Les libertés individuelles sont des libertés que l'individu exerce seul (Liberté d'aller et venir, liberté d'opinion, le droit de disposer de son corps, le droit à la vie privée, à la sureté), les libertés collectives sont celles que l'individu exerce en groupe (Liberté de réunion, d'association, liberté de la presse, ...
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Les libertés sont individuelles et collectives. et collectives est étudiée en insistant sur plusieurs libertés : la liberté de conscience (dont les libertés religieuses), la laïcité, la liberté d'expression, la liberté d'association, les libertés politiques et syndicales et le droit au respect de la vie privée.
Droit attribué à un individu correspondant à la liberté d'effectuer ce que bon lui semble sans risque d'enfermement.
Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits.
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Les différentes formes de liberté :
Liberté naturelle : en vertu du droit naturel. Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
Les libertés sont reconnues à tous les citoyens, mais leur usage ne peut pas être illimité. En effet, l'exercice d'une liberté ne peut pas porter atteinte à celle des autres, à la dignité de la personne, à la santé ni à l'ordre public.
- Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
La liberté de conscience est, tout d'abord, une liberté individuelle en ce sens qu'elle est un droit pour tout citoyen de ne pas être privé de sa liberté, sauf dans les cas et selon les formes prévus par la loi.
Ensemble des droits reconnus aux individus en tant que tels, quels que soient leur pays, leur origine ethnique ou sociale, leur sexe, leurs croyances religieuses ou politiques.
La liberté de pensée et de conscience signifie que chaque citoyen est libre d'avoir des opinions de toute nature. Elle est plus large que la liberté d'expression qui peut être limitée comme nous venons de le voir, puisque nous n'avons pas le droit d'exprimer toutes ses opinions.
Liberté individuelle: liberté que chacun peut exercer séparément des autres citoyens. Liberté collective: droit que l'on peut exercer dans le cadre de la vie collective, en société.
Il s'agit notamment de l'égalité, de la liberté, de la sécurité, du droit de vote, du droit à la propriété, l'égalité des sexes, la non-discrimination, le droit à la santé et le droit de vivre dans un environnement sain et non pollué.
Les libertés collectives correspondent aux droits accordés à l'ensemble de la société. Elles s'opposent aux libertés individuelles qui relèvent du droit naturel (droit lié à la nature de l'être humain, comme celui de fonder une famille).
Le droit a un contenu délimité qui porte ou se rapporte à un objet précis et défini. La liberté est d'essence universelle et est indéterminée. Le troisième critère distinctif réside dans la portée respective des droits et libertés.
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
2 - La fabrication de la loi
L'initiative des lois appartient au Premier ministre et aux membres du Parlement, députés et sénateurs. Mais si le Gouvernement le demande, c'est l'Assemblée nationale qui statue en dernier lieu, disposant ainsi du " dernier mot ".
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
« je ne suis vraiment libre que lorsque tous les autres humains qui m'entourent sont également libres. La liberté d'autrui loin d'être une limite ou négation de ma liberté en est au contraire la condition nécessaire et la confirmation », selon Bakounine.
Liberté naturelle, Pouvoir que l'homme a naturellement d'employer ses facultés à faire ce qu'il regarde comme devant lui être utile ou agréable. Dans l'état social, la liberté naturelle est restreinte par les lois d'utilité commune, par la morale, par la distinction du droit et du devoir.
L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
Si la liberté n'apparaît que là où les autres la reconnaissent, si elle dérive toujours d'un contrat formel ou du moins d'un accord tacite, l'indépendance est un fait dans la nature, elle traduit un équilibre, que l'on ne décrète pas mais que l'on peut constater, entre ce que nous voulons et ce que nous avons.
De nos jours, on l'appelle souvent « liberté morale », et le Vocabulaire de la Société Française de Philosophie en donne la définition suivante : « Etat de l'être humain qui réalise dans ses actes sa vraie nature, considérée comme essentiellement caractérisée par la raison et la moralité.