Non-respect des droits humains rime avec exclusion sociale, perte de l'identité sociale et individuelle, et marginalisation. Ce qui, en conséquence, laisse peu ou pas de possibilité d'accéder aux biens de production. Le manque de capital est constitutif de la pauvreté tout autant qu'il l'enracine.
Les pratiques de mauvaise gouvernance, les emprisonnements politiques, l'impunité, le monopole de l'information, obstructions à la démocratie et à l'alternance entrent dans cette catégorie.
Racisme, xénophobie et intolérance. Antisémitisme ; colonialisme ; Déclaration de Durban ; programme de bourses ; néonazisme ; personnes d'ascendance africaine ; brutalités policières ; discrimination raciale ; préjugés raciaux et incitation à la haine raciale ; justice et égalité raciales ; recherche et outils.
Les droits de l'homme sont des normes qui reconnaissent et protègent la dignité de tous les êtres humains. Ils régissent la façon dont nous vivons en société et les uns avec les autres, ainsi que la relation qui lie les individus aux gouvernements et les obligations des gouvernements envers eux.
Parce que nous vivons actuellement dans un monde déséquilibré par le mensonge et la tromperie, nous avons besoin de la certitude et de la sécurité de ses lois universelles. Nous avons besoin de nous ancrer dans le principe et de nous imprégner des leçons de l'expérience humaine.
Elle garantit à la fois des droits civils et politiques, et des droits sociaux, économiques et culturels : Droit à l'égalité Droit à ne pas subir de discrimination. Droit de toute personne à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Malgré les engagements solennels et les avancées normatives, la mise en œuvre présente d'importantes lacunes. Nous n'avons pas mis fin à l'impunité, aux conflits armés, à la discrimination et au régime autoritaire. Il est regrettable que les droits de l'homme soient parfois bafoués au nom de la sécurité.
Les valeurs clés
Deux valeurs clés constituent le fondement de l'idée des droits de l'homme ; la première est celle de la dignité humaine et la deuxième celle de l'égalité.
Le droit : poser un cadre légal pour vivre en société
Lois, décrets, conventions... en France, le droit est l'ensemble des règles juridiques officielles établies par la société dans le but d'organiser les rapports entre les personnes.
Le droit est un ensemble de règles qui organisent la vie en société, au nom de certaines valeurs. Il encadre la vie des individus pour éviter ou régler les conflits, et pour permettre à ces individus de vivre dans un cadre sécurisé.
Le concept de droits de l'Homme reconnaît que tout être humain peut se prévaloir de ses droits fondamentaux, sans distinction de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion ou d'opinion, politique ou autre, d'origine national ou social, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
Les violations des droits humains – meurtres, tortures, enlèvements et enrôlements forcés – y atteignent des proportions alarmantes. Dans toute la région, les populations se déplacent en quête de sécurité et de protection, tentant d'échapper aux menaces qui pèsent sur leur vie.
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Le Défenseur des droits a été créé en 2011. Il est inscrit dans la Constitution française. Le Défenseur des droits a 2 missions : Défendre les personnes dont les droits ne sont pas respectés.
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille.
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) a été rédigée et adoptée le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale constituante dans l'immédiateté de la Révolution française. Elle doit donc se lire comme « le but et le programme de la Révolution » (Giorgio DEL VECCHIO).
L'histoire. Le concept de droits de l'homme s'est cristallisé chez les philosophes des 17 e et 18 e siècles et s'est incarné avec force dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789. Cependant, la notion même est plus ancienne et d'autres textes, bien antérieurs à 1789, l'évoquent déjà.
Les droits de l'homme (parfois écrits « droits de l'Homme »), également appelés droits humains ou droits de la personne (par exemple dans un contexte de communication gouvernementale au Canada), sont un concept à la fois philosophique, juridique et politique, selon lequel tout être humain possède des droits universels, ...
Cinq pays s'abstiennent lors du vote (Arabie Saoudite, Biélorussie (Bélarus), Pologne, Tchécoslovaquie et Ukraine) alors que cinq autres refusent de participer : Honduras, Afrique du Sud, URSS (Russie), Yémen, Yougoslavie.
Non-respect des droits humains rime avec exclusion sociale, perte de l'identité sociale et individuelle, et marginalisation. Ce qui, en conséquence, laisse peu ou pas de possibilité d'accéder aux biens de production. Le manque de capital est constitutif de la pauvreté tout autant qu'il l'enracine.
Les droits de l'homme renforcent la cohésion entre individus et favorisent la coexistence pacifique, rendant ainsi les sociétés plus résilientes.
Contribuer à la protection et à la promotion des droits de l'homme grâce à des actions immédiates et à long terme ; Responsabiliser les populations en les incitant à revendiquer et à affirmer leurs propres droits ; Amener l'État à respecter ses obligations en matière de droits de l'homme et d'application de la loi.
Claire Hédon est la Défenseure des droits depuis le 22 juillet 2020.
3 La séparation des pouvoirs
le pouvoir de voter la loi (pouvoir législatif) ; le pouvoir d'exécuter les lois et pour ce faire d'édicter des règlements (pouvoir exécutif) ; le pouvoir de rendre la justice (pouvoir judiciaire).