L'avare n'aime pas partager ni dépenser car il aime accumuler des richesses pour son propre compte. Certains avares ont tendance à s'attacher de façon compulsive à leurs biens, au point de les idolâtrer. Ce besoin d'accumulation égoïste et sans limite peut devenir exagéré et engendrer une souffrance psychologique.
Il devient souvent hostile envers la société, sadique et ne se sent pas en sécurité. Deuxièmement, l'éducation dans le cadre d'une famille avare, de peur de l'avenir, de mal respect de l'autre ou de la croyance qu'autrui ne mérite rien… peut-être une autre cause pour l'apparition de l'avarice.
L'avarice, cela se soigne ? Une psychothérapie ou des thérapies cognitivo-comportementales peuvent aider les personnes avares à vaincre leur radinerie. Une psychothérapie permet de comprendre pourquoi la personne en est arrivée là.
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer.
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Une personne radine ramène toutes ses activités à l'argent de façon à en dépenser le moins possible. C'est une obsession pour elle, ce qui peut gâcher sa vie en société, avec des proches ou des collègues. L'avare, quant à lui, n'a qu'une idée en tête : accumuler encore et encore plus d'argent.
Une personne cupide peut ressentir un sentiment d'avarice envers l'argent, le sexe, le pouvoir, la nourriture, l'attention des autres, la connaissance… Elle peut se sentir cupide de presque n'importe quoi. Ce peut être envers quelque chose de concret comme envers quelque chose d'abstrait, de réel ou de symbolique.
Qui se plaît à accumuler l'argent en restreignant ses dépenses. avare adj. Qui ne prodigue pas facilement quelque chose, qui l'épargne le...
L'avarice est un péché lorsque l'argent est accumulé pour l'argent, et qu'il prend le pas sur soi-même et les relations avec les autres. Ce n'est pas la possession d'argent ou de biens matériels elle-même qui est en cause, mais d'oublier que les biens ont été confiés par Dieu.
Pour les théologiens du Moyen Âge, comme le rapportent Carla Casagrande et Silvana Vecchio dans leur ouvrage Histoire des péchés capitaux au Moyen Âge, l'avarice est l'amour excessif de la possession de richesses, le plaisir particulier de l'âme, la possession, et de l'esprit, la jouissance de la possession.
L'avare est souvent représenté seul : il se coupe de tout lien social, ou ne tient commerce avec les autres que dans la perspective d'amasser plus d'argent. Enfin, parce que le plaisir de l'avare est mortifère, les allusions à la mort sont nombreuses.
Peur d'être abandonné, perte de confiance en soi, jalousie pathologique qui déchire à chaque fois que l'être aimé détourne son regard vers un autre que soi, peur de ne plus être soi-même,…
Apprenez à vous aimer inconditionnellement, sans attendre quoi que ce soit de l'autre et de vous-même. Ceci pourrait être un projet de vie. Quand vous vous réveillerez à ce réel besoin vous serez en chemin vers une rencontre avec vous-même.
Le besoin d'être aimé peut être issu d'un manque de confiance en soi et/ou d'une dévalorisation de sa propre personne. Dans ces conditions, il est nécessaire de vous affirmer en tant qu'individu. Pour cela, vous devez mettre en avant vos envies et vos propres choix.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Cela nous rend euphoriques, nous dynamise, nous hisse sur un petit nuage, nourrit notre vie imaginaire… Mais être aimé est également la condition de notre survie. Car l'amour n'est pas qu'un sentiment, c'est aussi une nécessité biologique. Sans l'amour, l'art serait moins riche et, peut-être, n'existerait pas.
A la question "comment vivre avec un(e) radin(e)", les témoins que nous avons interrogés sont assez unanimes: "La solution? Fuir!", répond Stéphanie. "Franchement, rien ni personne ne peut changer un radin, j'ai vécu avec un tel spécimen pendant sept ans, c'est juste l'horreur.
La radinerie n'est pas une maladie à proprement parler. Voilà une bonne… et une mauvaise nouvelle ! Car, si elle n'est pas contagieuse, elle est en revanche quasi incurable. De plus, si vous vivez avec un radin, il est d'autant plus difficile d'ignorer ce phénomène.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.