreux survivants d'AVC subissent un mémoire faible et, heureusement, suivant qu'il s'agit d'un effet cognitif, la récupération de la mémoire est souvent possible par la rééducation cognitive.
Si la branche postérieure et inférieure de l'artère sylvienne gauche est atteinte, ce sont surtout les lobes pariétal et temporal gauches qui sont affectés. Les fibres nerveuses se dirigeant vers le lobe occipital sont également touchées.
Si le mal de tête est accompagné d'une douleur dans le bras
Si vous avez mal à la tête et que cette douleur persistante est accompagnée de picotements, voire d'une paralysie, dans le bras, vous êtes peut-être en train de faire un accident vasculaire cérébral (AVC).
Les avantages d'un plein sommeil à la suite d'un AVC
Tandis que le cerveau se sert habituellement de 20 % de notre énergie totale, ce pourcentage grandit pendant la récupération après un AVC : impliquant que le cerveau a moins d'énergie pour vous garder alerte et éveillé.
Comment la maladie est-elle traitée ? À l'hôpital, pour vous traiter, on peut utiliser un médicament (Altéplase) pour dissoudre le caillot. Il faut le prendre dans les 4 heures et demie après les premiers signes d'AVC.
Vitamine D. Supplémenter en vitamine D s'est avéré « une amélioration signifiante selon les résultats lors de 3 mois après un AVC » Probiotiques. Prendre des probiotiques pour amender la santé de l'estomac peut servir aussi à améliorer le cerveau via le lien estomac-cerveau.
Pour savoir si le patient est en état de mort cérébrale, plusieurs tests sont effectués : absence d'activité musculaire spontanée, pas de réflexe, pas de réaction à la douleur, absence de respiration, électroencéphalogrammes montrant l'absence d'activité électrique du cerveau et angiographie (absence de circulation ...