Ainsi, la femme a un taux plus élevé d'œstrogènes alors que l'homme a un taux plus élevé d'androgènes (testostérone). Ces hormones vont induire des différences sexuelles anatomiques dès la naissance, mais aussi, et surtout, à la puberté : pilosité, ossature, développement mammaire, voix, musculature...
La femme a un taux plus élevé d'œstrogène, une hormone produite par les ovaires qui sont les gonades femelles. L'homme a un taux plus élevé d'androgènes (testostérone) produites par les cellules de Leydig dans les testicules. Des hormones contribuent au dimorphisme sexuel et à d'autres différences sexuelles.
Les différences entre les hommes et les femmes sont le produit de la société, de la culture, d'habitus et de stéréotypes. Le genre permet donc d'analyser les situations sociales, les comportements et les rôles de chacun.
D'une façon générale, les garçons ont une taille, une masse musculaire et une pilosité supérieures à celles des filles. Une autre différence est la présence des seins chez les femmes, destinés à l'allaitement du bébé. La principale différence morphologique entre garçon et fille concerne l'appareil génital.
Les femmes sont en moyenne plus petites, ont une masse maigre, c'est-à-dire une masse musculaire plus faible, en particulier au niveau des membres supérieurs (-33 à -50 %, contre -20 à -25 % au niveau des membres inférieurs) et une masse grasse supérieure (+10 %).
Les hommes et les femmes ont cependant des caractéristiques biologiques distinctes. Selon l'approche évolutionniste, ce sont les différences biologiques en fonction du sexe, et notamment les différences au niveau de la reproduction, qui donnent naissance à des différences psychologiques.
Un homme revient à dire un Monsieur, ex: un homme brun de 30 ans. Avec la femme (et les LGBT+, s'il faut être inclusifs), ils composent l'humain. L'Homme (avec un H majuscule, même en milieu de phrase) revient à dire l'humanité, l'espèce humaine, l'humain…
« L'école, entre autres, valorise des caractéristiques qui sont plus présentes chez les filles que chez les garçons; spécifiquement le langage. Les filles parlent plus, s'expriment plus, intègrent parfois plus rapidement les règles sociales », dit-elle.
Les femmes obtiennent de meilleures performances sensorielles, attentionnelles, mnésiques visuelles (visages) et de cognition sociale, les hommes montrent de meilleurs résultats dans la perception de l'espace, le repérage tridimensionnel et la vitesse d'exécution sensorimotrice.
Comme les hommes, les femmes se sentent toujours attirées par le mec charmant, qui a du charisme, qui présente une apparence inaccessible, qui dégage une confiance en soi et est toujours tiré à quatre épingles. Elles aiment s'essayer à séduire ce genre d'homme, peu importe l'issue de l'approche.
Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
Les inégalités entre les sexes dans les sphères familiale et professionnelle s'auto-entretiennent : les salaires plus faibles, le temps partiel et le chômage incitent les femmes à investir davantage la sphère domestique, et réciproquement, cet investissement les éloigne du marché du travail.
Les inégalités de genre désignent les déséquilibres entre hommes et femmes en matière de réalisation individuelle. Obstacle majeur au développement humain, elles sont mesurées depuis 2010 par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) par l'Indice d'inégalités de genre (IIG).
Globalement, les inégalités femmes-hommes tendent à diminuer, mais sont encore loin d'avoir disparu. Que ce soit au travail ou à la maison, l'égalité femmes-hommes est encore à atteindre. Si les écarts sont plus ou moins importants selon les Etats membres, les réduire constitue de manière générale un long processus.
Selon les dernières données disponibles (Insee 2021), toujours en équivalent temps plein, les 10 % des femmes les moins bien rémunérées ont un salaire maximum inférieur de 5 % à celui des hommes (1 336 euros contre 1 400 euros).
C'est un fait, le cerveau des hommes est en moyenne 10 % plus gros que celui des femmes, soit environ 1,350 kg chez les hommes contre 1,200 kg chez les femmes.
Dans la partie CA1 de l'hippocampe, en moyenne moins de 5% des neurones survivaient chez les mâles tandis que presque 40% chez les femelles, une différence qui était statistique- ment significative.
Il y a 100 gènes sur le chromosome Y présents seulement chez l'homme, et 1 500 gènes sur le chromosome X. L'un des deux chromosomes X est inactivé chez les femmes, mais 23 % des gènes échappent à cette inactivation.
En France, les filles et les garçons ont les mêmes droits : c'est la loi ! Pourtant, cette égalité n'est pas toujours respectée. La faute aux stéréotypes, ces idées toutes faites qui nous enferment dans des rôles. Par exemple : « les filles portent du rose » ou « les garçons aiment le foot ».
Ces différences de socialisation viennent de particularités culturelles qui se sont développées dans ces catégories de la population. Ces modes de vie sont transmis de manière naturelle et souvent inconsciente à leurs enfants.
Ils étaient aussi séparés au lycée et au collège… Dans la religion catholique, le principe était d'éviter toute tentation sexuelle pour les jeunes, avant le mariage. De plus, l'éducation était relativement différenciée : on faisait étudier les garçons pour qu'ils aient un métier, et les filles pour qu'elles aient un…
Pour l'être humain primitif, toute forme perçue possède une âme qui lui est propre. Il vit ainsi dans un monde dont il est très solidaire et y participe au même titre que l'animal, l'arbre ou la pierre. À l'opposé, dans une société traditionnelle, l'humain est unique et séparé du reste du vivant.
Une des qualités essentielles chez un homme, est son sens de l'écoute et surtout qu'il respecte votre point de vue ou opinion. Si vous avez un problème, il est la première personne à qui vous souhaitez vous confier. Ses conseils vous aident à avancer et à trouver une solution aux soucis qui vous chagrinent.
Elles sont multiples : Physiques, culturelles, de sexe, handicap, religieuses, opinions, manières d'agir, des accents, sentiments, langues, valeurs, origines, conditions, croyances, intellectuelles, des habiletés, force physique, manière d'apprentissage, sociales, de caractère, de goûts, d'orientation sexuelle….
Les limites de l'indicateur Un demi-siècle après la promulgation de la loi, les disparités salariales persistent. Une étude de l'INSEE réalisée en 2020 révèle que les femmes salariées du secteur privé gagnaient en moyenne 16,8 % de moins que leurs homologues masculins dans des fonctions identiques en 2017.